La Malediction Paul Eluard

Introduction : Membre essentiel du mouvement surréaliste, fondé en 1924 par André Breton, Paul Eluard (de son vrai nom Paul Grindel) a accordé toute son attention aux manifestations de l’inconscient, aux rêves, aux rencontres hasardeuses, aux coïncidences. Ses oeuvres poétiques, outre ses engagements politiques importants (par exemple pendant la Seconde Guerre Mondiale, avec le très célèbre poème “Liberté”), sont souvent inspirés par les femmes aimées, Gala et surtout Nusch, qu’il a épousée en

Introduction : Membre essentiel du mouvement surréaliste, fondé en 1924 par André Breton, Paul Eluard (de son vrai nom Paul Grindel) a accordé toute son attention aux manifestations de l’inconscient, aux rêves, aux rencontres hasardeuses, aux coïncidences. Ses oeuvres poétiques, outre ses engagements politiques importants (par exemple pendant la Seconde Guerre Mondiale, avec le très célèbre poème “Liberté”), sont souvent inspirés par les femmes aimées, Gala et surtout Nusch, qu’il a épousée en

Le corpus présente deux textes : Le premier est un poème nommé « Si c’est un homme » extrait de Si c’est un homme écrit par Primo Lévi et publié en 1947, le second est un poème « Gabriel Péri » extrait d’Au Rendez-vous allemand écrit par Paul Eluard et publié en 1944. On peut remarquer tout d’abord que ce sont deux hommes qui écrivent sur le même thème : Le nazisme durant la seconde guerre mondiale. Quelles sont les intentions de ces auteurs au travers de ces deux poèmes ?

Eluard et la femme : Du haut de cet observatoire passionnel que constitue son univers littéraire, le poète voudrait faire de sa création une éternelle déclaration d’amour, une offrande lyrique adressée à la femme. Une à une, les femmes naissent à l’appel de leur nom dans les différents recueils qui leur sont consacrés et qui fonctionnent comme des lieux d’ivresse. Mais, puisque l’ordre du langage ne saurait se superposer à celui du réel, Eluard, qui échoue à dire l’amour et à représenter la femme

poète, las des plaisirs artificiels, se croit guéri et dialogue avec la Muse, seule consolatrice. Il lui confie ses souffrances pour s’en guérir par catharsis. Mais au récit de ses maux, le poète éprouve à nouveau la souffrance et s’enflamme en malédictions L'extrait que j'ai choisi est le début du poème La nuit d'octobre on peut remarquer que Le poète se lamente sur son sort et que La Muse essai en vain de le réconforter , Le poète parle de la nuit et des rêves comme d'une sorte de libération,

Bac blanc de frcs : « la benediction » Paul Eluard extrait de Capital de la douleur dans « mourir de ne pas mourir » Intro : Au cœur de la partie « mourir de ne pas mourir » En face à face avec « la malediction » Exprime la souffrance d’être exclu du monde et met en scène une voix qui cherche à s’échapper ds l’espace poétique et qui se heurte a l’absence de réponse du regard et de la parole Pbl : Comment Eluard parvient-il à donner une définition du poète ? I/une parole divine A. la

CHARLES BAUDELAIRE (1821-1867) Né à Paris. Sa mère se remariât avec un militaire que Charles n’aimait pas. Il le vit comme une trahison. « Chute originelle » loin du paradis de l’enfance et de l’amour. Il y voit même une malédiction. Difficile rapport avec les femmes aimées. Il étude en la faculté de droit. Il veut fréquenter la bohème du quartier latin. Les artistes marginaux sont en conflit avec la bourgeoisie. Pour l’éloigner de ses mauvaises fréquentations, sa famille l’envoi en Inde.,

Dissertation. Sujet : Est-il juste de penser, comme le dit Paul Eluard, que les poètes "parlent pour tous"? « On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nous, leur crie-t-on. Hélas ! Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi ! » Publie Victor Hugo dans la préface de ses Contemplations en 1834. Victor Hugo considéré comme le chef de file du romantisme alimentait le débat sur le caractère

Maguelone 01/01/2010 Sommaire I- Introduction II- Lorsque la femme apparaît a) Joachim du Bellay «  Déjà la nuit en son parc amaissait » III- Les différentes représentations de la femme 1. L’éloge de la femme a) Paul Eluard  « La courbe de tes yeux » b) Leopold Sedar Senghor  « Femme noire » c) Louis Aragon  « Les yeux d’Elsa » 2. La femme insaisissable a) Marc Alyn « le long chemin qui conduisait à toi » 3. La femme cruelle a) Jean de

surréalisme - Premier manifeste 1.2 « Transformer le monde » et « changer la vie » (1925-1938) 1.2.1 La Révolution surréaliste - Nadja- Adhésion au PCF - Premières ruptures 1.2.2 « SASDLR » - Rupture avec Aragon - « L'Amour fou » - Rupture avec Éluard 1.3 De l’exil à l’insoumission (1939-1966) 1.3.1 Marseille - Martinique - New York 1.3.2 Haïti - Retour en France - Nouvelles polémiques et nouvelles expositions 1.3.2.1 Commentaires 2 « Un théoricien amoureux de la théorie » 3 Œuvres 3.1 Poésie