La Morale Est Elle Un Obstacle à La Liberté

caractérise par une volonté constante d'attribuer à chacun ce qui lui est du, ce qui renvoie au droit. Volonté constante d’agir selon le droit d'autrui. Etre juste c'est agir selon le droit. Or, dans cette caractérisation, on voit bien une ambiguïté. Agir selon le droit c'est aussi agir dans le respect du droit, dans le respect des lois. Dès lors, on voit apparaître une distinction. Le droit c'est ce qui désigne les lois alors que la justice correspondrait à une vertu, un idéal. D'abord logiquement l'idée

aucun obstacle ? » Comme disait Sartre « La liberté n’est pas une qualité surajoutée ou une propriété de ma nature, elle est l’étoffe même de mon être ». La liberté est donc un état de l’être, mais elle n’appartient pas à la naissance à l’Homme. La liberté est donc perçut comme une quête La notion de liberté est venue après la notion d’emprisonnement, en effet, il fallait un contraire à la liberté pour qu’elle apparaisse. Etre libre ce n’est ne rencontrer aucun obstacle. La liberté peut-elle

La conscience est-elle une source de liberté ou de contrainte La conscience est-elle une source de liberté ou de contrainte ? « Conscience, conscience… Instinct divin ! », ainsi commence l’une des pages les plus exaltées et sans doute les plus exaltantes de la littérature philosophique. Rousseau s’embrasant littéralement à l’évocation de la conscience en perçoit l’importance dans la vie de l’homme. Elle constitue effectivement le plan le plus central de la constitution d’une identité personnelle

Il faut de prime abord distinguer différents domaines d'application de lois. Il est à remarquer d'ailleurs que le singulier LA loi désigne la loi dans sa forme générale et non pas les lois particulières. On peut donc penser à la loi juridique, à la loi morale mais aussi à la loi dite scientifique qui correspond à la loi de la nature. Tous trois ont un point commun qui est leur caractère d'obligation, de nécessité. En effet, le loi juridique émane d'autorité et prescrit des règles d'actions en vue

rare de constater que les Hommes considèrent la liberté par sa conception naïve, ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses envies. Lorsqu’on en cherche un sens plus philosophique, la liberté apparait comme le fondement même de la responsabilité, du devoir et de la morale. Elle fait donc partie de ce qui construit l’Homme

« L’État fait-il obstacle à la liberté ? » (18/20) À première vue, l’État ne serait qu’un garant de nos libertés. Le fait de recourir à la justice de l’État quand on sent que nos libertés ne sont pas respectées le prouve ainsi. Mais, qu’est-ce que l’État ? Pour Montesquieu, philosophe des Lumières, il s’agit d’un instrument des trois pouvoirs fondamentaux : législatifs (faire les lois), exécutif (faire appliquer les lois) et judiciaire (appliquer la justice). Et de quelle liberté parle-t-on ? On

Sujet : Faut-il se résigner à accepter les choses telles qu’elles sont ? Toutes personnes quel que soit sa personnalité ou sa nature est un jour confronté à une situation compliqué qui paraît sans issues. Il est donc légitime de se demander s'il faut se résigner à accepter les choses telles qu'elles sont. Tous d'abord, dans le choix du «faut-il», on comprend que le problème peut être traité en tant que « Est-il nécessaire de se résigner ? » ou « Avons-nous le devoir de nous résigner 

LA LIBERTÉ Analyse de notion: 2 grandes problématiques possibles Txt 1: caprice: désir subit et impulsif de quelque chose dont on n'a pas vraiment besoin + volonté d'opposition, lutte intérieure, de défier une autre volonté, résistance à accomplir un certain devoir. Txt 2: déterminisme: phénomènes déterminables/déterminés: tout événement physique est déterminé par un enchaînement de causes: quand on les connaît, on peut prévoir, calculer à l'avance le phénomène. Tout événement est la résultante

peut-il être pour moi autre chose qu'un obstacle ou un moyen?» D'après une formulation d'Emmanuel Lévinas, «Autrui, en tant qu'autrui, n'est pas seulement un alter ego. Il est ce que moi je ne suis pas : il est le faible alors que moi je suis le fort ; il est le pauvre, il est la veuve et l'orphelin .» Nous voyons donc que la notion d'autrui est vu sous deux angles. Il est d'une part un autre moi et en même temps ce que je ne suis pas. D'où la complexité quand à savoir comment nous devons nous comporter

La liberté Terme qui a plus de valeur que de sens, disait Valéry. Qu’on se batte pour la liberté, et qu’on aspire à plus de liberté, ne signifie pas du tout que la liberté ne soit qu’une valeur, sans contenu de réalité, ni que le terme n’ait qu’un sens vague. Quand un peuple opprimé se bat contre une dictature ou une tyrannie, il ne se bat pas pour un fantasme, mais pour des réalités bien concrètes (la liberté de s’exprimer, la liberté de circuler, etc.) dont il sent cruellement le manque. De