La Mixité Scolaire

Le quartier Centre, au cœur d’une mixité sociale. Dossier d’étude de territoire. Table des matières I. La politique 2 A. La mairie 2 B. La direction de quartier 2 1. Présentation 2 2. Le conseil de quartier 3 II. Les logements 3 A. Constats 3 B. Impacts : 4 C. L’Opération Programmée de l’Amélioration de l’Habitat (OPAH) 5 III. La population 7 A. Constats 7 B. Le Programme Local de l’Habitat. 10 IV. Petite enfance et famille 13 A. Les établissements 13 B. L’accueil des familles

exclusivement de l’enseignement public et élus par des pairs. La loi de 1881 impose à tous les professeurs d’avoir le brevet élémentaire pour enseigner. Puis celle du 16 juin 1881 proclame la gratuité de l’école: « Il ne sera plus perçu de rétribution scolaire dans les écoles publiques ni dans les salles d’asiles publiques. Le prix de pension dans les écoles est supprimé. » Un an pus tard, le 28 mars 1882, l’école devient obligatoire, les programmes sont laïcisés, les enseignants ne sont plus des membres

reliés au centre. A partir des années 70, la mixité social a fini par se dissoudre, les catégories moyennes se sont dirigés vers le périurbain ; Spirale du grand ensemble au quartier sensible : -A l’origine, une certaine diversité sociale (classes populaire/ moyenne) -Années 70-80, départ des ménages, les plus aisés, développement du chômage -Concentration des difficultés : populations précaires, fort part d’étrangers, jeunes au chômage, échec scolaire … Dégradation du bâti, enclavement… Ces quartiers

ou internationaux (Camille, Ines), ils sont donnés de façon systématique au sujet de plusieurs facteurs. Un prénom, en apparence un simple nom donné à la naissance, peut s’avérer être un véritable marqueur social, culturel ou bien même de réussite scolaire. Même si l’attribution d’un prénom est quelque chose d’anodin à l’échelle social, il n’en reste pas moins l’objet de plusieurs études permettant de comprendre le bon fonctionnement de la vie en communauté et des méthodes d’attribution des prénoms

obligatoire, pour répondre aux besoins du pays et favoriser la mixité sociale pour préparer les futurs citoyens à une vie commune démocratique. L’ouvrage suit pas à pas la réforme depuis 1975 ; il souligne les différents problèmes rencontrés, notamment en ce qui concerne les « élèves en difficulté ». Il pose la question de l’échec du collège unique et la remise en cause de la scolarité obligatoire jusqu’à 16 ans. La difficulté scolaire est un problème pour l’élève lui-même qui en souffre ; elle

population hétérogène1 La population suresnoise était estimée par l’INSEE à 44 491 habitants en 2006. Les 15-17 ans sont 1337, ils représentent 3% de la population. 95,6% de cette tranche d’âge est scolarisée (58 jeunes sont sortis du système scolaire). Evolution de la population suresnoise depuis 1990 (en pourcentage)2 Tranche d’âge 0-14 15-29 30-44 45-59 60-74 75 et + 1990 14,4 22,8 24,5 16,6 11,6 7 1999 19,2 20,5 26,6 17,2 10 6,4 2006 21,1 19 26,8 17 9,4 6,6 Depuis 20 ans on

recense 3603 personnes en capacité de travailler. Parmi elles, 3184 ont un emploi (soit 88,4%) et 419 sont sans emploi (soit 11,6%). E – L’EDUCATION Pour accueillir les 800 enfants de la commune, la ville de xxxx est divisée en trois secteurs scolaires qui comptent six écoles : 1. Trois maternelles : Jean de la Fontaine, Charlie Chaplin, Ludovic Massé 2. Trois élémentaires : Georges Buffon, Ludovic Massé, Jacques Prévert Le tissu éducatif est complété par le collège Pablo Casals qui accueillent

l’action menée en faveur de l’égalité des sexes dans le système éducatif. La nouvelle Convention interministérielle signée pour la période 2006-2010 poursuit le même objectif. Des actions tendant à favoriser la diversification des choix d’orientation scolaire ont en particulier été mises en place dans le cadre de ces conventions. La loi du 15 mars 2004 encadrant le port de signes religieux à l’école constitue un instrument important pour renforcer la lutte contre les discriminations et conforter le principe

fondamentales Le rôle de l'établissement scolaire dans l'accès à l'école pour tous • Le rapport égalité ( État ) / équité ( instances locales ) ; il y a une autonomie des instances locales par rapport à l'État • L'efficacité de l'établissement – le conflit entre pratiques de famille / valeurs de l'école ; les théories de l'échec scolaire • Les politiques de l'établissement 2.1 Inégalités scolaires et classes sociales Contexte actuel • Massification scolaire depuis les années 70 : on passe de l'idéal

millions de |Sportive" avec le concours des bases de loisirs d'été, des établissements | | | |licenciés, 3 millions de pratiquants soit 2 |scolaires et des associations. Tout est mis en œuvre pour que les 16-25 ans |Le 1er février 2007, Rhône-Alpes est devenu la | | |rhônalpins sur 3, et l’accueil de 100 |accèdent à une activité régulière