La Mort De Marat

croire à son enlèvement. Il perd malgré tout une grande partie de son prestige et de la confiance du peuple. Si la Constitution du 3 septembre 1791 établit la monarchie constitutionnelle, celle-ci ne fait guère illusion et le projet est presque mort-né. Le roi propose de voter la déclaration de guerre au Saint-Empire, le 20 avril 1792, souhaitant la défaite des armées de la Révolution. Les suspicions de coalition avec les puissances étrangères s’intensifient jusqu’à la prise des Tuileries, le

qu’après le coup d’état de Bonaparte. Mirabeau, Honoré-Gabriel (1749-1791) Le plus brillant orateur de la Constituante. Déçu par la Révolution, il propose à Louis XVI ses conseils, s’attachant une réputation de traître. Enterré au Panthéon après sa mort, il en est retiré en 1793. Brissot, Jacques-Pierre (1754-1793) Chef de la faction girondine à la Législative et à la Convention. Principal opposant de Robespierre, il perd la lutte politique contre les Montagnards. Arrêté puis jugé par le Tribunal

LES LUMIERES I) SITUER LE CONTEXTE HISTORIQUE 1) Le mouvement des « Lumières » commence à la mort de Louis XIV. Quelle est la situation politique, économique et religieuse en France à cette époque ? Situation politique : A la mort de Louis XIV, la France possède plusieurs colonies et mène des guerres permanentes. Situation économique : La situation économique est pour le moins catastrophique, les guerres ayant un coût exorbitant constant ajouté aux dépenses énormes de la Cour de Versailles

avis politiques se sont surtout affirmés dans les journaux, seuls medias très influents. La presse s'est alors lancée dans un combat, opposants/neutres/opposés, exposant leurs idées poltiques. Par exemple, dans son journal "L'Ami du Peuple", Marat exprime ses idées sur la Révolution Française : “Voilà précisément les abus criants dont les indigents ont à se plaindre et dont le législateur leur doit le redressement ; car la Révolution ne doit pas s’opérer en faveur de quelques classes particulières

foules qui inspirera grandement les films de propagande comme dans Ivan le Terrible, film de 1944 qui offre une méditation sur le pouvoir. Le troisième chapitre quant à lui traitre des peintures en tant que source et modèle du cinéma comme La mort de Marat (1793) de David qui inspire Abel Gance dans son Napoléon de 1927. Ce chapitre va mettre en avant les héros le coté absurde du cinéma historique : une opération de « contre-histoire » s’impose avec l’épopée pour créer une illusion du réel ou au

gauche, il souhaitait fermement rétablir une autorité nationale, Marat l'accablait d'injures et de colère mais sa popularité était encore très élevée dans la population. La cour se méfiait des deux hommes qui se jalousaient. En mars 1791 Mirabeau devient directeur du département de Paris puis est élu à la présidence de l'Assemblée mais la mort l'emporte le 1 avril 1791 avant qu'il n'ait pu réellement influencer la Constituante. Sa mort fut un événement national et sa dépouille fut transportée au Panthéon

aussi le cas des histoires sexuelles, où l'homme manifeste un recul amusé devant ses propres pulsions, comme s'il voulait prouver qu'il en est le maître. En bref, ce "rire noir" tourne en dérision les deux lois fondamentales de l'espèce : le sexe et la mort. Fonction agressive : rire, c'est se moquer. Les religieux de tout poil le savent bien qui continuent à traquer ce signe évident de désobéissance. Par le rire, l'homme entre en effet en dissidence, et aucune valeur n'est susceptible d'échapper

code pénal, le 25 septembre 1791. Réunion de l'Assemblée législative, déjà divisée en Girondins et Jacobins, le 1er octobre 1791. Décret portant peine de mort contre les émigrés, le 9 novembre 1791. Pétion est élu maire de Paris, le 16 novembre 1791. - En 1792 : L'Assemblée décide la confiscation des biens des émigrés, le 9 février 1792. Mort de Léopold II d'Autriche le 1er mars 1792 et son fils François lui succède. Déclaration de guerre à l'Autriche, le 20 avril 1792. Rouget de Lisle présente

la vie politique La Révolution donne naissance à une opinion publique très animé avec la liberté de la presse une explosion de titre informe une population avide de nouvelle de nombreux journaux sont très véhément « L’Ami du Peuple » de Jean Paule Marat ou « Le Père Duchêne » de Jacques Hebert , les clubs se multiplie dans la capital (Club des Jacobins, de Cordelins, des Feuillants), puis dans tout le pays, les débats y font rage mais prépare le voyage de l’Assemblée mais cette dernière est encore

Calas à la Torture. On le questionne et il subit une longue séance de torture, mais n'avoue rien. Il clame son innocence. L'étranglement est infligé à Jean Calas après le verdict du procès par le parlement de Toulouse. Le parlement le condamne à mort le 10 mars 1762, sans que le jugement ne soit justifié. Calas est condamné au supplice de la roue (Lors de ce supplice l’accusé est attaché sur une roue horizontale et se faisait briser les membres par le bourreau.) . Place Saint-Georges, Jean Calas