La Maison de la sorcière

années, dû en partie à une baisse de son chiffre d’affaire dans de grandes maisons Champenoises. (En 2009, la baisse est estimée en moyenne à 12%). Pour remédier à cela, la plupart des grands noms de champagne ont décidé de brader leur prix. Cela n’est pas très porteur d’une image d’un produit de prestige et nous pouvons parler désormais de l’apparition d’une clientèle « discount ». En revanche la maison Laurent-Perrier, qui avait décidé de continuer d’appliquer une hausse tarifaire

; une chaleur accablante, écrasante se faisait ressentir tout au long de l’année. Le sable du désert s’éparpillait sous le jeu du vent. UN VRAI DÉSERT... sauf... une maison en ruine et un énorme arbre. À chaque rafale, la vieille baraque de Lester Drive tremblait et perdait quelques tuiles de ci, de là. La façade de la maison était de couleur jaunâtre passée, le bois de la porte se décomposait. Il n’y avait presque plus de toit. Seulement, un jardin autour de la bâtisse... Mais elle n’était

rétrécit, sont à présent des classiques du genre. Ces deux œuvres, plusieurs fois adaptées au cinéma, montrent le comportement d’un être isolé confronté à une fatalité qu’il désire plus ou moins empêcher. Il écrit aussi La Maison des damnés, l’histoire d’une enquête dans une maison hantée. Matheson se tourne également vers le cinéma et la télévision. Parmi les multiples adaptations de ses textes, on peut citer les adaptations pour le cinéma de L’Homme qui rétrécit, Le Jeune Homme, la Mort et le Temps

Document n° 1 : Mme de Brinvilliers[1] [pic][2] Source : DREVILLON (Hervé), La sorcière et le roi : l’affaire des poisons, in Les Collections de l’Histoire, n° 33, octobre-décembre 2006, p.21. Question : -Pose-toi trois questions sur ce document ci-dessus. Document n° 2 : correspondance de Mme de Sévigné[3]  à Madame de Grignan[4] |Paris, mercredi 29 avril 1676. | |« […] Mme

beaucoup de pèlerinage comme St-jacques de Compostelle. L'Eglise encadre la société médiévale du point de vue moral : l'extérieur est le monde profane, c'est une vision judéo-chrétienne, où la femme est représentée comme la pécheresse, on parle même de "sorcière" au Moyen Age. L'église (le bâtiment) doit impressionner le fidèle avec le tympan. Un élément essentiel est le jugement dernier, en effet, les fidèles ont peur du jugement dernier, ils doivent mener une bonne vie sur Terre pour pouvoir accéder

 Le barrage des trois gorges Le barrage des trois gorges a été à l’origine de nombreuses polémiques, notamment quant aux problèmes sociaux qui en immergeaient. En effet, en Chine, les maisons se transmettent de génération en génération, et l’on peut retrouver jusqu’à 4 générations sous un même toit. Ainsi, quitter une demeure en Chine est un véritable sacrifice et les Chinois (2 millions ont été déplacés) ne sont pas indemnisés à la hauteur

sur l’époque évoquer, les lieux de départ sont souvent la maison familial ou le drame qui va entraîner le héros/héroïne dans ses multiples péripéties. La foret est un lieu sombre et angoissant, c’est un espace symbolique extérieur au foyer, souvent synonyme du merveilleux ou entre des phénomènes magiques tel que des sorts, des transformations d’êtres humains ou autre, ou même quelques personnages tel que les fées, les licornes, les sorcières/sorciers. Suite à la plupart du temps, une rencontre se fait

Américains lanceront deux bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. Voir aussi : Dossier histoire du nucléaire - Histoire de la Bombe atomique - Roosevelt - Einstein -Histoire de la Physique 1942 septembre Le Projet Manhattan est lancé par la Maison Blanche Ayant compris dès 1939 l’intérêt du nucléaire, les États-Unis décident de structurer et de soutenir plus fortement la recherche sur ce domaine en créant le projet Manhattan. L’objectif est alors d’aboutir à la création d’au moins trois

Sa tombait juste au pile, la sorcière de la caverne qui était ma sœur, m’avait filler son sac, avec toutes ses indentifications, me prenant comme sa servante, ajoutant à mon enragement interne. Plusieurs minutes étaient passées, et son gros sac me pesait, avait-elle mit des caillots

cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux, Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon