La Mare Au Diable Les Personnages

feuilletons littéraires pour fidéliser le public : chaque jour, un nouveau chapitre est proposé ; il en résulte une structure très rythmée avec multiplication des suspenses, des péripéties, des retours en arrière et parfois des incohérences (un personnage meurt puis ressuscite parce que le public le réclame, etc.). Le fond de l’intrigue reste le mélodrame : cf. Eugène Sue (1804-1857), Les Mystères de Paris (1842-1843) ; le roman-feuilleton met en scène un surhomme-justicier et joue sur une dramatisation

“Le Potomak” (1919) Recueil de dessins et de proses Le «Potomak» est un monstre gélatineux exposé dans une cave, place de la Madeleine. Il est porteur de poésie, de messages dont le poète attend un espoir. Il y descend en compagnie de personnages allégoriques : Persicaire, Argémone. Commentaire Précédé d'un “Prospectus 1916” et suivi des “Eugène de la guerre 1915”, l’oeuvre est accompagnée de dessins : la suite des “Eugène” en occupe le tiers et poursuit une aventure abstraite avec

SEQUENCE II L’Etranger, d’Albert Camus, 1942. Le personnage de roman du XVIIème siècle à nos jours Problématique Le personnage de roman doit-il être un héros ? Meursault ne correspond pas du tout au portrait du héros traditionnel de l’univers romanesque. Pourtant, il fait partie des personnages extrêmement vivants dans la mémoire des lecteurs. Comment l’expliquer ? L’objectif est donc de montrer que le personnage de roman dans L’Etranger échappe au modèle héroïque romanesque.

sortir la Faloise. Mais madame Bron ne put la contenter tout de suite. Elle tenait sous l’escalier, dans une sorte d’armoire profonde, une buvette où les figurants descendaient boire pendant les entr’actes ; et comme elle avait là cinq ou six grands diables, encore vêtus en chienlits de la Boule-Noire, crevant de soif et pressés, elle perdait un peu la tête. Un gaz flambait dans l’armoire ; on y voyait une table recouverte d’une feuille d’étain et des planches garnies de bouteilles entamées. Quand on

dans le titre impose la majuscule à l’initiale ; il pourrait donc s’agir du nom commun. Si l’on ne connaît pas l’histoire de Robinson, il faut attendre le texte de la quatrième de couverture pour découvrir que Vendredi est ici le nom propre d’un personnage. 2. « un autre être humain » et « le sauvage » permettent d’en savoir un peu plus sur ce protagoniste au curieux prénom. 3. L’adjectif qualificatif « sauvage » vient du latin « silvaticus » qui signifie « fait pour la forêt ». Les différents sens :

légendes, où un passant «s'évapore» ; où un chasseur se perd dans la forêt ; où une fée apparaît dans une chaumière ; où deux chevaux parlent comme des humains, lisent et visitent Paris en touristes ; où, dans le monde du duc, au fil des siècles, les personnages sont à la fois les mêmes (il y a continuité dans sa vie familiale à travers les époques, et les carrières des ecclésiastiques se poursuivent) et se succèdent les uns aux autres ou se substituent les uns aux autres ; où, surtout, les rêves de deux

aliène sa personnalité propre, parle de lui-même en disant « le petit Chose » : « Le petit Chose se mit à travailler » et, plus loin, « il avait bien froid ». L'auteur intervient fréquemment dans le récit, de sorte qu'à la triple appellation de son personnage s'ajoute la voix du conteur interpellant son lecteur : «Et maintenant si le lecteur le veut bien, pendant que le petit Chose est en train... », ou encore : « Et maintenant, lecteur, un aveu me reste à te faire». Mieux encore, Daudet prend carrément

Qu'importait l'honneur d'une jeune fille! Tout le monde pouvait savoir que Blanche de Cazalis avait été la maîtresse de Philippe Cayol, mais personne au moins ne pourrait dire qu'elle était sa femme, qu'elle s'était mésalliée en épousant un pauvre diable sans titre. L'orgueil voulait que l'enfant restât déshonorée et que son déshonneur fût affiché sur les murs de Marseille. M. de Cazalis fit coller dans les carrefours de la ville des placards, par lesquels il promettait une récompense de dix mille

prénoms des personnages ?……………………………………………………………………………………………………………………..Synthèse Caractéristiques du conteLe conte est un texte ……………………………..L’univers du conte traditionnel est ……………………………, empreint de ……………………et de …………………………………….. qui n’appartiennent pas à ………………………………….Le conte commence par ………………………………………………………………….………………………………………………………………………………………………………………………………….Le conte se termine ……………….. et s’achève parfois par …………………..…………………………….Dans la plupart des contes, les personnages sont souvent

semaine, j’étais sûr que le Capitaine m’apporterait ma pièce de quatre pence, en me réitérant l’ordre « d’ouvrir l’œil et de signaler au plus vite l’arrivée du marin à une seule jambe ». Je n’ai pas besoin de dire à quel point ce 10 personnage mystérieux hantait ma cervelle enfantine. Par les nuits orageuses, quand le vent secouait les quatre coins de la maison et que les vagues venaient se briser sur la falaise avec un bruit de tonnerre, je le voyais sous mille aspects variés et