La Mère confidente

et demande à Nicomède d'excuser son attitude. Nicomède l'invite à se mesurer à lui loyalement pour la conquête de Laodice, sans l'appui de Rome ni celui du roi, et il se retire. Arsinoé envoie Attale vers Flaminius. La reine, restée seule avec sa confidente Cléone, lui explique ses desseins les plus secrets : elle n'a pas voulu tuer son beau-fils; c'est elle qui, par de faux assassins, a provoqué le retour de Nicomède pour l'enlever à son armée; elle espère qu'il se perdra en bravant le roi et Rome

Rendez-vous dans un café à Munich : Güsah porte une robe un peu juste, des talons hautes et trois percings – deux à l’oreille droite et un dans l’aile gauche du nez. Joliment. Avec assurance. On ne peut qu’à peine s’imaginer qu’elle est la même fille. « Ma mère a dit à l’époque : Fais ce que tu as l’envie, tant que tu as une bonne conscience.»  Gülsah appartient à la troisième génération d’immigrants turcs en l’Allemagne. Avec tous les privilèges et problèmes. Elle parle allemand comme langue maternelle

pourrait-on pas alors parler de mise en abyme du regard ? Nous étudierons dans un premier temps les différentes acceptations du regard dans nos œuvres ; de simple instrument du savoir et de la connaissance, fréquemment utilisé d’ailleurs par les confidents, il est essentiellement tourné vers les autres, s’intéressant relativement peu aux objets et à l’espace, de même qu’il est souvent au service du prolongement d’un élan affectif passionné. Nous considérerons ensuite la force dramatique de ce regard

de six mois. Dans la seconde scène Oreste dévoile son projet de ramener le fis d’Hector en Grèce mais Pyrrhus refuse catégoriquement. Il invite ensuite Oreste à aller rencontrer Hermione, la fille d’Hélène qui a héritée de la beauté légendaire de sa mère. Dans la scène trois, Phoenix met en garde Pyrrhus que Oreste n’a as de chastes pensées envers Hermione.  Pyrrhus ne semble pas affecté. On comprend qu’il n’aime pas Hermione.  Dans la scène quatre, Pyrrhus annonce à Andromaque le danger que cours

Celle-ci compte bien utiliser ce projet de mariage afin de se venger de son ancien époux qui l'à quittée autrefois, en pervertissant Cécile de Volanges. Pour effectuer cette vengeance, la marquise de Merteuil écrit à un de ses anciens amants et actuel confident, le vicomte de Valmont. Mais celui-ci refusera dans un premier temps afin de se consacrer à ses propres projets qui sont de séduire la dévote présidente de Tourvel qu'il rencontra dans un séjour chez sa tante mme de Rosemonde. Valmont entreprend

remarque tout d’abord deux caractéristiques fondamentales à un journal intime. Il y a la date de l’écrit ainsi que la formule de politesse, « Chère Kitty ». Comme je l’ai déjà dit, elle a établi un lien avec ce personnage fictif qui lui servira de confidente. On peut donc parler d’une personnification du journal. Elle utilise de façon considérable le champ lexical de la peur comme : «  horreurs »  ; «  épouvantable »  ; «  terrifiée »

Britannicus, fils de l'empereur Claudius. - Agrippine, mère de Néron, et, en secondes noces, veuve de l'empereur Claudius. - Junie, amante de Britannicus. - Burrhus, gouvernant de Néron. - Narcisse, gouvernant de Britannicus. - Albine, confidente d'Agrippine. - Gardes. En 54, Néron a été acclamé empereur à dix-sept ans, grâce à sa mère Agrippine qui avait empoisonné Claude et écarté Britannicus du trône. Ne supportant plus la colère de sa mère qui critique sa maîtresse Poppée Sabine, Néron l’assassine

avec les longs cheveux bouclés qui va nous jouer le rôle du héros dans cette tragédie. En effet, mais son personnage reste quand meme en retrait par rapport a d'autre personnage, c'est le fils biologique du précèdent empereur Claudius mais sa belle-mère Agrippine l’écarte du trône. Il a 17 ans et est un garçon gentille,naïve,brave avec beaucoup d'amours et de franchises. On peut voir aussi que son personnage incarne l'innocence Cette femme blonde avec son corps attirant, c'est Junie, la fiancée

d’exposition, Hippolyte et Théramène sont les deux seuls personnages présents. Hippolyte qui est le fils de Thésée et d’Antiope est le seigneur de Théramène comme la montre la réplique au vers 25 : «Seigneur », celui-ci est son gouverneur mais aussi son confident, ils ont une relation de confiance malgré le titre de souveraineté d’Hippolyte. D’autres personnages sont évoqués mais absents de cette scène comme Thésée le roi d’Athènes mais aussi le père d’Hippolyte, ce dernier a disparu, Hippolyte aime son

désillusion, elle ne croit plus en le mouvement dans lequel elle est née : le Classicisme. Le Romantisme va en réaction à ce dernier s’étendre à toute la création artistique en faisant appel à des thèmes récurrents, celui de la Nature qui va devenir la confidente et dont l’homme va se rapprocher, ceux de la Mort et de l’Amour, si liés, celui du Temps, le temps qui fuit, l’homme face au temps, face à sa mortalité et à une recherche toute nouvelle : celle d’expliquer l’Histoire médiévale pour comprendre l’histoire