La Moralité Se Juge T Elle Aux Actes

à ce qu’ils ne se nuisent pas les uns les autres. Le but de l’Etat est la paix. Aussi doit-il avoir un rôle de justicier, lorsque les citoyens se portent atteinte les uns aux autres. Mais comment définir cette justice dont il a la charge ? Comment juge-t-il les personnes qui attentent à l’intégrité d’autres personnes ? Cette justice politique est-elle la même que ce qu’on appelle justice au sens moral du terme ? La thèse du texte est de distinguer deux sortes de justice, l’une morale, l’autre

texte en trois parties. L’auteur questionne premièrement le droit à la vivisection sur l’Homme, puis sur l’animal, qu’il soutient farouchement. Et enfin il réponds aux critiques dont lui et ses confrères font l’objet en évoquant la motivation de ses actes. Le texte s’ouvre sur une analogie entre le moyen de découverte des lois physiques qui régissent la matière, et le moyen de découverte du fonctionnement des être vivants. Le terme machine inerte peut être mis en parallèle avec les machines vivantes

sont sensible au blâme et au mérite et donc très sensible à l’autorité. Au niveau 3 : La moralité est conventionnelle, l’individu commence à chercher l’accord et la conformité avec les autres. La moralité devient exigence sociale « faut être quelqu’un de bien ». L’image du « moi » joue un grand rôle et la conscience se situe par rapport à un « moi idéal » qu’elle va structurer. Au niveau 4 : C’est une moralité abstraite : respect de la loi et de l’ordre. L’homme est sensible à la voie de la société

l’administration qui consiste à règlementer ou parfois à interdire les actes, les sujets de droit. Elle se voit reconnaître par des textes une compétence la laissant libre d’agir ou non et lui laissant le choix de la décision, dans la limite de la légalité. Les libertés individuelles quant à elles sont définies comme étant des libertés auxquelles personne ne peut porter atteinte, on ne peut pas apporter normalement de restriction à ces libertés. Le juge administratif donne ou permet d’élargir les compétences de

police administrative en prenant en compte la moralité, l'esthétique et la protection des individus contre eux-mêmes. Initialement, le juge administratif n'acceptait de prendre en compte l'immoralité que si celle-ci risquait de provoquer un désordre matériel. Elle accepte aujourd'hui de prendre en compte la moralité notamment pour le cinéma (CE, 18 décembre 1959, Sté des films Lutetia) si cela est justifié par des circonstances locales. La moralité est également contrôlée par le biais du respect

« L’autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l’intérêt de l’enfant ». Elle appartient au père et à la mère jusqu’à la majorité ou l’émancipation de l’enfant pour le protéger dans sa sécurité, sa santé, et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect de sa personne. Les parents associent l’enfant aux décisions qui le concernent, selon son âge et son degré de maturité. Selon le droits français, l’autorité parentale

éléments : sécurité, tranquilité et salubrité pb (-> composantes de l'ordre pb). Pr qu'une mesure de police adminVe soit régulière elle doit ê prise en rapport avc ces 3 composantes. La mission de police adminVE est très limitée et contrôlée par le juge, contrairement au service pb -> différence de logique. Sce pb : î général -> positive pr l'administré (régime juridique plus souple) Police adminVE : ordre pb -> limite la liberté de chaque administré pr protéger l'ordre pb => fortement encadrée

juridiques et au pluralisme politique. Ceci est surement une raison pour l’intérêt de l’auteur pour la théorie politique ainsi qu’au procès d’Eichmann. S’agissant du récit du procès d’Eichmann, ancien fonctionnaire nazi enlevé en Argentine pour être jugé en Israël, que Hanna Arendt documenté pour le journal américain The New Yorker, on peut résumer l’ouvrage autour de trois thèmes qui ont ressuscité un vif débat non seulement parmi la communauté juive mais dans la société entière. La description

pratiques, nos actes, nos comportements et correspond à la question de Kant : « Que dois-je faire ? » Elle a pour valeur le bien, et par extension, on appelle « morale » les règles prétendant définir ce qui nous en approche ou nous y conduit, la vertu. La morale est une recherche de ce qui doit être pour le sujet ou les relations entre des sujets. On parton de la basse que l’homme est un être moral, nous pouvons suivre la conception que Sartre avait qui consiste dans l’idée que ce que l’homme juge bien est

aussi à la politique et à l'économie) : “la doctrine qui donne comme fondement à la morale l’utilité ou le principe du plus grand bonheur, affirme que les actions sont bonnes ou mauvaises dans la mesure où elles tendent à accroître le bonheur” . Nos actes ne seront donc pas jugés en eux-mêmes, mais en fonction de la valeur de leurs effets pour la fin visée. Par exemple, le médecin pourra donc mentir à un patient atteint d’une maladie incurable s’il sait qu’il précipiterait sa perte en lui révélant la