La Mort De Marat

Le déroulement de la Révolution française de 1789 jusqu'en 1794 Les Nivelleurs page d'accueil Jean-Paul Marat [deutsch] [english] La Révolution française Matières : La convocation des états généraux L'assaut de la Bastille La noblesse renonce La République des bourgeois La loi « Le Chapellier » La fuite de Louis XVI Une nouvelle Constitution La guerre contre l'Autriche Danton et le 10 Août 1792 La lutte entre Girondistes et Jacobins La guerre civile La Terreur

précedemment, il veut une meilleure indemnisation des anciens seigneurs. Ce débat provoque des mécontentement à PARIS, en politique qui est attisé par la conséquence des droits de l’homme, en aout septembre 1789 on voit fleurir des titres de journaux. MARAT, ancien médecin, se lance en politique avec le journal appelé « l’ami du peuple ». Ici se débloque une presse patriote pour une limitation des droits, et certains de ces journaux dans leurs argumentaires se font le relais des arguments politiques.

l’enthousiasme du public parisien au salon. La réputation du peintre va alors paraitre étroitement liée à l’esprit de la Révolution. Sous la Monarchie constituante, David fréquente et admire Bailly, Condorcet, la Fayette ou Mirabeau. Avec l’appui de Marat et de Danton, il réussit en septembre 1792 à se faire élire parmi les députés de Paris à la Convention nationale. Membre dominant du Comité d’instruction public, il intervient souvent à la Convention, qui le charge de préparer toutes les grandes fêtes

A Paris, la situation est tendue. La capitale souffre du mauvais ravitaillement (récoltes tardives du fait de la Grande Peur), et du chômage (émigration). Le peuple accuse les aristocrates, appuyé en cela par les journaux ("L'Ami du Peuple" de Marat, "La France Libre" de C. Desmoulins). Le bruit court qu'à Versailles la cocarde a été foulée au pied lors d'un banquet. La Journée du 5 octobre Les femmes de la Halle décident de se rendre à Versailles pour ramener la roi à Paris, ce qui

(Reproduction réduite , musée national du château de Versailles) David, Marat assassiné (1793), Sa production illustre alors son engagement passionné dans cette République menacée de toute part. Il fait l’éloge de ses "martyrs" dans le célèbre petit tableau réalisé en 1793 et intitulé "La Mort de Marat". C’est dans cette même veine qu’il réalise l’année suivante l’énigmatique toile du Musée d’Avignon, appelée "La Mort de Bara", simple ébauche picturale pour une gravure de propagande révolutionnaire

Berardier, député à l'Assemblée nationale, Gueudeville, vicaire de Saint-Sulpice[3]. » Député à la Convention nationale Avant et après la déclaration de guerre de 1792, il est résolument partisan de la paix, comme ses amis Robespierre, Danton et Marat. Cette opinion est formulée au club des jacobins en décembre 1791, dans Jacques-Pierre Brissot démasqué en février 1792, puis à partir du 30 avril 1792 dans La Tribune des Patriotes journal cofondé avec Fréron. Après le 10 août 1792 et la chute de

révolutionnaire française, au temps des Lumières Marie Gouze est née à Montauban le 7 mai 1948 dans une famille modeste. En 1765, Marie Gouze se marie avec Louis Aubry, un officier de bouche de l’Intendant, avec qui elle aura un enfant. Après la mort de son époux intervenue peu après, elle part avec son fils s'installer à Paris, ne voulant pas tenir son rôle de bourgeoise provinciale. Rêvant de célébrité, elle prend le pseudonyme d'Olympe de Gouges, créé à partir du prénom de sa mère et de son

criminelles – un jury populaire est constitué. Un code pénal est adopté. Il s’applique également à tous les citoyens. Les peines se rapportant à la religion (hérésie, sacrilège) sont abolies, ainsi que la torture et les châtiments corporels. La peine de mort est maintenue, mais infligée sans supplice (c’est pour cette raison que la guillotine est préférée à tout autre moyen d’exécution jugé plus cruel). - L’impôt est désormais voté par l’Assemblée. Tous les impôts et privilèges fiscaux anciens sont supprimés

- Arrivée de Louis XVI à Paris Retour de Varennes. Arrivée de Louis Seize à Paris, le 25 juin 1791 - par Jean DUPLESSI-BERTAUX (Centre historique des Archives nationales) La fusillade du Champ-de-Mars Pendant ce temps, le club des Cordeliers (Marat, Danton) sollicitait l'aide des Jacobins (Robespierre, Pétion) pour voter la déchéance du roi, une scission s'opéra chez les Jacobins où les plus modérés (Sieyès, Barnave, Lameth) fondèrent le club des Feuillants. Mais le reste des Jacobins organisa

s'oppose au groupe de la Montagne qui se dresse contre lui. Décrété d'accusation pour conspiration contre la République, il sera guillotiné avec les autres Girondins le 31 octobre 1793. • Pierre Vergniaud : (1753-1793) Il attaque, mais sans succès, Marat et tente de s'opposer à la création du Tribunal révolutionnaire. Il ne pourra résister à la vague qui emportera les Girondins en juin 1793. Comme eux, il sera arrêté et guillotiné le 31 octobre 1793. • Jerôme Pétion de Villeneuve : (1756-1794)