La Mort dans les nuages

s’apparente à une stichomythie. La métaphore des mois de l’année et des saisons permet d’exprimer sa lassitude : si le mois de mai connote le printemps et la fraîcheur, peut-être aussi la fête et l’ivresse, le mois de janvier est associé au froid, à la mort. Or, ces saisons disent l’opposition entre l’apparence de la jeunesse signifiée par les joues de mai,  parties pleines et enfantines du visage, et le cœur froid, inaccessible au sentiment et au plaisir, d’un personnage déjà las. L’esprit de Fantasio

Bateaux Hollandais dans une Gale De William TURNER Voici une peinture (plus précisément une huile sur toile) de Joseph Mallord William TURNER, c’est un peintre aquarelliste et graveur britannique né à Londres le 23 avril 1775 et mort à Chelsea le 19 décembre 1851. L’œuvre s’intitule « Bateaux Hollandais dans une Gale » ou plus couramment appelé « Bridgewater Sea Piece ». Elle a été peinte en 1801. Elle est exposée au National Gallery à Londres et mesure 163X221 cm. Ce tableau est inspiré

beauté, comme le poète Tagore. Dans son livre « Les oiseaux des passages », Tagore aborde divers thèmes dans ses aphorismes, dont la beauté. Un aphorisme dit : « Laisse à la vie sa beauté de fleurs d’été, à la mort sa beauté de feuilles d’automne. » Il trouve la vie belle, mais la mort également. Par contre, si on va plus loin, il ne s’agit pas du même type de beauté. Un autre aphorisme dit : « Ô beauté, dévoile-toi dans l’amour et non dans la flatterie des miroirs. » Celui-ci pourrait insinuer

Analyse roman Le Père Goriot, de Balzac Extrait de l'excipit Passage « cependant au moment ou le corps fut placé »… fin Excipit du roman, Père Goriot mort sans avoir revu ses filles, c’est également l’enterrement des illusions de Rastignac. Point final de sa formation. I. Funérailles du Père Goriot 1)Abandon 2)Précipitation 3)Dénouement Enchaînement logique Goriot / Rastignac II. Fin d’un apprentissage 1)Avenir envisagé

marquée
par
la
mer,
l’eau
est
agitée,
il
y
a
une
tempête
 (visible
aussi
par
le
vent
dans
la
voile
et
les
nuages
noirs).
Dans
la
partie
supérieure
à
droite,
on
peut
distinguer
au
loin
 que
la
mer
semble
plus
calme.
 Les
formes
:
Les
personnages
de
l’arrière
plan
forment
une
pyramide.
Ceux‐ci
s’opposent
aux
personnages
de
premier
 plan
qui
sont
assis
ou
étendus.
Interprétation
:
La
mort,
au
premier
plan
et
l'homme
âgé
qui
regarde
derrière,
 s'opposent

à
la
vie
qui
apparaît
dans
l'arrière‐plan

importante couche de verdure dont certaines parties étaient cachée par quelques nuages solitaires dans ce ciel d’un bleu très assombri par la nuit qui venait de tombée. La mer qui entourait cette île me faisait penser à une île flottante sur une délicieuse crème anglaise. Il y avait sur cette mer des reflets argentés de la pleine lune. Soudain, il y eut une terrible turbulence. Je regardai à travers mon hublot et je vis d’épais nuages d’abord au-dessus de l’île puis tous semblaient former une épaisse couche

Après sept ans de bonheur sans nuages, Goriot, malheureusement pour lui, perdit sa femme; elle commençait à prendre de l'empire sur lui, en dehors de la sphère des sentiments. Peut-être eût-elle cultivé cette nature inerte, peut-être y eût-elle jeté l'intelligence des choses du monde et de la vie. Dans cette situation, le sentiment de la paternité se développa chez Goriot jusqu'à la déraison. Il reporta ses affections trompées par la mort sur ses deux filles, qui d'abord satisfirent pleinement tous

sans l'arche et l'eau sans la colombe ; Les nuages ayant l'aspect d'une forêt. Un esprit qui viendrait planer là, ne pourrait Dire, entre l'eau sans fond et l'espace sans borne, Lequel est le plus sombre, et si cette horreur morne, Faite de cécité, de stupeur et de bruit, Vient de l'immense mer ou de l'immense nuit. L'œil distingue, au milieu du gouffre où l'air sanglote, Quelque chose d'informe et de hideux qui flotte, Un grand cachalot mort à carcasse de fer, On ne sait quel cadavre

développement des thèmes : Thèmes : la hauteur (l’élévation), la pureté La hauteur est présente tout le long du poème : vers 1 à 4 il utilise des termes tels qu’au dessus par delà, les montagnes les nuages. Il y a une évolution il remonte du plus petit au plus grand : étangs, vallées, montagnes, bois, mers, nuages, soleil, Ether, les confins des sphères étoilées. Par la il montre une progression dans la hauteur, dans la montée de l’être humain. Par « Mon esprit tu te meus avec agilité » par cette phrase

Bébert » (l.13, 14) et « Molly » (l.29) ce qui vient confirmer cela avec « J’ai recherché Molly parmi eux c’était le moment, ma gentille, ma seule amie, mais elle n’était pas venue avec eux… » Dans son texte, Céline fait plusieurs fois référence à la mort. Nous pouvons donc retrouver le champs lexical de celle-ci : « les yeux presque fermés » (l.10 à 11), « bien vidée cette fois de toutes ses tripes » (l.14 à 15), « cinglé » (l.18), « les morts » (l.8, 12, 20 et 33) ainsi que « cimetière » (l.34) De