La Morte Amoureuse La Beauté

 Objet d’étude : Le personnage du roman, du XVIIème à nos jours Pb : Comment l’identité du personnage romanesque se construit-elle à partir d’une tension extrême ? I-Biographie Madame de Lafayette est née le 18 mars 1634 à Paris et est morte le 25 mai 1693 à l’âge de 59 ans. Elle était une femme de lettres. Elle est surtout connue pour La Princesse de Clèves, 1678 et La Princesse de Montpensier, 1662 qui sont respectivement un roman et une nouvelle. Madame de Lafayette a surtout écrit des romans

La figure de la déception amoureuse : Abbé Prévost, Manon Lescaut (18) Introduction : Abbé qui a écrit des romans libertins, utilise le récit enchâsse (récit à l'intérieur d'un récit). - Des Grieux trouve Manon (fille libertine, infidèle et manipulatrice) entrain de forniquer avec Monsieur de B. A la fin du roman, ils s'enfuient en Amérique et Manon meurt d'épuisement. - Passion amoureuse de Des Grieux qui va jusqu'au bout. Problématique : Montrez que le personnage narrateur refuse de reconnaître

ce qui est contraire au code de la comédie et mélange les registres. Nous allons étudier l’acte 2 scène 2 qui présente un dialogue entre Charlotte et Dom Juan dont Sganarelle est le témoin (complice). Cette dernière est donc la nouvelle conquête amoureuse de Dom Juan. Cependant, ce que celui-ci ignore est que la paysanne est déjà fiancée à Pierrot qui vient de le sauver de la noyade. De quelle façon Dom Juan va-t-il séduire et épouser Charlotte ? Pour répondre à cette question, nous allons étudier

classicisme, il y a Jean Racine. Étant reconnue le plus grand tragédien de son époque il écrira la pièce Andromaque (1667, Hachette 2006), pièce tragique de 1650 vers et qui sera l’un de ses grands succès. Il s’agit de la veuve d’Hector, encore amoureuse de celui-ci, qui est prisonnière avec son fils Pyrrhus qu’elle veut sauver d’une mort que réclame ses ennemis. Pour ce faire, elle accepte d’épouser Pyrrhus même si elle ne l’aime pas alors qu’il est aimé de la fille d’Hélène et elle-même aimé d’Oreste

l'herbe et les floraisons grasses. Moisir parmi les ossements. Alors, ô ma beauté! dites à la vermine Qui vous mangera de baisers, Que j'ai gardé la forme et l'essence divine De mes amours décomposées! Charles BAUDELAIRE 2 L’œuvre majeure de Charles Baudelaire s’intitule Les Fleurs du mal (1857?). Déjà dans ce titre, Baudelaire indique aux lecteurs, par un oxymore, quelle sera sa posture esthétique : créer la beauté à partir de tout, particulièrement de ce qui ne l’est pas et qui dégoûte les

la femme qu’a Baudelaire, car la froideur est le symbole de quelque chose d’intouchable. Il consacre également certains de ses poèmes comme Lesbos et Femmes Damnées à l’homosexualité féminine qui est pour Baudelaire une recherche du désir, et de la beauté qui réside pour lui dans le bizarre inhérent aux lesbiennes. Les femmes sont pour Baudelaire une source d’évasion par l’érotisme et le plaisir esthétique qu’elles dégagent, il est fasciné par la femme et modernise la figure féminine grâce à « l’appropriation »

Chapitre 1 Monsieur de Sainte Colombe est un veuf inconsolable. Sa femme est morte en 1650 le laissant seul avec deux filles âgées de deux et six ans. Ils habitent dans une maison avec un jardin qui donne sur la Bièvre. Il enseigne la viole qui connaît alors un engouement à Londres et à Paris. C'est un maître réputé. Ses deux filles, Toinette et Madeleine, ont de réelles dispositions pour la musique. Chapitre 2 Il peut aussi être violent et irritable comme il peut être tendre. Il est sujet

Du personnel à l’impersonnel. a) Genèse. b) Un récit de confession II) Du regard à la passion a) L’amour sous quatre formes b) Naissance de l’amour selon Stendhal c) Du coup de foudre à la première « cristallisation » III) La plus grande beauté mène au malheur a) L’engouement b) Le coup de foudre IV) La jalousie a) Le doute de l’amour-passion b) Conclusion Jai choisis de détaillé le thème de la cristallisation, car c’est le ‘cœur du livre’ A* Genèse : en 1818 Stendhal résidait à

la section « Spleen et Idéal », première du recueil, qui s’intitule « Une charogne », est emblématique du geste baudelairien de l’alchimiste, que la puissance rend capable de transformer la boue (une charogne, élément ignoble) en or (esthétique amoureuse par-delà bien et mal, beau et laid, Spleen et Idéal, vie et mort). Nous verrons en quoi ce poème se démarque de la tradition poétique, en mettant en acte ce geste d’alchimiste poétique. Dans le même temps, nous verrons comment Baudelaire

par Rossard au XVIème siècle décrit une folie amoureuse et dévorante. Cette poésie issue du Pétrarquisme démontre une prise de possession par l'écriture poétique. Pétrarque fut le modèle dont s'inspira brillamment Ronsard. Grâce à cela le sonnet, fut mis à la mode et déclaré comme étant une forme fixe. A travers ce sonnet, l'auteur essaye de nous transmettre ses sentiments et d'exposer une accusation auprès de cette femme si envoûtante par sa beauté, déplus la poésie reprend la légende d'Orphie.