La Maison des ombres

 « La maison verte », Mikaël OLLIVIER Texte intégral. Voilà, tout est fait, je crois. Papa va être content quand il va rentrer du travail. Reste plus qu’à vérifier la liste.   Porter le verre au conteneur. OK. Arroser le potager avec l’eau des bacs de récupération. OK. Retourner le compost. FAIT. Il y a deux ans, nos parents ont décidé d’obtenir le label Maison Verte qui selon la nouvelle directive gouvernementale, leur octroierait 50% de réduction sur leurs impôts locaux et jusqu’à 65%

bonjour, Je suis «  votre nom français «  pour la plateforme EDF, je me permets de vous contacter car la toiture de votre maison pourrait éventuellement nous intéresser pour devenir producteur d électricités, vous connaissez notre projet ou pas du tout ? En fait actuellement nous proposons à certains particuliers de devenir producteurs d électricité pour notre compte via un pack, qui comprend une installation de panneaux photovoltaïque, plus une production d’eau chaude gratuite, mais sans

méchant falot » (l. 4-5) « une campagne envahie par les masses incertaines du brouillard » (l. 9) « collines couvertes de ronciers » (l. 10) et « l’air froid de la nuit » (l. 12). Et enfin les participes passés : « sol détrempé » (l. 5-6), « les deux ombres avaient rabattu leurs manteaux » (l. 13) « hennissement étranglé » (l. 14) et « croupe décharnée » (l. 22). Toutes ces descriptions permettent au lecteur une meilleure visualisation de la scène, comme s’il s’y trouvait. Le lecteur peut donc s’imaginer

façade en crépi rose de la maison, la palissade en cannisses, la niche vide du chien, le tas de ferraille, la fenêtre des voisins, la façade à nouveau... Il y a quelqu'un derrière la vitre des voisins. Une dame. Elle le regarde. Elle a mis ses deux mains en visière devant ses yeux pour mieux voir, comme si elle n'arrivait pas à comprendre ce qu'il fait là, tout nu, dans l'obscurité, en plein mois de novembre, attaché par le cou à une laisse. Soudain, la porte de la maison s'ouvre. Un rectangle

d’Auguste et Mme Ferret, 15 ans ½, amoureuse de Phil, surnommée la Pervenche) * Philipe (fils de Marthe et M. Audebert, 16 ans ½, surnommé Phil, il « possède » Vinca) * Camille Dalleray (34 ans, amante de Phil) * Lisette (sœur de Vinca) * Les Ombres (pâles) (les parents). Quoi ? Une histoire d’amour Où ? A la mer, en Bretagne Quand ? Pendant les vacances d’été. Événements : I : * Vinca va à la pêche avec Philipe qui compare la Vinca d’avant et celle de maintenant. Ils ont passaient leur

| | |Musique plus aiguë et vive. Bruit de cloches | | |15-Gros Plan de la maison enneigée dans la main | | |Longue Focale | |

S Objet d’étude : La poésie Textes : Texte A – Boris Vian, « A tous les enfants », chanson (1954-1959) Texte B – Théophile Gautier, Mademoiselle de Maupin, Préface (1835) Texte C – Victor Hugo, « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Texte D- Paul Verlaine, « Soleils couchants », Poèmes saturniens (1886) Ecriture I. Après avoir lu attentivement les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante (4 points) Comparez les points de vue de Victor Hugo

/ COMBESSIE Philippe - La découverte, 2004. Prisons, permanence d’un débat:dossier / LAMEYRE Xavier, SALAS Denis - Problèmes politiques et sociaux N°902 – La documentation française, juillet 2004. Par delà les murs. Expériences et trajectoires en maison d’arrêt / CHANTRAINE G. PUF- Le Monde, 2004. Le sens de la peine : état de l’idéologie carcérale / FRIZE Nicolas- Leo Scheer, 2003. Passer à l’acte / STIEGLER Bernard - Galilée, 2003. Fragmentation d'un lieu commun / SAUTIERE Jane -Verticales, 2003

lampe d'argent antique dans laquelle la flamme brûlait sans une cheminée ou un globe de nimporte quelle sorte, jetant de longues ombres frémissantes comme il vacillé dans le courant d'air de la porte ouverte. Le vieil homme me fit signe avec sa main droite d'un geste courtois en disant dans un excellent anglais mais avec une intonation étrange. " Bienvenu dans ma maison! Entrez librement et de votre plein gré"! Il n'a fait aucun mouvement de marche pour venir vers moi, mais été debout comme une

n’embrassent que des ombres ; ceux-là n’ont que l’ombre du bonheur. » William SHAKESPEARE « L’amour, tu sais, ce dont il a le plus besoin, c’est l’imagination. Il faut que chacun invente l’autre avec toute son imagination, avec toutes ses forces et qu’il ne cède pas un pouce de terrain à la réalité ; alors là, lorsque deux imaginations se rencontrent... il n’y a rien de plus beau. » Romain GARY -4- J’ai eu peur de la nuit, peur des formes qui s’invitaient dans les ombres du soir, qui dansaient