La Montée Des Fanatismes

C’est un aigrefin adroit, un coureur de dot, un détrousseur d’honnêtes gens, qui a simplement saisi tout le profit qu’il pourrait tirer de l’aveuglement d’Orgon. À rebours des lectures qui veulent faire de lui le symbole malfaisant de tous les fanatismes, on peut alors voir Tartuffe comme un voyou sympathique, séducteur et roublard, un fourbe irrésistible comme les affectionnent la littérature et le cinéma populaires : un genre d’Arsène Lupin déguisé en dévot pour mieux réussir son coup, une crapule

gloire et du devoir sont ici évoqués à travers le dilemme de Titus entre amour et pouvoir. Mais Bérénice ignore qu'au même moment Titus a renoncé à leur amour. DU COTE DE BENERICE 10) La pièce de Racine est montée sur des quiproquos notamment le dialogue entre Iphigénie et son père Agamemnon. Agamemnon est un personnage complexe. Il est à la fois un héros épique, guerrier valeureux et un père bouleversé à l’idée de sacrifier une fille chérie. C’est à ce

digne de lui. Il ne pouvait pas appartenir à une nation plus petite, moins puissante que l’Allemagne. ».   Sur le front, il effraie tant ses camarades que ses supérieurs de l'État-major. Un d’eux témoigne dans un rapport: « Tribun né, qui par son fanatisme et son style populiste, captive l'attention et oblige à penser comme lui ». C’est en fait lors de la première guerre mondiale qu’Hitler suit son apprentissage du mépris de la vie humaine et qu’il prend conscience de ses talents d’orateur. Il devient

religion. Des pays craignent que la démocratie à l’occidentale ne soit pas compatible avec l’islam. Cette idée de l'opposition entre chrétiens et musulmans semble être au centre de la réflexion. Certains individus voient dans la religion musulmane la montée d’un intégrisme islamique et l’essor du terrorisme d’origine musulmane et sont donc défavorables à l'arrivée de la Turquie dans l'union européenne. Le renforcement de cette religion en Europe serait donc problématique. Les individus favorables à cette

»). Bartolo vient faire à Rosine une scène de jalousie (I, « A un dottor de mia sorte »). On frappe à la porte. C’est Almaviva déguisé en soldat aviné qui, grâce à un faux document, exige de Bartolo le droit d’être hébergé dans sa maison. Le ton monte entre les deux hommes. Figaro tente de calmer le jeu, en vain. La force publique doit intervenir. Almaviva révèle sa véritable identité aux autorités à la stupéfaction générale. On lui rend sa liberté. Livret pédagogique Saison 07/08

Nous héritons de ces bouleversements : le capitalisme et la démocratie semblent, à tort ou à raison, la réalité pour l’un, la valeur pour l’autre, indépassables tous deux, de notre temps, même si la dernière est contestée avec violence par des fanatismes renaissants. Il faut désormais faire avec pour l’un (la fin du communisme ne signifiant pas pour autant que son adversaire historique, le marché, nous fait se porter mieux…), de repenser l’autre aussi, dans une dimension critique capable d’orienter

nationalisme égyptien, l’Egypte tomba en 1882 sous la domination de la Grande-Bretagne. Le siècle des Lumières en France se montra très critique vis-à-vis de l’Islam: les encyclopédistes l’ont considéré «fermé à la raison», et Voltaire critiqua son «fanatisme». L’affaiblissement politique et économique de l’Empire ottoman dès la seconde moitié du XIXe siècle amena Ernest Renan à s’interroger sur la responsabilité de l’Islam de cette décadence. Dans sa conférence à la Sorbonne du 29 mars 1883 sur les rapports

internationale intégriste Conclusion Bibliographie Introduction La force ascendante des radicalisations religieuses depuis une vingtaine d'années, et ce dans la plupart des sociétés, a provoqué de vives réactions. Le fanatisme de leaders religieux, capables de mobiliser des masses grâce à leur position de représentants terrestres des lois divines, heurte tout autant les conceptions démocratiques que les théories classiques du lien entre religion et monde moderne. Pourquoi

Volland, la femme selon son coeur, rencontrée en 1755. Alexandre DUMAS Il y a plusieurs Alexandre Dumas dans la même personne. L’un, le plus connu, est le romancier, auteur des Trois Mousquetaires (1844), de La Reine Margot (1845) et du Conte de Monte-Cristo (1844-1845). L’autre, le plus célèbre à son époque, est un homme de théâtre, qui révolutionna le spectacle avec Henri III et sa Cour (1829), Antony (1831) ou La Tour de Nesle (1832). Le dernier enfin, né à Villers-Cotterêts le 24 juillet 1802

vérité» ne signifie donc pas «vouloir ne pas se laisser tromper» ou «vouloir ne pas tromper les autres ni soi-même», ce qui nous ramène dans le domaine moral. Qu'on se demande sérieusement en effet: «pourquoi vouloir ne pas tromper?». Que la vie soir montée en vue de l'apparence, j'entends qu'elle vise à égarer, à duper, à dissimuler, à éblouir, à aveugler, et si, d'autre part, elle s'est toujours montrée sous son plus grand format du côté des fourbes les moins scrupuleux? Interprété timidement, ce dessein