La Machine Infernale Themes

constituent ce que Gérard Genette appelle le péritexte. Pour que la fiction soit perçue comme une non-fiction, les espaces péritextuels sont réservés à une série de discours sur l’ouvrage qu’ils introduisent, accompagnent et encadrent. Deux thèmes y reviennent avec insistance : le rapport du roman à la réalité, et le but moral de l’œuvre. La dernière partie de ce cours sera consacrée à l’étude de trois types de discours liminaires : le titre, la préface et les notes. Nous verrons comment

l'incarnation dans le réel de situations rêvées. Cette part d’imaginaire ne constitue-t-elle pas d’ailleurs l’un des moteurs du succès de l’internet, largement exploitée par certaines applications commerciales ?. L’Internet n’est-il pas aussi une machine à faire rêver ? Par la couverture physique de la terre entière et l’ouverture sur un autre monde, le monde virtuel, l’internet constitue un terreau fertile à la prolifération de mythes, légendes, rumeurs : attachons-nous à ce qui de prime abord y

et du profit. Cette deuxième édition, augmentée, donnera aussi au citoyen des éclaircissements bien utiles sur les sujets tant galvaudés que sont la protection de l’environnement ou le développement durable et sensibilisera les étudiants à des thèmes trop rarement abordés lors des formations initiales. 53041_Barthelemy.indd 1 Bernard Barthélemy a couvert, au cours de son cursus, la plupart des fonctions de l’entreprise : ingénieur de l’École Centrale, Master of Sciences, il a été ingénieur

Chez Virgile, la description du délire amoureux de Didon s’inscrit dans un cadre plus riche et caractérisé (bois de la Crète, bois et bocages de Dicté, remparts, lune obscure, constellations, palais désert, couvertures, tours, port, remparts, murs, machines) et dans une temporalité plus précise ( « tantôt, au déclin du jour... Puis... quand la lune, obscure à son tour, voile sa lumière, et que les constellations à leur déclin invitent au sommeil... »). 11 Réponses aux « … à vous… » Moyen Âge

ment avait un charme de nouveauté virginale. Les grands lieux communs qui composent le fonds de la pensée humaine étaient alors dans toute leur fleur et ils suffisaient à des génies simples parlant à un peuple enfan n. Mais, à force de redites, ces thèmes généraux de poésie s’étaient usés comme des monnaies qui, à trop circuler, perdent leur empreinte ; et, d’ailleurs, la vie devenue plus complexe, chargée de plus de no ons et d’idées, n’était plus représentée par ces composi ons ar ficielles faites

colonisation n’est pas le fondement ultime de la littérature africaine écrite, mais elle en est l’un des déterminants en matière d’ouverture, de métissage ou d’élan vers cet ailleurs déroutant et vers cet élément autre qui s’y manifeste à travers thèmes, personnages, discours et intrigues : La littérature africaine, que l’on peut considérer comme un des innombrables éclats de verre issus de cette gigantesque collision, émane du creuset même où, sous la frénésie des nouveaux temps, se sont mis

déclenchement de la première guerre mondiale qui a arrêtée les relations commerciales traditionnelles entre les Etats européens et qui a fait stopper le processus d’évolution de l’internationalisation. La guerre a conduit le monde à entrer dans une spirale infernale où la combinaison des facteurs suivants a engendré un ralentissement brutal du libre-échange et la libre circulation des personnes : La dislocation généralisée du système des règlements multilatéraux pendant la dépression des années 30. Les réactions

cet « homme de gauche qui va à la messe » que brocardait Paul Morand dès les débuts de son règne 3 ? On n’a pas assez remarqué que son référendum de 1969 portait sur la décentralisation, la régionalisation et la participation sociale – les thèmes qui deviendraient les fétiches de la gauche chrétienne, issue des rangs gauchistes de Mai 68 – cette deuxième gauche technocratique, libérale, atlantiste et européiste, qui défit tout ce que le Général avait fait. On pourrait d’ailleurs noter

différent. Nous y trouvons certes les grands thèmes qui traversent la philosophie de Brunschvicg — valorisation de la science, critique de la scolastique, magnification du cartésianisme, et réflexion sur les rapports entre raison et religion — mais il ne s’agit pas à proprement parler d’une synthèse. L’angle d’attaque est très particulier, et dans une certaine mesure, très différent de ce qui constitue généralement chez Brunschvicg le fond de ces grands thèmes. La fidélité de Brunschvicg à sa propre pensée

28 52 D’autres monographies datées de 1892 effectuées notamment par Emile Cheysson (18361910) seront plus consacrées à l’étude du travail proprement dit, avec des enquêtes directes auprès des ouvriers sur leur lieu de travail, au pied des machines. Et puis en 1891, on voit la création de la première institution publique d’étude du travail en France : l’Office du travail. Son objectif : - analyser et observer le travail et la production dans l’industrie, - comprendre les mouvements de concentration