La Montée Des Idées De Liberté

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contester le pouvoir en place et d’en instaurer un nouveau, ou bien de réclamer une indépendance.Nous allons donc nous demander comment la contestation du pouvoir en Europe occidentale en 1815 et 1848 prouve que le mouvement des nationalités et les idées de libertés fondamentales commencent à apparaitre, alors que le pouvoir tente de faire régner l’ordre en muselant l’opinion publique.Pour cela, nous allons d’abord voir les révolutions de 1830, ou le mouvement des

l’armée. Ce phénomène amène au même moment une monté du cléricalisme. De plus, une monté du nationaliste français se fait sentir. À cette époque, l’Église était intimement liée avec le gouvernement. Sans oublier qu’il y a une montée du mouvement anarchiste dans les années 1890 qui oblige le gouvernement à exécuter des gestes de répression dans le but de calmer le peuple. La gauche qui était contre les actes du gouvernement s’élève prônant de nouvelles idées tels que : la justice sociale, la laïcité,

mobilité sont étroitement réglementées. Fin du XVIIIème au début du XXème : Machinisme, industrialisation et développement du capitalisme industriel La première moitié du XXème : L’empreinte du taylorisme et la montée du droit social. La fonction Personnel apparaît dans les organisations La période est marquée par des inventions qui bouleversent l’organisation du travail : remise en cause des modes anciens de formation, de sélection et de conditions de travail

Deux modèle ne marchent plus  idée de refonder la croissance  croissance : nécessité pour les deux idéologies : libérales et communistes Doute pérdure assez longtemps  marché des idées et des modèles d’excellences La mondialisation n’est pas un individu  pas de volonté  pas orientée  marché d’idée les idées se valent Entrée de nouveaux acteurs  modifie le court de la M / pas forcément un processus  plutôt tendance au sein du marché »  échange de savoir d’idée des cultures, de biens

d’état par une force sociale-politique en cadre d’une communauté ou système social globale. Les nombreuses typologies des régimes développées à partir du XVIIIe siècle sont plutôt fondées sur la manière dont le pouvoir est exercé. S'appuyant sur les idées de Montesquieu, on a ainsi pu distinguer : • les régimes de confusion des pouvoirs : o au profit de l'exécutif : régime présidentialiste, dictature o au profit du législatif : régime conventionnel ou régime d'Assemblée (ex:

décisions affectant la société dans laquelle il vit. Pour choisir la politique à mener, il faut atteindre un consensus, ou du moins, un consensus majoritaire parmi la totalité des citoyens. Et ce consensus ne peut être atteint que par le partage des idées, le débat public. Ce débat ne peut exister simplement et naturellement que s'il est permis par les règles sociales. En ce sens, on peut considérer que les pays Occidentaux sont des démocraties puisqu'ils garantissent le droit d'expression et de pensée

politique et donc difficile à construire. A titre introductif: touche plusieurs pb: pb de l'acteur: dont il faut mesurer la part de liberté et déterminisme qui pèse sur lui. Sommes nous libre de notre identité ou au contraire sommes nous déterminer part la culture, par l'identité collective à laquelle on appartient? Réponse est entre les 2, part de liberté et part de déterminisme. Pb de construction du système politique. Souvent on entend parler de culture musulmane, chrétienne, culture politique

concerne la création de la Banque de France, chargée de veiller à l’unité de la politique monétaire du pays. Cette Banque de France établira d’ailleurs en 1803 une nouvelle monnaie, le franc germinal, qui restera stable jusqu’en 1914. Fidèle à ses idées inspirées du club des Jacobins, Bonaparte poursuit l’œuvre politique de la Révolution: en 1801 est proclamé le Concordat, par lequel l’Eglise et le clergé, tout en conservant le soutien financier de l’Etat, ne sont plus associés aux affaires du gouvernement

si, au contraire, les œuvres littéraires contribuent à la liberté de l'homme et de la société. Enfin, le propre de la littérature n'est-il pas d'éveiller notre esprit critique et de provoquer les remises en question ? En tout premier lieu, le terme "d’engagement" popularisé par Sartre juste dans l'après-guerre correspond en fait à une réalité fort ancienne. De tout temps, des écrivains se sont servis de leur plume pour défendre des idées, des causes politiques, humanitaires. Dans la littérature