La Modernité Chez Zola

siècle Chapitre 2 : La Renaissance Le XVI siècle Chapitre 3 : Le Classicisme Le XVII = Le siècle classique Chapitre 4 : Les Lumières Le XVIII = Le siècle éclairé Chapitre 5 : Le romantisme Première moitié du XIX siècle Chapitre 6 : Modernité De 1850 jusqu'au début du XX siècle. Chapitre 1 : Le Moyen-Âge Leçon 1 Introduction C'est l'âge intermédiaire, médian, souvent perçue comme la période intermédiaire entre l'antiquité et la Renaissance. Généralement, vue comme une appellation

situation des perso, ns avons des observations à travers les perso, sociales et psycho , mis en liaison. On chez Malraux , psycho lie au sexe, au milieu, a l’ origine geo ; très cosmopolite ; chaque perso : psycho socialisée, ce qu’il ressent a mettre en considération ac le regard, parcours qu’il a reçu ; bribes de passé qui permettent d’obtenir des espèces de clés sur la psycho des personnages ; Chez Malraux, démultiplication des points de vue ; cinq six sept perso principaux ; la gde innovation de Malraux

Souvenirs d'un jeune homme » (1983) ; Wolinski, « Sales Gosses » (1999). Sites et documents Internet, médias INAG (l'Institut universitaire Âges et générations) http://www.cours-inag.ch/fr/bienvenue/ François de Singly : « Famille, première et deuxième modernité », U.T.L.S. http://www.canalu.tv/canalu/producteurs/universite_de_tous_les_savoirs/dossier_programmes/ les_conferences_de_l_annee_2005/la_famille_aujourd_hui/famille_premiere_et_deuxieme_modernite Revue en ligne : « Label France » : n° 51 (2003)

métal), sur la vitesse avec le mot cadence et sur le bruit avec le mot marteau et le verbe bruire. La vision de la ville évolue du réalisme au fantastique comme si elle s’animer sous les yeux du lecteur comme un monstre moderne qui rappel la machine chez Zola, elle se développe comme une créature autonome. Dans le poème il y a deux phrases nominales : la première « Treuils » sans déterminant et en un seul vers et la deuxième phrase est le vers suivant (vers. 9 et 10). Le champ lexical est à nouveau celui

raffinement de la vie sociale, la vie curiale, aussi à un raffinement de la conversation, qui vont progressivement prendre une signification culturelle. La vertu seigneuriale attachée en particulier aux seigneurs qui dominent cette société curiale chez qui on attend de trouver un certain nombre de vertu, tel que la bravoure sur le plan militaire, le courage, mais aussi d’autres vertus, la libéralité, le fait d’être libéral c’est être généreux, donner largement y compris recevoir à sa cour un certain

jeux d’adresses qui peuvent donner lieu à des tournois), et une importance de la lecture. On citera ici Michelle Perrot : « culture des pauvres n’est pas pauvre culture ». MOTS CLEFS : SOCIABILITE- OUVRIER. La mine vue par Zola Dans son livre Germinal, Emile Zola décrit les horribles conditions de travail des ouvriers plus précisément des mineurs. Il évoque les accidents professionnels fréquents et les salaires dérisoires des mineurs, laperte de dignité humaine qu’engendre la misère (perte

comment la société mercantile finit par obliger un jeune homme pur et naïf à adopter une attitude calculatrice et cynique, pour réussir. b. le naturalisme de Zola : à l’ambition réaliste, Zola ajoute une théorie de l’expérimentation scientifique inspirée par les travaux du biologiste Claude Bernard. Deux lois scientifiques influent selon Zola sur l’évolution d’un personnage : l’influence de son milieu (déterminisme social) et le rôle de l’hérédité (déterminisme génétique). Ainsi, dans le cycle de

alors la « nouvelle peinture » et l’opposition au régime de Napoléon III, incarnée par la nouvelle génération républicaine. Les premiers défenseurs des nouveaux peintres se recrutent de ce côté de l’échiquier politique, pensons à Théodore Duret, à Zola, à Castagnary. Contester l’ordre académique et les institutions officielles, dans la mesure où elles sont étroitement liées à l’Etat, c’est aussi dans les années 1860 une manière de s’opposer à l’ordre politique établi. Choisir des

(1668)  Beaumarchais, Le Mariage de Figaro (1784), Acte V,3 du début de la scène à « Il se rassied »  V. Hugo, Discours sur la misère devant l'Assemblée (9 juillet 1849) de « Eh bien, messieurs, je dis... » à «des lois contre la misère »  Emile Zola, « J'Accuse », paru dans le journal l'Aurore (janvier 1999) péroraison Lectures complémentaires : figures de la misère humaine * La Bruyère, Les Caractères, « de l'Homme », Gnathon (1688) *V. Hugo, Les Misérables (1862), Chap. XI « Christus nos liberavit

pour germaniser encore le nom, il souhaitait que l'on prononce « Standhal »[4]. Ses romans de formation Le Rouge et le Noir (1830), La Chartreuse de Parme (1839) et Lucien Leuwen (inachevé) ont fait de lui, aux côtés de Balzac, Hugo, Flaubert ou Zola, un des grands représentants du roman français au XIXe siècle. Dans ses romans, caractérisés par un style économe et resserré, Stendhal cherche « La vérité, l'âpre vérité » dans le domaine psychologique, et campe essentiellement des jeunes gens aux