La Mort Est Elle Un Obstacle Au Bonheur

s'éloigne. Quand la vie devient dure, que les choses changent seul le véritable amour reste inchangé " - tteint, que tu ne t'évanouira pas dès qu'elle s'accrochera à toi. Dis lui que tu sera toujours là. » La passion s’accroit en raison des obstacles qu’on lui oppose » W. Shakespeare - « Les plus belles histoires ne sont pas celle qui durent le plus longtemps mais celles qui savent se relever » - « Plus l’esperance est grande plus la deception est violente . » - « Nos histoires

(Empire romain) en l’an 4 av. J.-C. et mort le 12 avril 65 ap. J.-C. à Rome, est un philosophe, dramaturge, poète et homme politique espagnol de l’Empire romain. Il est conseiller à la cour impériale sous Caligula (12-41) et sera le précepteur de Néron et son conseiller à la cour. Au cours de sa vie, il s’intéresse beaucoup à la philosophie, et en particulier au stoïcisme, philosophie hellénistique (de la période hellénistique) qui prône la sagesse, le bonheur et la liberté, et ouvre même son école

l’amitié entre Octave et Coelio. En effet, ils sont très fusionnels et fidèles. Octave se sacrifie plusieurs fois pour le bonheur de son ami et est complètement dévoué. Alors, sa mort l’affecte énormément et ses sentiments l’envahissent. Il a besoin d’exprimer ses pensées pour faire son deuil. Ses répliques ont une fonction thérapeutique. Il lui est nécessaire de réaliser sa mort, il doit peut être se sentir coupable dans un schéma du “syndrome du survivant” : pourquoi lui et pas moi? On le voit surtout

puisqu’il s’attaque à Napoléon III et à son coup d’Etat. Les Misérables sera également écrit pendant cette période. Refusant l’amnistie, il ne rentrera à Paris qu’après l’avènement de la IIIe République en 1870. Sa lutte incessante contre la peine de mort Cette conviction lui vient très jeune. Lors de ses voyages avec son père dans des pays occupés par l’armée napoléonienne, il assiste à des exécutions publiques qui le traumatisent. En 1812, il n’a alors que 10 ans, son parrain (et compagnon de sa

à tout prix de se retrouver dans le noir en allumant la lumière par exemple. De même si l’Homme se met à avoir peur de ses désirs, il y mettra fin d’une façon ou d’une autre. S’il est largement préférable de ne plus écouter son désir par peur, le bonheur consisterait-il à ne plus rien désirer ? Et doit-on satisfaire tous ses désirs ? On pourrait penser que dès lors que l’on satisfait un désir, la plénitude nous apparaît. En réalité, le désir n’est-il pas obtenu après mélange de manque et d’insatisfaction 

déterminations essentielles (ex: Socrate est un homme, l’homme est mortel, etc.) « Tout  connaitre » signifierait alors posséder de telles propositions à propos de tous les objets et de tous leurs aspects, de manière à épuiser le réel. On voit d’emblée les obstacles qui interdisent un tel projet: d’une part la richesse du réel semble inépuisable, d’autres part l’homme possède des facultés de connaissances limitées qui lui interdisent de prétendre tout connaître. A la limite, une telle connaissance pourrait être

deux écoles, Cicéron. * A la fin de la République, toutes les décisions sont prises par Auguste bien que l’on soit en République. Prince, le 1er principal. Lutte pour le pouvoir cesse puisque le pouvoir reste entre les mains d’homme jusqu’à sa mort. Rhétorique va disparaitre du moins pour l’aspect politique. L’éloquence est donc en décadence. Elle est qualifiée d’épidictique. Sert essentiellement à devenir avocat … * « La seconde sophistique «  IIème s. courant littéraire. Recteurs grecs

amoureux de la reine astarté. Menacé de mort, il doit quitter Babylone. Commence alors pour lui une période d’errance. Arrêté pour un meurtre, il est vendu comme esclave. Grâce à son habileté, il devient vite l’ami de son maître Sétoc. Il convainc les Arabes de renoncer à une coutume barbare. Mais des prêtres veulent sa mort. Heureusement Almona, qu’il a naguère sauvée du bûcher, le sauve. Zadig veut retrouver Astarté. Le brigand Arbogad lui apprend que Moabdar est mort et que l’anarchie règne à Babylone

où il deviendra immatériel." NIETZSCHE "La vie imite l’art, bien plus que l’art n’imite la vie." WILDE 9. La religion "La religion est une réaction défensive de la nature contre la représentation, par l’intelligence, de l’inévitabilité de la mort." BERGSON "C’est l’homme qui fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme." MARX "L’art, la religion et la philosophie ne diffèrent que par la forme ; leur objet est le même." HEGEL "Les religions sont comme des routes différentes

regrette » (nostalgie ?). ( par la tentative d'exprimer, de formuler, de définir le bonheur privé (« expliquer »/ « voir enfin »), d'extérioriser des sentiments enfouis (métaphore : « ensevelis ») au plus profond de la sensibilité, et exprimés jusque-lá par le transfert vers des personnages de fiction (œuvre littéraire : René). C’est une démarche de compréhension de soi-même (« expliquer mon inexplicable cœur » : quête du bonheur et d'une incapacité à le trouver, révélation des sentiments cachés, expression