La Maison du péril

Fiche de lecture – Beloved, Toni Morisson I. Compréhension de l'oeuvre 1. L'histoire de Sethe L'histoire de Sethe débute avec son esclavage chez M. Garner, une « bonne » maison où l'on ne frappe pas les esclaves. La vie devient insupportable après la mort de M. Garner, remplacé par un certain "Maître d'Ecole". Sethe fait alors le projet de s'évader vers l'Ohio avec Halle, son mari, et ses enfants. Mais leur fuite ne se passe pas comme prévue : seuls les enfants partent devant chez leur

les déplaisirs d’une âme, Si l’on fait moins qu’un homme, on fait plus qu’une femme. Commander à ses pleurs en cette extrémité, C’est montrer, pour le sexe, assez de fermeté. Julie C’en est peut-être assez pour une âme commune, Qui du moindre péril se fait une infortune ; Mais de cette faiblesse un grand cœur est honteux ; Il ose espérer tout dans un succès douteux. Les deux camps sont rangés au pied de nos murailles ; Mais Rome ignore encor comme on perd des batailles. Loin de trembler

L’Histoire de la Maison § Organisation § Le type de management Ø Son métier Ø Mon service § Organisation, décisions et pouvoir § La réputation du service v Mon étonnement sur moi-même Ø Mon professionnalisme § Ma mission, ses finalités, ses enjeux § Ma position vis à vis de mes collègues et de mon manager § Mon intégration Ø Mon potentiel      Ma mission Mon stage se déroule au sein du service de coordination commerciale de la Maison Lanvin. Ma mission

toison d'or apparu à Argos et dont parle Euripide2 : le héraut de la ville invite les Mycéniens à venir « contempler l'apparition qui annonce un règne bienheureux ». Cette toison d'or est en effet le présage annonciateur du règne de Thyeste pour la maison desAtrides. Un tel symbolisme découle des propriétés magiques attribuées à la peau de l'animal sacrifié, particulièrement à la peau laineuse. Selon les auteurs qui rapportent cette légende, cette toison possède d'ailleurs un éclat d'or ou bien de

convictions, et se laisse facilement aller à les abandonner. Dans une société où le bonheur se mesure à la taille de votre maison ou au modèle de votre voiture, la compassion et le partage ne sont que de belles valeurs théoriques qui s'avèrent trop contraignantes… L’ironie de la situation voulant que ce soit ce modèle qui fait rêver les migrants et leur fait traverser les frontières au péril de leurs vies ! S'autoprotéger, tout aseptiser, cacher la misère, telles sont les impératifs de ce monde d'apparences

la mode des salons littéraires: on parlait littérature, amour, morale. Au début les femmes recevaient dans leur chambre. Les invités en fonction de leur degré d’intimité se tenaient à tel endroit. C’est dans la «ruelle» que reçoit la maîtresse de maison. Les 1e salons se tiennent à Paris: ce sont des réunions d’hommes de lettres et de beaux esprits et réunissent des personnalités de l’aristocratie, de la politique, des lettres et des arts pour des conversations littéraires, morales, galantes ou

(58) Il était, quelque part, un parc chargé de sapins noirs et de tilleuls, et une vieille maison que j’aimais. Peu importait qu’elle fût éloignée ou proche, qu’elle ne pût ni me réchauffer dans ma chair ni m’abriter, réduite ici au rôle de songe: il suffisait qu’elle existât pour remplir ma nuit de sa présence. Je n’étais plus ce corps échoué sur une grève, je m’orientais, j’étais l’enfant de cette maison, plein du souvenir de ses odeurs, plein de la fraîcheur de ses vestibules, plein des voix

totalitaire, où les vies individuelles n'ont plus de prix. C'est à cela que fait allusion le titre "Matin brun" car le brun est la couleur des fascistes allemands et des SA qu'on appelait les chemises brunes. Encore aujourd'hui les journaux parlent du "péril brun" lorsqu'ils analysent la montée des partis d'extrême droite. Quant à matin il fait référence au moment où le narrateur est arrêté ou craint d'être arrêté ; mais il signale également que l'histoire évoque la naissance d'un état totalitaire, son

(« Qu'en un lieu, en un jour, un seul fait accompli ») ou il la pressente comme une contrainte qui le distingue lui et les écrivaines de tragédie classique, par rapport au théâtre espagnol qui n’obéit pas au règle des trois unité (« Un rimeur, sans péril, delà les Pyrénées »). La scène d'exposition d’oie aussi présentée une histoire vraisemblable et a la fois être une situation or du commun. Tout foi elle ne dois pas être absurde (« L'esprit n'est point ému de ce qu'il ne croit pas »v20 a 23). toute

plus que d’autre : l’argent. Pourtant Sylvie et Jérôme vont s’en cesse vouloir être riche, vouloir plus de ce qu’ils ont, cependant à aucun moment ils ne vont s’en donner les moyens. Les années vont passer et le couple va courir après l’argent au péril de perdre son temps. Ils vont se lasser de leurs boulot qui ne leurs laisse aucune liberté, envié les grasses matinées, s’étouffé dans le petit studio 7 rue de la Quatrefage près du jardin des plantes vont perdre leurs amis, trouver leurs vie monotone