La Mort Des Pauvres

condamné à mort enfermé en prison. La présence de la petite fille du condamné renforce l’aspect affectif du texte. Le lecteur est d’autant plus sensibilisé, « ton père qui t’aimait tant »l 11. Les nombreuses marques de subjectivité « je serai », l 2 « me tuer »l 9, accentuent cette impression de fait vécu avec une suggestion de l’horreur poussée à son paroxysme: « quelque chose d’immonde », « une tête », « un tronc ». Cela permet une certaine généralisation concernant la question de la peine de mort. Cet

HUGO Genre : Nouvelle romanesque et dramatique écrite en 1834 relatant un fait réel. Discours narrativisé II Résumé de l'œuvre : Victor Hugo nous relate l'histoire de Claude Gueux, telle une caméra placé dans la prison. Claude Gueux est un pauvre ouvrier parisien qui vit avec sa maîtresse et son enfant. Un hiver, alors qu’il est au chômage, la faim et le froid le poussent à commettre un vol. Il est condamné à cinq ans de prison. Emprisonné à Clairvaux, par la force de son caractère, il devient

Que le pauvre enfant, votre fils et le mien, Ne vénérera pas trop votre mémoire, Ô vous sans égard pour le mien et le tien. Je n’étais pas fait pour dire de ces choses, Moi dont la parole exhalait autrefois Un épithalame en des apothéoses, Ce chant du matin où mentait votre voix. J’étais, je suis né pour plaire aux nobles âmes, Pour les consoler un peu d’un monde impur, Cimier d’or chanteur et tunique de flammes, Moi le Chevalier qui saigne sur azur, Moi qui dois mourir d’une mort douce

............................48 La communauté constitue le véritable jeûne et le véritable sacrifice ...........51 La cupidité est l’un des pires vices ....................................................................53 Christ recherche les pauvres ..............................................................................55 La voie de la communauté n’est pas facile ........................................................58 La propriété privée ne peut être défendue .................

tristesse avec la présence de la mort : « tu mourras » puis à la 2ème strophe : « meurt » en passant d’un futur simple à l’impératif.  Présence des pleurs : « le vent et la foret pleurent », la présence des larmes : « toutes les larmes en automne feuilles à feuilles » construit sur un tétramètre régulier avec l’hyperbole « toutes leurs larmes ».  Présence de la maladie avec le titre du poème ; « automne malade » et avec un registre pathétique renforcé par « pauvre automne » ce qui n’est pas sans

Un chant de Noël met en scène un vieux grincheux, solitaire et acariâtre, obnubilé par son travail, avare et aigri, sans qu'ils s'en rende compte. Il est certes riche mais bien pauvre relations humaines. La veille de Noël, les rues sont animées et chacun prépare le réveillon malgré le froid, le brouillard épais, l'effervescence dans les échoppes, la misère et la mendicité qui semblent régner sur la ville de Londres, tandis que Monsieur Scrooge, que personne ne semble approcher, travaille durement

des extraits de pièces de théâtres du 20ème siècle où le thème de la mort est présent (tragédies). La mort touche dans les trois cas les personnages principaux qui appartiennent tous à un niveau social élevé (Ruy Blas : noble, premier ministre ; CALIGULA : empereur et le Roi Béranger 1er dans la pièce de Ionesco Les trois héros savent qu’ils vont mourir, ils ont tous peur, mais il n’y a que dans le texte d’Hugo que cette mort est voulu par le héros lui-même (empoisonnement, suicide de Ruy blas)

C’est l’un des principaux symboles, puisqu‘il incarne la mort : « quand Bazouge arrivait, ça sentait la mort à travers la cloison. On se serait cru logé devant le Père-Lachaise, en plein royaume des taupes. ». En effet, c’est le croque-mort. II/ Le rôle du Père Bazouge dans l’Assommoir Le Père Bazouge est un vieil ouvrier de 50 ans environ. Il vit dans la maison de la Goutte-d’Or au sixième étage, c’est à dire l’étage des pauvres. Lui aussi, comme beaucoup d’autres est tombé dans l’alcool

toute entière lui sortit hors de la bouche», l'utilisation d'hyperboles ne font que mettre en valeur cet aspect pitoyable de l'héroine. Tout le long du texte on semble également prédire la mort de cette unfortunée: « à la croire déjà morte », « comme un cadavre que l'on galvanise »; jusqu'à enfin arriver à la mort tragique de cette héroine: « Elle n'existait plus ». De même dans « La Parure », l'auteur utilise un vaste et dense champ lexical de la pitié et de la souffrance afin de bien mettre en valeur

déshabillions en silence. Sa bouche, Pâle, s'ouvrait ; la mort noyait son oeil farouche ; Ses bras pendants semblaient demander des appuis. Il avait dans sa poche une toupie en buis. On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies. Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies ? Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. L'aïeule regarda déshabiller l'enfant, Disant : - comme il est blanc ! approchez donc la lampe. Dieu ! ses pauvres cheveux sont collés sur sa tempe ! - Et quand ce