La Mondialisation Et Les Pays Du Tiers Monde

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introduction La mondialisation est un impératif incontournable même si sa contestation demeure vivace, elle se caractérise par l'existence d'une économie mondiale de plus en plus intégrée, la constitution de cette économie mondiale est la conséquence de l'accroissement continu des échanges de marchandises et la délocalisation de la production. Le mouvement qu'elle induit pour les pays moins avancés rend à la fois plus urgent et plus difficile la création d'une dynamique permettant au tissu économique

Éclairage La mondialisation entraîne-t-elle de nouvelles (in)égalités? L’économie mondiale connaît une période prolongée de croissance, et les perspectives restent favorables. Avec une augmentation annuelle de 2,1% durant la période 1980–2005, le revenu moyen par habitant des pays en développement converge modestement – mais c’est une réalité historique – vers celui des pays riches1. Cette tendance va se poursuivre et les économies émergentes contribueront de plus en plus à la croissance mondiale

Le monde : diversité et disparités Introduction : Les Etats du monde sont reliés par de nombreux réseaux économiques et culturels. On peut parler ainsi de l’existence d’un village planétaire. Toutefois, on observe de nombreuses disparités entre les Etats. La population et la richesse sont inégalement réparties. Il y a de grands déséquilibres sociaux et économiques sur la planète. Comment peut-on expliquer l’existence d’un « système monde » ? Quelles sont les principales disparités économiques et

s'agit donc pour les acteurs de ce mouvement de concevoir et d’œuvrer à une mondialisation maîtrisée et solidaire, par opposition à la mondialisation actuelle, jugée selon eux injuste et dangereuse. Assez hétérogène, le mouvement oscille entre un réformisme (par exemple à travers la revendication d'une Taxe Tobin[1] proposée par Attac) et un « imaginaire de la rupture », mais se rassemble autour du slogan « Un autre monde est possible » ou plus récemment, « D'autres mondes sont possibles »[2].

l'a logiquement mené à dénoncer de manière virulente le Consensus de Washington et à s'opposer, alors vice-président de la Banque Mondiale, à son homologue du Fonds Monétaire International, Stanley Fisher, au sujet de la politique à mener envers les pays asiatiques. Il acquit une certaine notoriété populaire peu après son départ de la Banque Mondiale en critiquant vivement les institutions de Bretton Woods, notamment le FMI et la Banque Mondiale. Présentation de l’ouvrage : La Grande Désillusion

la balance invisible n’est pas équilibrée -> on importe plus que l’on exporte « L’euro est trop fort » -> on vend trop cher pcq notre monnaie a plus de valeur Concurrence déloyale des pays asiatiques -> les produits importés sont moins cher Coût de l’énergie -> frais de transports pour aller dans les autres pays trop cher donc prix de vente qui augmente Manque de compétitivité des entreprises françaises -> ne vont pas à l’international L’Allemagne la Belgique l’Espagne et la Chine sont des

Processus et acteurs de la mondialisation Depuis les années 1980, le terme de « mondialisation » désigne le fait que l'humanité vit désormais dans un monde fait d'échanges intenses à l'échelle planétaire. La mondialisation résulte d'une logique liée à l'économie libérale et à la circulation des hommes, des biens, des idées. On a pu parler, suivant l'expression de Marshall MacLuhan, de « village global ». Pourtant, ce processus est complexe et ses acteurs sont multiples. Comment s'organise l'espace

processus migratoires qui ont forgé la population européenne au XX ème siècle, d'où l'enjeu majeur que représente cette question. Le terme « immigration » sous-entend qu'il faut prendre en compte toute les populations qui arrivèrent dans un quelconque pays d'Europe, qu'elles soient originaires d'Europe même ou d'un autre continent. Au lendemain de la première guerre mondiale, l'Europe, déchirées par quatre ans de guerres ayant causé de nombreux dommage matériels est une Europe à reconstruire partiellement

presque. Enfin alors que le ministre se lève pour partir, un haut responsable de France Télécom lui dis : "On n'a pas parler de ce nouveau truc, Internet. Mais ce n'est pas grave. Inutile de vous occuper de ça, c'est une mode, dans trois mois, tout le monde l'aura oublié." M. Fillon l'avait très bien compris, ce fonctionnaire rêvait sans doute de sauver le Minitel de cette concurrence étrangère sauvage. Pourtant, quelques mois plus tard, le gouvernement lançait un projet de charte de l'Internet, visant