La Mort Des Pauvres

caractériser de "pays riche". La Sierra Leone bien au contraire possède une espérance de vie faible, de revenus bas et des taux de mortalités et de natalités élevées, on peut la caractériser de "pays pauvre". 4. a. De 1991 à 2002, une guerre civile a eu lieu en Sierra Leone, elle causa la mort de 100000 à 200000 personnes. Cette appauvri grandement la Sierra Leone. b. Ce reportage parle de la vie des habitants des bidons-ville, de leurs soucis et de leurs manques. Il y a des épidémies de collera

d'adoration commun. Ainsi leur seul dieu est l'argent, roi parmi le roi,dieu parmi les dieux, il est le souverain absolue des morts et des vivants. Cet être suprême régit la vie de chacun jusque dans la mort. Sur ce continent, ceux doté de beaucoup d'argent vivent a la mesure de leur richesse. Les pauvres eux, pour les plus chanceux vivent entassés dans des bâtiments qu'ils nomment et les plus misérable a même la rue ou encore tout simplement ne vivent plus. Mais ce qui peut paraître encore plus improbable

en fleur. Victor-Marie Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un écrivain, dramaturge, poète, homme politique, académicien et intellectuel engagé français, considéré comme l'un des plus importants écrivains romantiques de langue française. ___________________________________ Georges Brassens : Georges Brassens, né à Sète, (dans l'Hérault), le 22 octobre 1921, mort à Saint-Gély-du-Fesc, également dans l'Hérault le 29 octobre 1981

d'adaptation réservés pour tous pays.Jean Cocteau est né le 5 juillet 1899 à Maisons-Laffitte. Dès son enfance, il eut le privilège de fréquenter les meilleurs esprits de son temps chez son grand-père, à Paris, chez lequel il s'était installé après la mort de son père. A dix-huit ans, une audition de ses poèmes est organisée au théâtre Femina. Le succès est immédiat, ce qui lui vaudra d'être reçu dans les salons où il rencontre Catulle Mendès, Anna de Noailles, les Daudet, Proust, etc. Des contacts avec

valet prenne ses vêtements, et donc prenne le risque de mourir à sa place : « Allons vite, c'est trop d'honneur que je vous fais, et bien heureux est le valet qui peut avoir la gloire de mourir pour son maître » (II, 5, p. 60). C'est finalement le pauvre Sganarelle qui trouvera une solution. Face au rudoiement de son maître, il semble normal que Sganarelle ne cesse de le critiquer. B. Sganarelle ou un critique virulent de son maître Le valet critique sans limites son maître, aucuns termes ne semblent

pils hérissés » la ville est déshumanisés seul les chiens restent = image de désespoir. « froid de mort » l.8 hyperbole, l.10 « haleine de mort » personnification à valeur d'hyperbole = souligne solitude de la ville. B) Le monde carcéral La vision de la ville fait référence au domaine carcéral : CL prison « grillages » « barreau » « volets sont tirés » l.6-7 « fenêtres noires » l.9 = idée de la mort, « fenêtres garnies de barreaux » l.15 « prison » l.16, occurrence du mot « barreau » l.38. Associé

theatre écrite par Jean-Luc Lagarce en 1990. C'est une tragédie : Louis le personnage principale est atteint d'une maladie fatale à seulement 34 ans. Il décide de retourner voir sa famille qu'il n'a pas vu depuis 12 ans dans le but de leurs annoncé sa mort. Mais il n'y parviendras pas. Tout le long de la piece Louis s'exprime très peu se sont les autres personnages qui s'expriment à ça place. Texte n°1 Ce texte est le prologue c'est la première scene. Elle sert d'exposition. C'est un monologue du personnage

I Goriot : les funérailles d’un pauvre :       Ces funérailles se déroulent sous le triple signe de l’abandon, de la précipitation et de la contrainte d’argent.       L’abandon du père par les filles sa solitude près la mort comme dans l’agonie, sont perceptibles à travers plusieurs expressions : « Il n’y avait qu’une seul voiture de deuil… Il n’y a point de suite… deux voitures armoriées mais vides ». On remarquera l’alliance de ces deux termes, « armoriées mais vides », qui marque la noblesse

dénouement et les thématiques de la pièce, soient la mort et la maladie de la « rhinocérite ». La mort, qui, dès le début du texte, est introduite de manière enfantine avec la mort d’un chat, nous fait déjà présager des événements plus tragiques au fur et à mesure que nous avancerons dans la pièce : « Il a écrasé mon chat, il a écrasé mon chat! Il a écrasé son chat. Si c’est pas malheureux, pauvre petite bête. Pauvre petite bête. Pauvre petite bête. Pauvre petite bête1 ». La tragédie, ici illustrée et amplifiée

non les pauvres gens, les accusés étaient envoyés pourrir en prison en attendant de subir leur peine, comme ce fut le cas de Justinien Trouvé, arrêté en même temps que les saltimbanques et accusé d'être leur associé, sans aucune preuve. Les peines étaient le plus souvent soit plusieurs années aux galères (où les accusés seraient maltraités et travailleraient comme des bêtes dans les navires appartenant au roi (sort destiné à Justinien au début de l'histoire)), soit une condamnation à mort des plus