La Mort dans les nuages

terrifiant. [u]Tout d'abord, voici l'extrait :[/u] [i] (Cosette, âgée de huit ans, a été envoyée de nuit remplir un seau d'eau à une source située en plein bois, loin de toute habitation.) Au dessus de sa tête, le ciel était couvert de vastes nuages noirs qui étaient comme des pans de fumée. Le tragique masque de l'ombre semblait se pencher vaguement sur cet enfant. L'enfant regardait l'étoile d'un oeil égaré cette grosse étoile qu'elle ne connaissait pas et qui lui faisait peur. La planète

écrit par Charles Baudelaire auquel il aura consacré les dernières années de sa vie. Ce recueil, rédigé en 1855 et 1864, sera publié à titre posthume en 1869, deux ans après la mort de l’auteur. Il est également connu sous le nom de Petits poèmes en prose. Son auteur : Charles Baudelaire est né à Paris le 9 avril 1821 et mort en 1867, succombant à une maladie. Son père meurt quand il a 6 ans. Sa mère se remarie avec un officier de carrière, le futur général Aupick. Mais Baudelaire ne s’entendra

marins restent à bord, dont seulement trois survivront). Au bout de treize jours, le radeau est repéré par le brick L'Argus ; il n'a à son bord que quinze rescapés. Cinq meurent encore dans les jours qui suivent. Au total, le naufrage a abouti à la mort de plus de 150 personnes. Le commandant de Chaumaray est jugé et condamné à trois ans de prison militaire. L’artiste choisit un sujet provocateur pour prouver son talent et se faire reconnaître par le grand public. Sur le plan politique, il s'agit

seule choses, les nuages au loin, là bas. C’est justement parce que les nuages sont insaisissables et inaccessibles qu’il les aime. Baudelaire était un poète incompris, délaissé, seul face au reste du monde. Il se trouvait dans une profonde détresse où il devait faire face à des ennuis matériels, à des déficiences physiques, aux tourments de sa vie amoureuse. Il craignait par-dessus tout la marque du temps sur sa vie, avec une obsession précoce de la vieillesse et de la mort. Il ne cessait de

buste represente la paumes et ses bras se démultiplient en doigt sur l'oreiller : montre douceur, sensualité de l'image de cette femme : onirisme : rêve. Eluard fait allusion aux mains du poète + amante. Des nuages dans les mains: deux mains disproportionnées qui semblent supporter les nuages tout comme Atlas qui portait un univers sur les épaules. Onirique parce que mains géantes cherchent à saisir l'insaisissable, comme le montre bien l'adjectif "impalpable" dans le poème. Ce qui fait référence

Dufy. Il va avoir une liaison avec Marie Laurencin (peintre). Le poème date du 7 Juillet 1914, il vient alors de rompre avec elle. Texte : Il pleut des voix de femmes comme si elles étaient mortes même dans le souvenir C'est vous aussi qu'il pleut merveilleuses rencontres de ma vie ô gouttelettes Et ces nuages cabrés se prennent à hennir tout un univers de villes auriculaires Écoute s'il pleut tandis que le regret et le dédain pleurent une ancienne musique Ecoute tomber les liens qui te retiennent

une maison de poupée, comme féerique,et introduit une notion de romantisme avec la personnification "L'aurore s'approchait"(l.3). Il y a aussi une métaphore et une personnification ligne 4, "la lune se glissait dans un lac de nuages" comme si le ciel était recouvert de nuages magnifiques mais laissant apparaitre la forme de la lune. Ces deux personnifications nous donnent l'impression que l'auteur et la femme vont être entièrement imergé dans l'obscurité de la nuit, comme encerclé dans un noir profond

qui est décomposé et trois pilier d’architecture. Dans les grands bâtiments datant de million d’année, il reste des ruines, on peut supposer que les piliers représentent les restes de cette femme dans le monde, elle laissera des traces même après sa mort. Dans le poème, on parle beaucoup d’amour éternel, et de thermes de dimension énorme : « terre (…) soleil ». La beauté de la femme est représentée. La femme sur le tableau est peinte, elle est nue et elle est le point focal du tableau. Tout le

les fleurs Des couronnes mortuaires C'est le jour des morts et de toutes leurs âmes Les enfants et les vieilles femmes Allument des bougies et des cierges Sur chaque tombe catholique Les voiles des vieilles Les nuages du ciel Sont comme des barbes de biques L'air tremble de flammes et de prières Le cimetière est un beau jardin Plein de saules gris et de romarins Il vous vient souvent des amis qu'on enterre Ah ! que vous êtes bien

une vingtaine de personnages sur le radeau. L’auteur utilise les couleurs chaude et froide qui donnent l’impression du clair-obscur. Le jaune pâle de ce coucher de soleil, déclinant presque dans les verts une atmosphère où la mort est présente. Une forte lueur perce les nuages, pour un fond du tableau très clair, contrastant avec le reste du tableau très sombre. Des hommes uniquement, sont représentés sur un radeau en pleine mer. Au premier plan certains d'entre eux, semblent morts, d'autres sont