La Mort du loup

|Le loup et l’agneau : | | | |Un agneau se désaltérait | |Dans le courant d'une onde pure. | |Un loup survient à jeun, qui cherchait aventure, | |Et

Fontaine, Fables (1668), "Le loup et le chien" Introduction: La fable le loup et le chien est la cinquième du recueil. Cette fois, se sont deux animaux carnivores "antipathiques par nature", par instinct, selon Buffon, qui sont mis en scène. Comme à son habitude, le narrateur omniscient définit les circonstances, puis cède sa place à ses personnages qui prennent la parole (focalisation externe) créant ainsi une illusion théâtrale. Le sujet est simple: un loup famélique (affamé, tout maigre)

une projection sur une figure haïe des propres sentiments de jalousie de l'enfant Le personnage de la mère toxique hante souvent les contes et nous en avons une variante dans Cendrillon comme mère abusive qui souhaite la perte de l'héroïne, voir sa mort (symbole de régression). Le miroir magique Le Miroir magique révèle l'ombre de la psychologie jungienne, la part « maléfique » mais vraie de la reine mais aussi à Blanche-Neige qu'elle est porteuse « potentiellement » de cette cruauté. La fonction

Lecture analytique n°2 : Le Loup et le Chien, 1668, Jean de la Fontaine. Dans cette œuvre Jean de la Fontaine raconte une discussion à propos du mode de vie entre un loup et un chien. Le but de l’auteur est de faire réfléchir sur le prix de la liberté. Cette fable est un apologue narratif à visée argumentative. I L’art de la composition. A) Le récit. Le récit encadre la fable du v1 à 12 et au v41. Les verbes d’actions sont principalement au présent de narration : « aborde » v10, « rencontre »

Texte 2 (Séquence 1) « Le Loup & l’Agneau » - Jean de la Fontaine Fables .livre 1.10 (1668) INTRODUCTION DU TEXTE 2 : La Fontaine, célèbre et adulé au XVIIème, est une référence de son époque. Auteur protéiforme, il est à la fois poète, dramaturge, conteur, nouvelliste, romancier, et surtout, ce que va retenir la postérité, fabuliste. Le premier recueil de fables (six livres) paraît en 1668 avec un avertissement : « Fables choisie et mises en vers par monsieur de La Fontaine » signalant

Le Loup et l’Agneau, La Fontaine : Présentation : ⇨ L’auteur : - Jean de La Fontaine (1621 - 1695 = XVIIème siècle) - Poète, moraliste, dramaturge, romancier français - Période classique ⇨ L’œuvre : - 1668 - Genre : Fable - Type : Vers ⇨ Thème, but, intérêt de l’extrait : - Illustre une morale - Met en scène des animaux pour mieux évoquer les hommes. - Met en évidence

autuers sur l’atrocité humaine e sont absurdité. Ce texte est tiré du roi se meurt ecrit par d’Eugène Ionesco (1909-1994) en 1962.Ionesco veut dans cette pièce faire réfléchir le spectateur sur lui-même et sur son éventuelle réaction à l’annonce de sa mort Dans ce texte, le roi va mourir, il se laisse guide par Marguerite I) L.1 à 4 : la perception des couleurs Perception differente Début du texte => Vision atténué, seul ses souvenirs sont encore coloré Champ lexical de la peinture => Peintre

Histoire des Arts : Blitz Wolf ; Tex Avery 1) présentation du document _ date de 1942 _ réalisé par Tex Avery _ Le générique de ce court métrage annonce « le loup de ce dessin animé n’est pas fictif ». La ressemblance entre ce Loup et Hitler et voulue. _ Le N. commence à raconter son histoire de façon classique : « il était une fois 3 petits cochons … » 2) Contexte historique _ Illusion à l’opération Barbarossa, déclenchée en secret par Hitler contre les soviétiques en juin 1941 alors

Le roi se meurt Introduction : Né en 1909 en Roumanie et mort en 1994 à Paris, Eugène Ionesco est un célèbre auteur et dramaturge du XXème siècle. Il est connu pour être l’un des précurseurs du “théâtre de l’absurde” où il met en scène des personnages souvent burlesques et extravagants. À travers des histoires, de premier abord “décousues”, il nous fait part en réalité d’une réflexion profonde sur le langage, le péché ou même la mort. C’est en effet ce dernier point qui est abordé dans sa pièce

>Détient le pouvoir : « tint conseil » > pouvoir de rassembler, « et dit » > pouvoir de la parole, pouvoir de consommer voire de tuer : «j’ai dévoré force moutons », «Même il m’est arrivé quelquefois de manger Le berger », et droit de vie/de mort : « Que le plus coupable périsse ».  >Dans son discours,  usage de l’alexandrin qui est un vers noble. >Titres de noblesse (dans le discours du renard) : « Sire », « Seigneur ». >Le renard : incarnation de la ruse, de la