La Maison des ombres

L’homme s’arrêta devant la maison. Il avait marché depuis des jours, des mois, des années pour y parvenir. La bâtisse était délabrée : la porte, jadis couverte d’une peinture rouge écarlate, s’était écaillée. Les fenêtres étaient brisées. Elle était située au milieu d’un quartier huppé d’une mégapole déserte, jadis connue sous le nom de Paris. L’homme s’approcha de la demeure et essaya d’ouvrir la porte, mais se retint au dernier moment. Il pensa pendant quelques instants puis se décida : mieux valait

Cours de français Mme Gevenois 26.02.2015 Le courant surréaliste 1. Introduction Extrait vidéo : Magritte, film surréaliste à la maison Quelles sont tes impressions sur cet extrait vidéo ? Note 3 adjectifs que tu utiliserais pour qualifier ce film. Observe plus attentivement les points ci-dessous, note tes observations : les différentes étapes de l'histoire, l'enchaînement des scènes les personnages, leurs attitudes, leurs actions les accessoires, leur utilisation

développer son style, s’extirpant des techniques trop académiques. Fort d’un succès naissant, il finit par accueillir de plus en plus d’élèves. En s’orientant peu à peu vers l’utilisation du clair-obscur, il assoit un style marqué par le mystère de ces ombres et lumières. Une notoriété grandissante De plus en plus reconnu, son talent lui permet de rejoindre Amsterdam et de s’y installer en 1631. Les commandes de portraits et de peintures d’histoire commencent rapidement à affluer. Dès 1632, il peint

en cacher une autre. Pour aller plus loin… Tous les jeux d’ombres, en rapport avec le vécu de l’enfant, qui ont pu l’amener à interpréter peuvent être évoqués : l’ombre qui passe devant la porte de la chambre, les ombres derrière des volets ou des rideaux, les jeux de mains dont les ombres représentent des animaux… D’une manière générale, cela peut aussi être l’occasion d’aborder le rôle de la lumière dans l’interprétation. Chez l’enfant, beaucoup d’exemples de formes prenant un aspect différent entre

révélées : sur l’image, au-dessus des yeux, un paysage s’ébauche et se métamorphose – un « paysage de l’esprit » d’une beauté calme où règne une paix pastorale. Tout en rondeur, des arbres et des collines se prélassent au soleil d’été, pendant que les ombres projetées par des nuages mouvants, des oiseaux et un petit avion survolent les champs labourés. Un piano et des violons jaillissent paresseusement sur la bande sonore, répétant doucement un thème hypnotique. Un artiste (Drouin, peut-être) peint

Linder - Champ-contrechamp systématisé - raccord dans l’axe (grossissement) + dans l’espace (Kid qui appelle Charlot situé à côté) - raccord sur la voix (faire « voir » le son) du Kid qui crie dans la rue / entendu par Charlot bloqué dans la maison. - alternance Charlot / Policier / enfant emporté - Construction des plans dans la profondeur (camion en profondeur lorsque Charlot est sur le toit) - mvt caméra (dans camion) Le voleur de Bagdad (Walsh, 1924) - l’acteur Douglas Fairbanks

dans une émotion ancienne chez l’artiste alors qu’il était encore adolescent. Le jeune Claudio vivait alors dans une maison rouge à la campagne, il l’avait quittée vers l’âge de quinze ans mais y avait eu son premier atelier à dix-sept ans. Et un jour, alors qu’il passait devant, il n’a trouvé que des ruines et de la grisaille(1) ! Il ne fait nul doute que cette vision de la maison d’enfance détruite a provoqué une vive émotion chez l’artiste, émotion qu’il ne semble pas oublier et qui semble être

haine : « Canaille toi-même, Allemand du diable ! ». La marquise Cibo elle-aussi dénonce la soumission du cardinal Cibo son beau frère au pape et à Charles-Quint : « cela vous est égal à vous (…) que notre soleil à nous promène sur la citadelle des ombres allemandes ? que César parle ici dans toutes les bouches ? ». 4. Quel déguisement a choisi le duc Alexandre pour le bal masqué ? Qu'en pensez-vous ? De quoi cela est-il révélateur ? Deux autres personnages ont le même déguisement, de qui s'agitil

très respectée est aperçue par Auguste de Maulincourt dans une maison aux apparences assez douteuses dans une ruelle mal famée de Paris avec un homme. Monsieur de Maulincourt saute immédiatement à la conclusion que celle-ci a un amant : «il laissa rouler sur ses joues des larmes de rage sans les essuyer. Enfin la vue des ombres qui se jouaient sur ces deux fenêtres éclairées lui faisait mal1». Balzac utilise l’euphémisme «la vue des ombres qui se jouaient» afin de montrer qu’Auguste qui est fou amoureux

York après une exposition en 1936 3) Description de l’oeuvre Objets plutôt communs L’arbre, le réverbère, la maison, le ciel, La base de l’œuvre qui met en scène un ciel de jour mais des ombres et des éclairages nocturnes.  Contraste de couleur et de lumière entre le premier plan et l’arrière-plan Lignes horizontales : trottoir Lignes verticales : arbre et maison 4) Mon analyse, mon interprétation Magritte crée un climat poétique qui lui est propre toujours éprouvé le plus