La Mort De Tarrou

l’encontre des ex-collaborateurs et les massacres de Sétif. Il porta secours aux exilés espagnols antifascistes, aux victimes du stalinisme et s’opposa à la caricature du pied noir exploiteur. Après l’appel lancé en faveur des communistes grecs condamnés à mort, il démissionne de l’Unesco qui admet l’Espagne franquiste, il lance un appel pour une trêve civile en Algérie qui ne recevra aucun écho. Le conflit empirant, il invite les intellectuels à protester à l’O.N.U. D’autre part, par son parcourt littéraire

romancier et auteur dramatique. 2) Bibliographie En plus de La Peste, Albert Camus est l’auteur d’autres œuvres telles que : Le Temps du mépris (1936) Révolte dans les Asturies (1936) : théâtre L'Envers et l'Endroit (1937) : essai Noces (1939) : essai La Mort heureuse (1936-1939) L'Étranger (1942) Le Mythe de Sisyphe (1942) : essai Caligula (1944) : théâtre Le Malentendu (1944) : théâtre Lettres à un ami allemand (1945) L'Etat de siège (1948) : théâtre Journaux de voyage (1946-1949) Les Justes (1950) :

Le narrateur va traiter du thème de l'oppression. Au niveau de l'extrait proposé, 6 mois d'épidémie se sont écoulés, le narrateur dans cet extrait va utiliser les carnets d'un certain Tarrou qui a noté des détails de la vie quotidienne durant la peste. Le passage décrit une soirée à l'opéra durant laquelle Tarrou et Cottard assistent à une représentation d'Orphée et d'Eurydice. Cet épisode renforce la tonalité tragique du récit en nous montrant comment la peste envahit l'espace de l'art et du

Paris, qui pourtant renonce à quitter la ville maudite car «  il peut y avoir de la honte à être heureux tout seul » Le Père Paneloux : religieux qui s’attache à concilier la confiance en la bonté divine et la lutte contre la souffrance humaine Tarrou : intellectuel qui observe le comportement humain avec beaucoup de lucidité, mais qui, devant la souffrance à du mal à la garder et éprouve les sentiments d’un homme révolté. Il sera volontaire pour combattre le fléau, afin de trouver la paix intérieure

Nobel de littérature. Camus meurt en 1960 dans un accident de voiture. Bibliographie : Albert Camus a écrit entre autres L’Envers et l’Endroit en 1936, L’Etranger et le Mythe de Sisyphe en 1942 et la chute en 1956 Résumé : Tout commence avec la mort inexpliquée de rats qui viennent mourir hors des souterrains de la ville d’Oran. Les cadavres des rongeurs s’empilent dans les poubelles quand une maladie se déclare. Après mûre réflexion, le personnage principal, Dr. Rieux, nomme cette maladie comme

métaphore du peuple juif persécuté par le régime nazi, coupé des réalités du monde extérieur, d’une information objective, victime de la propagande, de la terreur et de l’injustice. Ce roman a été écrit par Albert Camus, né le 7 novembre 1913 et mort le 4 janvier 1960. Le titre La Peste nous évoque sûrement la fameuse peste noire qui a décimé plus de la moitié de la population européenne dans les années 1347 à 1352. En lisant ce titre on peut s’attendre à lire une histoire d’un fléau qui tue les

anonyme, nous poussent à accentuer notre attirance pour les faits et geste de ce médecin si discret, et si rarement décrit. Nous ne possédons que quelques rares informations concernant son physiques, et celles-ci sont tirés du journal de son ami, Tarroux. ("Paraît trente-cinq ans. Taille moyenne, les épaules fortes. Visage presque rectangulaire. Les yeux sombres et droits, mais les mâchoires saillantes… Il a un peu l’air d’un paysan sicilien avec sa peau cuite, son poil noir et ses vêtements de teintes

La Peste d’Albert Camus I. Résumé : La première partie de l’ouvrage se concentre à Oran avec le docteur Rieux qui retrouve un rat mort au pied de son palier. Le concierge du docteur Rieux pense que c’est une blague de personnes mal intentionnées. Par la suite, le docteur Rieux dépose sa femme, malade, à la gare pour qu’elle aille dans la ville voisine afin de se soigner. La ville commence à s’affoler lorsqu’elle apprend par le biais d’une agence de presse que plus de six mille rats ont été

Il est un athée, il croit seulement à l’homme. Il fait tout pour aider les gens. Il accepte aussi la mort de sa femme après tout qu’il a passé avec la peste. Jean Tarrou : C’est un homme qui cherche la calme interne. Il se trouve par hasard dans la ville. Il aide Rieux. Quand il était un enfant, il ne pouvait pas supporter le travail de son père comme un juge qui envoyait les hommes à la mort. Jean meurt de la peste. Jean Rambert : C’est un journaliste de Paris. Quand la peste arrive il veut

u milieu des fléa ux, qu’il y a da ns les Hommes d plus de choses à a dmir er que de choses à mépr iser … » p.247 Remarque finale de Rieux dans La Peste, porte-parole de son créateur : ALBERT CAMUS. 1 Introduction En temps de peste, Tarrou disait avoir compris que « tout le malheur des hommes venait de ce qu’ils ne tenaient pas un langage clair. » p.203 A cause de son ambiguïté, dans sa conception et son écriture, La Peste d’Albert Camus reste exposé à un processus de relecture critique