La Mort De Tarrou

En effet, l'absurde commence avec la connaissance du caractère machinal de l'existence et la certitude de la mort à venir au bout d'une vie. L'absurde est ainsi la conséquence de la confrontation de l'homme avec un monde qu'il ne comprend pas et qui est incapable de donner un sens à sa vie. On peut remarquer plusieurs exemples qui illustrent l'idée d'absurdité; Tout d'abord il y a la mort de l'enfant Othon qui est un des moments les plus forts de l'oeuvre sur le plan émotionnel. A travers la description

selon Rieux. Tout les personnages importants sont présent Grand Tarrou Paneloux Rambert Rieux. Ils assistent l’agonie de l'enfant. -Cette scène est centré sur 2 personnages Tarrou et Rieux. Ils sont situer sur terrasse lieu qui domine et la ville lieu propice a la confession. Tarrou commence par une énigme il affirmait qu'il connaissait la peste bien avant de connaître cette ville et ses habitants. -La peste a desserré son étaux. Tarrou est l'une des dernière victimes .Début février les portes de

docteur Rieux fait la découverte d’un rat mort devant sa porte. Il demande au concierge, monsieur Michel, qui est persuadé que c’est une blague des jeunes. Quelques jours après, un journal de la presse annonce la mort de plus de six milles rats le même jour. Les gens commencent à paniquer. Finalement, le nombre de rats morts baisse. On croit la ville sortie d’affaire. Soudain, le concierge est malade, il meurt d’une maladie inconnue. La brutalité de sa mort touche le docteur Rieux qui ne comprend

les français d'Algérie, fort choqué par la guerre d'Algérie dont il ne verra pas la fin dramatique. Humaniste militant mais ne se voulant d'aucun clan, d'aucun parti, Camus lutta toute sa vie contre toutes les formes d'oppression et d'injustice. Sa mort illustre tragiquement sa doctrine de l'absurde: c'est en pleine force et en pleine gloire qu'il succombe malheureusement le 4 janvier 1960 dans un stupide accident de voiture ... La pensée de Camus se prononce autour de deux mots: l'absurde et la

ALBERT CAMUS : LA PESTE : QUATRIEME PARTIE : LA MORT DE L'ENFANT (COMMENTAIRE COMPOSE) Introduction : L'oeuvre de Camus pourrait s'ordonner autour de deux pôles : l'absurde, dont l'oeuvre représentative reste L'Étranger (1942), et la révolte, avec La Peste (1947), mouvement de pensée d'après lequel il existe une valeur qui donne à l'action son sens et ses limites : la nature humaine. Le texte que nous avons à étudier est extrait de la quatrième partie de La Peste. Nous avons assisté à la lente

à la mort d’un enfant innocent, ce qui le bouleversera totalement. Il ira même jusqu’à changer de point de vue, n’acceptant pas un Dieu qui tuerait une jeunesse demeurée pure. Paneloux remet donc en cause les préceptes religieux alors qu’il représente lui-même la religion. Il mourra d’un cas douteux, n’ayant en réalité plus de raison de vivre en anéantissant l’image grotesque de la religion qu’il aura édifié jusque là. Rieux n’est vraiment ami qu’avec un seul personnage du roman : Tarrou. Il va

aussitôt, il en sortit un seul cri continu, que la respira-tion nuançait à peine, et qui emplit soudain la salle d'une protestation monotone, discorde, et si peu humaine qu'elle semblait venir de tous les hommes à la fois. Rieux serrait les dents et Tarrou se détourna. Rambert s'approcha du lit près de Castel qui ferma le livre, resté ou-vert sur ses genoux. Paneloux regarda cette bouche enfantine, souillée par la maladie, pleine de ce cri de tous les âges. Et il se laissa glisser à genoux et tout le

dans son ministère, aurait dû renforcer l’égalité chez nos concitoyens, par le jeu normal des égoïsmes, au contraire, elle rendait plus aigu dans le cœur de hommes le sentiment de l’injustice. Il restait, bien entendu, l’égalité irréprochable de la mort, mais de celle-là, personne ne voulait. Les pauvres qui soufraient ainsi de la faim, pensaient, avec plus de nostalgie encore, aux villes et aux campagnes voisines, où la vie était libre et où le pain n’était pas cher. Puisqu’on ne pouvait les nourrir

précision toute médicale →ransmission par les rats // fièvre // abcès// difficultés respiratoires // L'épidémie s'amplifiant → isolement des malades → quarantaine pour les familles → enterrements bâclés puis supprimé Mort → crescendo → concierge → du chanteur → enfant → prêtre → Jean Tarrou Ville coupée du monde → ni rentrer ni sortir → plus de courrier et appels limités / télégrammes → exilé de ses proches 5 parties --> 5 actes d’une tragédie. À la fin de chaque partie → effet de suspense. Effet

[modifier] Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue. Un jour d’avril à Oran, Oran est une ville commune dans laquelle ne vivent que des personnes quotidiennes qui ne donnent aucun sens à leur vie. en Algérie, le docteur Rieux découvre un rat mort sur son palier. Le concierge de l’immeuble du docteur Rieux tombe malade, et, malgré les soins du médecin, il meurt d’une maladie mystérieuse. la population s’organise pour faire face au fléau, qui de jour en jour prend des proportions monstrueuses