La Mer de sable

d'échinodermes Fossiles visibles dans l'affleurement de Castet Les nombreux fossiles présents dans cet affleurement témoignent de l'existence antérieure de récifs coralliens. Cette zone récifale était donc bien oxygénée, elle contenait une eau de mer salée, chaude, claire et peu profonde. C'était une zone de plateau, de profondeur d'environ 100 à 200 mètres. Cette petite falaise calcaire est donc un second témoin d'une période de distension qui avait donné naissance à un océan. III-Arudy L'orientation

doucement, je sentais quelque chose me chatouiller les oreilles. J'ouvris un œil, puis deux. J'avais la tête dans le sable, le soleil m'éblouissait et une grosse bête était en train de me lécher le visage. Je me redressais difficilement sur mes deux jambes car j'avais mal partout. Un singe me regardait bizarrement. Je regardais autour de moi, du sable , des arbres au loin et la mer. Mon bateau était là, c'était une épave. Le singe me tira la main et m'entraîna vers les arbres . Je découvris une

L'éspèrance Une jeune femme marche, solitaire, le long d’une plage de sable fin, parsemé de coquillages, s’étendant à perte de vue. Ses habits bancs et vaporeux laissent voir sa silhouette fine et élancée. Sa chevelure coule en cascade sur ses épaules dorées, par le soleil d’été. Les vagues caressent ses pieds nus et l’écume dessine un chemin de ces auréoles brillantes. Le vent agite ses boucles brunes et la mer joue avec ses orteils. Elle marche sans but, vide ; ses pensées volant vers un paradis

n'avait même pas l'argent d'un cornet. Si par hasard l'un d'entre eux avait la pièce nécessaire, il achetait son cornet, avançait gravement vers la plage, suivi du cortège respectueux des camarades et, devant la mer, à l'ombre d'une vieille barque démantibulée, plantant ses pieds dans le sable, il se laissait tomber sur les fesses, portant d'une main son cornet bien vertical et le couvrant de l'autre pour ne perdre aucun des gros flocons croustillants. L'usage était alors qu'il offrît une frite à chacun

sur une mer bleue qui occupe quasiment tout l'espace du paysage. On devine juste sur la gauche quelques branches d'arbres qui viennent ajouter de la profondeur à l'image. N°2 Composition : Le deuxieme grafitti représente 2 enfants qui jouent comme s'ils etaient sur le sable d'une plage, avec des seaux et une pelle juste en dessous d'un trou dans le mur qui donne une vue sur un nouveau paysage paradisiaque. Personnages Les deux personnages sont deux enfants qui semblent jouer sur le sable . Ils ont

de cette forteresse naturelle où il se trouvait au moment de l’armistice — son premier récit clandestin : Le Silence de la Mer (1941), rassemble les ouvrages clandestins de François Mauriac (Forez), d’Aragon (François la Colère), de Jean Cassou (Jean Noir), et publie un deuxième récit clandestin, La Marche à l’Etoile (1943). Entre 1945 et 1948, il publie des essais, Le Sable du Temps, un roman, Les Armes de la Nuit, des nouvelles, Les Yeux et la Lumière ; puis entre 1950 et 1952, avec le souci de

pour apprendre à mourir sur le sable » l.30-31, ce qui montre bien que dès leur plus jeune âge, les enfants n’ont que le désert, ils y ont vu le jour et sont liés à lui à jamais. Dans cet extrait, l’Homme est non seulement déterminé par le désert mais il en fait partie intégrante. Il y a une symbiose entre l’Homme et la nature et ce dès le début. « Les hommes marchaient dans le réseau des dunes » l.1-2 : en général, on marche sur quelque chose (sur la plage, sur le sable, sur le trottoir…). Ici, la

coco riche en acides gras et le Gardénia Tahitensis, extrait de fleur de tiaré, forment le célèbre « monoï de tahiti » qui nourrit, hydrate et apaise après les expositions solaires. les récolteurs de nacre plongeaient des heures durant dans l’eau de mer des lagons de Polynésie. Pour protéger leur peau du sel et apaiser leurs coups de soleil, ils utilisaient l’huile de monoï qui est aussi excellente pour les cheveux. o la Polynésie, une terre de richesse où thalGo est allé puiser un actif rare et

La mer d’Aral a vu son niveau baisser depuis les années 60, à cause de la grande quantité d’eau prélevée en amont dans les deux fleuves qui l’alimentent (le Syr Daria et l’Amu Daria) pour l’irrigation des champs de coton. À tel point que les côtes ont reculé de plus de 120 km à certains endroits, et que la mer d’Aral s’est séparée en deux bassins, la Grande et la Petite Aral, chacun alimenté par un fleuve. La baisse catastrophique du niveau de la mer d’Aral se poursuit. Suite à des ponctions d’eau

Affranchis désormais des servitudes bienaimées, délivrés du besoin des fontaines, nous mettons le cap sur nos buts lointains. Alors seulement, du haut de nos trajectoires rectilignes, nous découvrons le soubassement essentiel, l’assise de rocs, de sable, et de sel, où la vie, quelquefois, comme un peu de mousse au creux des ruines, ici et là se hasarde à fleurir. Nous voilà donc changés en physiciens, en biologistes, examinant ces civilisations qui ornent des fonds de vallées, et, parfois, par miracle