La Modernité Chez Zola

cités industrielles : «  la ville souvent décrite comme la gardienne et la source des vertus de la civilisation, subi une croissance anarchique, accueillant les masses pauvres paysannes, devenue le siège de la misère (dépeinte en France par Balzac, Zola, Hugo), elle est désorganiser socialement, l'individu est déraciné, isolé, arraché aux rythme qui ponctuaient la vie rurale. » (p11) découvertes scientifiques (libération des contraintes de la nature et de la société) organisation du travail

Souvenirs d'un jeune homme (1983). Wolinski, Sales Gosses (1999).   Sites et documents internet, médias INAG (l'Institut universitaire âges et générations)  http://www.cours-inag.ch/fr/bienvenue/ François de Singly : Famille, première et deuxième modernité, UTLS http://www.canal-u.tv/ Revue en ligne : Label France : n°51 (2003) Dossier : France : la nouvelle génération http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/ Retraite et société n° 35 Conflits de générations ? (2002) numéro en ligne ou à la Documentation

entre rencontre-hasard et aventure-providence. Joseph Ratzinger (futur Benoit XVI) a fait une critique et une lecture chrétienne de ce roman. Il montre que Don Quichotte est une œuvre qui démontre le changement d’une époque et les risques de la modernité. Le roman d’aventure tourne autour de la liberté et de la soumission, autour du passé et du présent. C’est une réalité où l’homme n’a plus confiance dans la providence. Continuité à ne pas négliger comme la soumission à la volonté de Dieu, le monde

bonne partie du XIXe siècle à attribuer à la photographie, jusqu’à sa formulation définitive par Roland Barthes : la photo dit la mort, voire la photo apporte la mort. « Quand elle a été vieille, les cheveux blancs, elle est allée aussi chez le photographe, elle y est allée seule, elle s’est fait photographier avec sa belle robe rouge sombre […]. Sur la photo elle est bien coiffée, pas un pli, une image. Les indigènes aisés allaient eux aussi au photographe, une fois par existence, quand

». Dans la même lignée, le naturalisme poursuit cette ambition mais avec un aspect scientifique plus marqué. Pour Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » grâce auquel on peut étudier les comportements humains, les révéler voire les dénoncer. dEux ArticlEs du Monde à consultEr • Le Zola bâtisseur d’Henri Mitterand p. 10 (Michel Contat, 21 décembre 2001) • Émile Zola, solitaire et solidaire p. 10-11 (Michel Contat, 27 septembre 2002) xixe : réalisme et naturalisme • L’ambition

regroupent autour de la Ligue des droits de l’homme. Chronologie : Le 22 décembre, Dreyfus est condamné puis transféré en Guyane. Le 2 novembre 1896, une fausse pièce dans son dossier –le faux Henry- est créée. Le 14 janvier 1898, la lettre J’accuse de Zola est publié dans L’Aurore, dont le rédacteur en chef est Clémenceau. Le 20 février de la même année, la Ligue des droits de l’homme et du citoyen est reformée. En août, on découvre le faux fait par le colonel Henry, qui se suicide. Beaucoup de démissions

ce regard « où deux âmes croient se mêler », « croient » seulement. A ces formulations qui avertissent le lecteur, s’ajoutent des présages qui échappent à la jeune femme : les manifestations d’émotion de Rosalie au début du roman et celles de Julien chez les Fourville lors de la « pêche au flambeau ». Un personnage humain, complexe Jeanne nous émeut car elle témoigne de l’inconsistance des êtres au milieu desquels elle est contrainte de vivre. Elle est courageuse quand elle tient tête à la marquise

douche, rince ses vêtements, les met à sécher et se rhabille avec sa tenue propre du matin. La Salle des Pendus et les douches sont des © Conseil général de la Vendée installations qui sont arrivées dans les années 1920. Avant, les mineurs rentraient chez eux en habit de travail. Des lieux de détente En dehors du travail, les mineurs apprécient de se retrouver dans des lieux où ils peuvent passer un bon moment. Le café, bien sûr, en est un. On s’y détend, on y boit un peu, et surtout, on y discute

Bonn, Charles. « De l’ambiguïté tragique chez Feraoun, écrivain réputé ''ethnographique'' » Nouvelle Revue Synergies Canada, N◦6 (2013) De l’ambiguïté tragique chez Feraoun, écrivain réputé « ethnographique » Charles BONN Université Lyon 2 France Liée au contexte politique qui l’a vue naître dans les années Cinquante, la littérature algérienne est encore trop souvent lue à partir de présupposés anticolonialistes qui sont certes indissociables de son émergence, mais méconnaissent la complexité

comme le portrait, le blason, l'allégorie, la prosopopée, l'éthopée, etc., sans d'ailleurs les distinguer ou les définir avec précision. La recherche des « clés » (qui est Irène, qui est Phédon?) ou des « sources » (quel fut le modèle de la Nana de Zola?) reste vivace, et les typologies les plus élaborées sont souvent fondées sur une théorie du personnage (héros « problématique » ou non, d'identification ou de compensation, etc). La vogue d'une critique psychanalytique plus ou moins empiriquement