La Morale Est Elle Un Obstacle à La Liberté

La liberté Repère CONTRAINTE/OBLIGATION, et comment s'en servir : « Un grand m'a obligé à lui donner l'argent que j'avais sur moi », « vous avez franchi la ligne blanche, je vais être contraint de verbaliser' : Le collégien racketté et le gendarme tatillon semblent, à les entendre, considérer comme synonymes les termes d'obligation et de contrainte. Être « obligé de » ou « contraint à » faire quelque chose, ce serait y être entraîné malgré soi, y être forcé d'une manière ou d'une

LA LIBERTÉ On devient libre, on ne nait pas libre on le devient en faisant des chois et en acceptant des contraintes EX : le pianiste pourra improviser, jouer, créer faire preuve de liberté dans la mesure ou il aura acquis un certain nombre de structure de contraintes et de codes Nos potencialité ne peuvent se developper que par le travail (la contrainte, la repetition), et c'est par cela que l'on peut acquerir une liberté de penser. Ce texte nous permet de dialectiser les notions

LA CONSCIENCE ET L'INCONSCIENT: La conscience et l’inconscient font partie du groupement « le sujet ».Leurs thématiques sont liées à la question « Qu’est-ce que l’homme ? » que Kant considère comme celle la philosophie dans son ensemble. Conscience : (etym : latin cum-scientia, avec savoir) faculté propre à l’être humain de se représenter lui-même et de se juger. Philosophie : faculté de se représenter ce qui existe et de se prendre soi-même pour objet. La conscience est une forme de présence

dissertation   La dissertation philosophique est un genre de discours dont la fonctionexclusive est de résoudre un problème philosophique. Par « problème philosophique », il faut entendre, comme l’indique l’étymologie, une « question embarrassante », à savoir une question dont la réponse n’est jamaisévidente et ne peut pas l’être, qui peut être aussi bien positive que négative, « où l’on admet l’affirmation ou la négation comme simplement possibles » (Kant). Cette forme de discours implique néanmoins

INTRODUCTION GENERALE A L’ETUDE DU DROIT INTRODUCTION Le droit est une science, il est omniprésent dans notre société, ex de Roméo et Juliette. « Le droit est partout … » Le but du cours : définir le droit. Le droit ? = c’est une manière évidemment perfectible de rendre la société plus vivable. Le terme est utilisé avec des situations différentes selon les circonstances, cela n’a pas toujours la même signification. Droit objectif : c’est un système, un ensemble ordonné de règles de droit :

1) Introduction Qu'est-ce que «la morale»? Si je pouvais répondre parfaitement à cette question, mes oeuvres seraient probablement énumérées à côté des ouvrages classiques d'Aristote, de saint Thomas d'Aquin, et des autres bons philosophes comme F.-J. Thonnard! Mais malgré mon manque de formation, je vais quand même tenter de vous résumer quelques notions, en quelques pages, surtout pour vous donner le goût d'en apprendre plus. 2) Comment s'appelle cette discipline, et de quelle science relève-t-elle

prêts à vivre en dehors de toute organisation étatique : c'est que l'État présente aussi des avantages, que ce soit pour la stabilité de chacun ou de la vie collective en société, l’Etat est garant de la sécurité, des libertés individuelles… Il faut distinguer l’Etat de la société, qui est quant à elle un ensemble organisé d’individus entretenant des rapports d’interdépendance réglés, exprimables sous la forme de règles naturelles ou conventionnelles, une sorte d’auto-organisation. On parvient à se

Faire son devoir est-ce renoncer à son bonheur ? Réflexion préliminaire sur le bonheur et la morale Le bonheur Le bonheur est la finalité de toute existence humaine. En tant qu’objet de recherche unanime et universelle de l’humanité le bonheur acquiert une importance significative au sein de la direction de notre vie. Cependant, si l’objet est universel, les méthodes et chemins pour y accéder sont multiples et parfois même contradictoires. Il n’existe pas un modèle, une recette, un moyen universalisable

L’imagination I. Autour du mot: perception et concept - Alors que par la perception le sujet se meut dans la présence, même si chaque chose a une épaisseur, une profondeur faite d'absence qu'un examen et un déplacement peuvent toujours révéler, dans l'imagination le sujet se présente un objet absent à travers une image, forme sensible de l'objet: dans les deux cas l'origine est l'acte de transcendance de la conscience: dans la perception la conscience est dépassement vers un objet présent, dans

esclave. Cela renvoie à l'absence de contrainte d'une part et à notre volonté d'autre part. Aujourd'hui des libertés concrètes se sont multipliées et paradoxalement donnent au mot le sens restreint de liberté de choix : celui qui est libre choisit ses loisirs, ses activités mais aussi les moyens d'expression de ses opinions, ses pensées, ses engagements. En ce sens on peut se demander s'il suffit d'avoir le choix pour être libre. N'est-ce pas au contraire réduire la notion de liberté que de la définir