La Monnaie Est T Elle Neutre

des phénomènes économiques. La première pensée monétariste est née avec Jean Bodin au XVIe siècle. «La monnaie importe», disait-il. Il est le premier économiste à avoir établi un lien entre l'importance de la masse monétaire et la hausse des prix. Cette idée fut reprise et formalisée au XXe siècle par Irving Fisher, qui donna sa forme la plus aboutie à la théorie quantitative de la monnaie. Le courant monétariste, animé par des néolibéraux, repose sur une interprétation particulière de l'équation

La monnaie est un voile ? Introduction : La monnaie exerce trois fonctions dans une économie : moyen d’échange, elle est l’instrument des transactions utilisé entre les vendeurs et les acheteurs ; unité de compte ou étalon de la valeur, la monnaie mesure les prix et les dettes ; et instrument de réserve de la valeur, elle permet de réserver un pouvoir d’achat présent pour un usage futur. Si les économistes s’accordent pour reconnaître ces trois fonctions à la monnaie, ils sont en revanche

Chapitre 2 : La monnaie, variable clé de l’économie ? Fort clivage théorique : Ceux qui considèrent la monnaie comme « voile » : monnaie dichotomique, elle n’intervient pas dans l’allocation des ressources. Elle ne sert qu’à fixer les prix absolus, les prix relatifs sont fixés par le marché Ceux qui considèrent la monnaie active : elle est intégrée au raisonnement parce qu’elle agit sur les comportements  politiques monétaires possibles I)Le quantitativisme monétaire A)Les prémices de la

L'équilibre sur le marché de la monnaie et la théorie quantitative La théorie quantitative de la monnaie donne une représentation de l'équilibre sur le marché de la monnaie qui découle directement de la conception classique de la monnaie selon laquelle le seul motif de détention de la monnaie est le motif de transaction (rappelons que la monnaie a 3 fonctions: intermédiaire dans les échanges – réserve de valeur et unité de compte). On en trouve deux formulations. La première est due à I. Fisher

quantitatives de la monnaie Origine L’idée de base de la théorie quantitative de la monnaie c’est qu’il y a une relation de stricte proportionnalité entre la quantité de monnaie en circulation et le niveau général des prix. * Conception de la monnaie chez les classiques : Chez les classiques, la monnaie est neutre car elle est considérée comme un « voile » sur les échanges (J.B. Say), c’est-à-dire que les produits s’échangent contre des produits (loi des débouchés). La monnaie n’est pas demandée

Chap 7: La monnaie & l’inflation Introduction: l’objet économique par excellence; concept qui fait diverger le plus les économistes et concept que les non-économistes ont du mal à aborder. —Cf dans la collection La découvert, repère, « La monnaie et ses mécanismes », 10€ de D. Plihon. —Pour une approche historique, « l’irrésistible ascension de l’argent », de Niall Ferguson (ultralibéral, thèse radicale, on retrouve cette conclusion libérale que la monnaie ne sert à rien), passionnant. Comment l’argent

QUANTITATIVE DE LA MONNAIE Extraits wikipédia La théorie quantitative de la monnaie est une théorie économique fondée sur la relation de causalité entre la quantité de monnaie en circulation et le niveau général des prix. Cette théorie a été développée par différents auteurs dans différents pays. Les théories monétaires s’opposent sur le rôle de la monnaie dans l’économie. Les classiques et néoclassiques considèrent que la monnaie est neutre, les keynésiens affirment que la monnaie est active et qu’elle

La monnaie joue un rôle essentiel dans l’activité économique actuelle mais ce rôle reste assez souvent très mal appréhendé. Cette ignorance provient peut être du fait que la monnaie est par elle-même un phénomène complexe. La monnaie peut se définir comme un bien spécifique permettant à toute personne qui la possède d’acquérir à tout moment n’importe quel autre bien ou service ; elle est ainsi constituée de l’ensemble des moyens de paiements dont disposent les agents économiques sur une zone géographique

défenseurs se prononcent au contraire pour une liberté d’émission monétaire en fonction desbesoins de l’économie sans lien directe et étroit avec l’encaisse métallique des banques souscontrainte de convertibilité. Cela a l’avantage de disposer d’une monnaie dont la quantité peutaugmenter en même temps que le rythme des affaires.Pour éviter des crises majeures, l’émission des billets de banques peut être plafonnée ou limitée àun certain pourcentage de l’encaisse métallique.Le système de la « Banking school

premier temps les agents économiques pouvaient déposer leur or et leur argent auprès d’une banque en contrepartie d’un certificat. Celui-ci pouvait être utilisé dans les transactions. En fait c’était l’or ou l’argent qui constituait la véritable monnaie, le CERTIFICAT DE DEPOT servait uniquement à faciliter les échanges. Le billet de banque n’a acquis un véritable rôle d’instrument des échanges qu’a partir du moment ou l’Etat lui conféra un cours légal (des 1870 en France). Cela donna lieu à une