La Morale Dans Ruy Blas

Deuxième groupement de texte : Texte théâtraux I-Don Juan (Molière) Cursife (II- Ruy Blas (Victor Hugo) ) III- En Attendant (Godot Beckett) IV- Tartuffe (Molière) V-Les Justes (Albert Camus) I- Dom Juan Molière (comédie classique) Pièce écrite en 1605 par Molière. 3 scènes qui constituent la fin et l'épilogue de la pièce. On assiste à la mort du personnage éponyme 1) Registre Tragique Ce qui montre que la pièce

pas être ceux des hommes notamment dans certaines de comédies les personnages sont caricaturés à un stade qu’ils semblent presque inhumains, totalement ôtés de sentiments, ou il ne pensent qu’à leurs propres intérêts sans se soucier à toute forme de morale et de compassion. il sont de faux dévots comme dans « Tartuffe » , des vieux grippe-sous comme dans « l’Avare » toujours de Molière. Cette antipathie envers le héros de la pièce permet de faire comprendre à ceux qui aurait un centième des défauts

que l’illusion théâtrale est créée par leur jeu, les costumes et le décor, et le spectateur éprouve grâce à eux des émotions différentes, et reste un loisir la plupart du temps, car le théâtre n’a pas toujours de visée morale ou argumentative, comme Ruy Blas de Hugo, même si Ruy Blas fait une critique de la société de l’époque, ou comme dans les comédies antiques d’Aristophane, l’objectif reste essentiellement d’amuser le peuple. En effet, d’après Shakespeare, la vie même serait un théâtre ou chacun

Ce corpus synchronique, met en œuvre des extraits de pièces de théâtres écrites à des périodes classés par ordre chronologique :Les Fausses Confidences de Marivaux, publié en 1737; Le Barbier de Séville de Beaumarchais, composé en 1775, Ruy Blas de Victor Hugo, édité en 1838 ; ainsi qu’une illustration représentant un extrait de la mise en scène des Fausses Confidences faite par Didier Bezace en 2010 au théâtre de la Commune à Aubervilliers. Ces trois extraits présentent des mises en scènes dans

La légende des siècles (1859,1876,1883) Cromwell (1827) Hernani (1830) Ruy Blas (1838) Notre-Dame de Paris (1831 Les misérables (1861) Les travailleurs

posent plus de limites quant à la mise en scène, ils se permettent de monter des morts, des combats, des suicides ou encore des dialogues vulgaires sur scène. Il ne s’agit donc plus de préserver la sensibilité du spectateur et de respecter une certaine morale mais plutôt de pousser la réalité à son maximum. Ainsi, lors de la première d’Hernani d’Hugo des échauffourées ont lieu entre les partisans du théâtre moderne et ceux hostiles aux libertés prises par l’auteur (montrer la mort sur scène). Outre la

répétition est présent dans la pièce lorsqu'il Bartolo répète à chaque fois le même geste « il lui tâte le pouls » et que Rosine fait semblant de s'évanouir « tombe sur un fauteuil, et fin de se trouver mal ». Pour finir dans le texte de Victor Hugo, Ruy Blas, 1838 on n'y trouve le jeu scénique complètement en rapport avec la lettre jouée par la reine : « arrache une lettre froissée », « jette sur la table » et « se précipite sur la lettre » cela est également comique car cela montre que la reine n'a

publie son 1er roman historique : « Notre Dame de Paris » et en 1838 son chef d’œuvre romantique : « Ruy Blas ». En 1841 il est élu à l’Académie française. En 1843, la mort de faille Léopoldine le déchire et le pousse à réviser son action. Il entame une carrière politique. Elu à l’assemblée constituante en 1848, il prend position contre la société qui l’entoure : la peine de mort, la misère, l’ordre moral et religieux. C’est en 1862 qu’Hugo termine « Les Misérables », immense succès populaire à l’époque

succès populaire avec par exemple Notre-Dame de Paris (1831), et plus encore avec Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 18275 et l’illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l'Assemblée constituante et à l'Assemblée législative, notamment sur la peine de mort, l’école ou l’Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ou Choses

machines,…) * les bruits (tempêtes ou machines) vont apparaître en scène. Ce qu´on a interprété comme réussite immédiate du mélodrame a été l´abolition totale de l´Ancien Régime et le retour aux valeurs traditionnels (valeur du père, Moral chrétienne,…) La structure du mélodrame suit un système rigide ; c´est un genre très codé. On trouve des types de personnages fixes avec très peu de variants. Les personnages sont divisés en bons et méchants et sont reconnus en scène par sa beauté