La Mort De Tchen Malraux

« Céleste », « patron » apparait comme antipathique. Directeur de l’asile : compassion (hypocrisie ?). Intrigue : Début in media res, début brutal « maman est morte » -> Nouvelle qui bouleverse une routine. b) Séduire le lecteur Evènement fort : la mort de sa mère. Univers déroutant et absurde : le directeur fait attendre Meursault pour voir sa mère. Absence de sentiments, Monde où les sentiments sont bannis -> que les sens (chaud). II- Un personnage étrange a) Absence de description

à être du même avis que lui. Nous pouvons par exemple se demander pourquoi et quels sont les intérêts de s'identifier à un personnage qui incarne le mal absolu ? Dans ce cas, nous pouvons citer «la condition humaine» de André Malraux en 1933 où le personnage principal «Tchen» doit assassiner un trafiquant. Avec une telle intrigue, les lecteurs ne peuvent pas et ne veulent pas s'identifier à un tel personnage car ils n'ont tous simplement pas envie de rentrer dans la peau de ce personnage et de partager

celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans L'Etranger, Camus présente un homme que des circonstances extérieures vont amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort.  I/ Le récit 1§ Un journal => Présence du narrateur, en point de vue interne, et le lecteur est projeté dans le présent du héros 2§ la chronologie => Peu respectée (succession d’évènement), les temps (Présent d’énonciation qui s’allie avec le futur

d’écriture. Il doit choisir le statut du narrateur et le point de vue. Nous allons analyser ces choix dans les incipits du corpus tirés de roman du XIXème siècle et du XXème siècle. Dans le début de Germinal de Zola, celui de la Condition humaine de Malraux et celui du Chien Jaune de Simenon, le récit est à la 3ème personne. (Relevez des marques de 3ème personne). Le narrateur est alors en dehors de l’histoire. Le choix de Camus dans l’Etranger est différent. La 1ère phrase célèbre du roman : « Aujourd’hui

cuisse, d'où i l retombait en grosses gouttes sur le parquet La chemise, à moitié fendue, en était trempée. Jamais i l n'aurait cru qu'elle avait tant de sang. Et.ce qui le retenait, hanté, c'était le masque d'abominable terreur que prenait, dans la mort, cette face de femme jolie, douce, si docile. Les cheveux noirs s'étaient dressés, un casque d'horreur, sombre comme la nuit. Les yeux de pervenche, élargis démesurément questionnaient encore, éperdus, terrifiés du mystère. Pourquoi, pourquoi l'avait-il

Dans quelle mesure la Condition humaine est-elle une œuvre sur l’absurdité de la vie ? Dans son œuvre La Condition humaine, A. Malraux propose un récit du conflit révolutionnaire qui souleva Shanghai en 1927. De la préparation de l’insurrection aux tournures tragiques que prennent les évènements, il ressort de l’œuvre une certaine faiblesse des hommes face à leur condition humaine. L’aspect tragique de l’œuvre renvoi-t-il une image absurde de la vie ? C’est-à-dire l’image d’une vie déraisonnable

celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans L'Etranger, Camus présente un homme que des circonstances extérieures vont amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort. L'étranger fait parti de ce que Camus appelle «Le cycle de l'absurde». Qu'est-ce qui fait l'originalité de cet incipit? plan: I- L'écriture de l'incipit II-Meursault : un héros désincarné et atypique I- L'écriture se fait à partir de la première

extraits de roman, qui nous exposent à des scènes de meurtres. Le premier extrait est d’Emile Zola qui est un auteur réaliste, il est intitulé : «Thérèse Raquin » il est publié en 1867 ; Le deuxième texte est « La condition humaine » écrite par André Malraux en 1933 ; Le dernier texte est un passage du roman de Albert Camus dont le titre est « L’étranger », il a été publié en 1942. Nous essayerons de mettre en évidence la description de la nature de ces trois extraits. Pour cela nous verrons la présence

personne ou écrits en focalisation interne qui favorisent le sentiment d’empathie du lecteur pour le personnage. (ex : dans  Manon Lescaut de l’Abbé Prévost, Des Grieux raconte sa propre histoire ou dans La Condition humaine d’André Malraux, le choix du point de vue de Tchen abolit la distance entre le personnage et le lecteur.) b. Le cas des romans d’apprentissage : le lecteur participe alors à l’initiation du héros (Télémaque dans le roman éponyme de Fénelon, Rastignac dans Le Père Goriot

celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans L'Etranger, Camus présente un homme que des circonstances extérieures vont amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort. Problématique : Sur quoi repose l'originalité de ce texte ? Plan : I – Le récit a) Un journal - Présence intense du narrateur par l'utilisation du point de vue interne (la perception des événements se fait uniquement par le personnage)