La Mort Des Pauvres

Les Populares dans la vie politique à Rome (-133 à -44, des Gracques jusqu’à la mort de César) « Dans l’état romain, il y eut toujours deux groupes de gens avides de prendre part à la vie publique et de la diriger. L’un se faisait appeler les Populares, l’autre les Optimates » a dit un jour Cicéron. Cette phrase résume au mieux l’état d’esprit des hommes et leur soif de pouvoir pendant la république romaine. C’est à partir de -133 que plusieurs groupes que l’on appelle aujourd’hui des « partis

que mon cul poise.» A travers ce Quatrain que fait Villon quand il est condamné à mort, on peut connaître un peu la vie de ce poète illustre. Tout abord, ce qui lui pèse, c’est d’être François, homme qui a connu une vie pleine d’errance et pleine de misère. L’humour doublé d’une rancœur nous résume toute sa vie. Né à Paris en 1431, François Villon, ou plutôt François de Montcorbier appartient à une famille pauvre et obscure. Il a perdu son père de bonne heure et sa mère ne savait ni lire ni écrire

26)Les yeux des pauvres Les idées essentielles : - Le poète s’adresse à la femme aimée et lui explique pourquoi il la déteste - Il raconte un événement qui a eu lieu un soir : la rencontre avec trois pauvres - Tous les deux n’ont pas eu la même attitude face à ces pauves : le poète est attendri, honteux ; la femme est énervée - Le café est très chic, nouveau (Paris se modernise : immeubles, becs de gaz, grandes avenues, etc.) - Les pauvres : seuls leurs yeux sont évoqués, ils ne sont pas décrits

l'ombre entendre un faible bruit. C'était un Espagnol de l'armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié. Et qui disait: " A boire! à boire par pitié ! " Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit: "Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. " Tout à coup, au moment où le housard baissé Se penchait vers lui, l'homme, une espèce de maure, Saisit un pistolet qu'il étreignait encore

Le Mendiant – Victor Hugo I) La description du mendiant et de la pauvreté A) Un homme pauvre et solitaire - homme définit par sa pauvreté (v.1 : « pauvre homme » + v.12 : il se nomme « le pauvre ») - contraste entre la richesse des paysans et la pauvreté du mendiant (v.4-5) - infériorité sociale (v.6 : « au bas ») - solitaire (v.7) - mendie pour des sommes dérisoires (v.8 : « un liard ») - passif (v.7 : « attendant »  ) B) Des conditions de vie difficiles - vulnérable car pris dans

en face du poêle, et celui-là croit qu’il guérirait à côté de la fenêtre. Il me semble que je serais toujours bien là où je ne suis pas, et cette question de déménagement en est une que je discute sans cesse avec mon âme. « Dis-moi mon âme, pauvre âme refroidie, que penserais-tu d’habiter Lisbonne ? Il doit y faire chaud et tu t’y ragaillardirais comme un lézard. Cette ville est au bord de l’eau ; on dit qu’elle est bâtie en marbre et que le peuple y a une telle haine du végétal, qu’il arrache

Scène 2 : La scène du pauvre I) La mise en place d’une tension tragique 1) A travers la structure de la scène Scène divisé en 3 étapes : -La rencontre - L’excessivité de Don juan -Le dénouement Don Juan se montre supérieur au pauvre (demande de jurer pour argent) paroles excessives qui pousse le pauvre à mendier Décalage entre le langage verbal de don juan et l’absence de geste www.cours-sti2d.com Don juan s’attaque à une force plus forte que lui Dieu Don Juan échoue le pauvre ne jure pas mais

................................................................................................. 16 IV/ LA MORT Derniers vers............................................................................................................ 17 La mort.................................................................................................................... 18 La mort des pauvres................................................................................................. 19 Adieu......

qu’elles appartiennent à la peinture, à la littérature où à la philosophie. Nous convenons avec lui, lorsqu’il se demande : « Qu’est ce que représenter sinon porter en présence un objet absent, le porter en présence comme absent, maîtriser sa perte, sa mort par et dans sa représentation et, du même coup, dominer le déplaisir ou l’angoisse de son absence dans le plaisir d’une présence qui tient lieu et dans cette appropriation différée par référence et reconnaissance transitives opérer le mouvement réfléchi

du XIXème siècle (Sherine)……………………..6 « L'agonie » René-François Sully Prudhomme  du XIXème siècle (Julie)………...7 ACTE 2 : A l’hôpital………………………………………………………………………..9 « La mort des amants » de Charles Baudelaire du XIXème siècle( Emmanuel)……………………………………………………….10 « La mort des pauvres » de Charles Baudelaire du XIXème siècle (Laure)........11 « Chanoine(canon) » Henry Scott-Holland du XIXème siècle (Julie)...………….12 « Le désert » de Jules Delavigne du