La Morte Amoureuse La Beauté

ordonnéeP2 : passion désordonnée Le romantisme est un mouvement du 19e siècle qui s’oppose aux Lumières. La littérature romantique est caractérisée par plusieurs thèmes, notamment celui de la passion. Une œuvre marquante de cette époque s’intitule La morte amoureuse de Théophile Gautier. En effet, il a très bien su développer l’idée de la passion romantique dans sa plénitude. Il y arrive en développant d’abord la passion ordonnée ensuite la passion désordonnée, qui elle est une conséquence de la première

dans la nouvelle « La morte amoureuse » de Gautier, la femme est présentée de façon positive par son comportement et sa description physique. · En dissertation explicative : Démontrez que, dans la nouvelle « La morte amoureuse » de Gautier, la femme est présentée comme un être ambigu puisqu’elle est à la fois angélique et démoniaque. · En dissertation critique : Peut-on affirmer que, dans la nouvelle « La morte amoureuse » de Gautier, la protagoniste

biologique, qui était d’avoir un enfant d’une beauté parfaite en souhaitant, après s’être piquée avec une aiguille et voyant trois gouttes de sang sur la neige, que cet enfant ait la peau aussi blanche et pure que la neige, les joues aussi rouges que le sang et les cheveux aussi noirs qu’un corbeau. Elle voulait comme tous les parents devraient le vouloir, je dis bien devraient, car ce n’est pas toujours le cas, avoir le plus parfait des enfants, aussi bien en beauté qu’en intelligence. Elle mourut en mettant

apprend sa mort, en est ému et écris un nouveau recueil Sonnets sur la mort de Marie. Dans le sonnet « Comme on le voit sur la branche » il déplore la mort prématurée de la jeune femme et il célèbre sa beauté en recourant à une comparaison, il a recours à un cliché (topos en grec) de la poésie amoureuse : la comparaison entre la femme aimée et une fleure, ici une rose, la fleure préféré du poète. Comment Ronsard s’approprie-t-il ce lieu commun ? Nous verrons sur un rapprochement progressif et complet

Idée principale 1 : Dans cet extrait, les traits physiques de Clairimonde, étant morte, laissent semés le doute qu’elle est morte ou vivante Idée secondaire 1 : Les traits physiques de la mort Citations « […] le cou d’un cygne que la mort n’avait pu raidir […]» L’euphémisme : « […] la mort chez elle semblait une coquetterie de plus […]» l’auteur atténue la mort chez Clairimonde comme une chose coquette. « La pâleur de ses joues, le rose moins vif de ses lèvres, ses longs cils baissés et découpant

des temps modernes dans lequel se reflète le « poète impeccable » aux fleurs maladives. Pour clore notre analyse, nous nous pencherons sur la figure de Tahoser comme étant une égérie aux splendeurs infinies. Nous discernerons à travers cette sublime morte, une femme fatale funèbre qui malgré sa posture inerte fait l’objet d’un commun accord artistique. Gautier, peintre dans l’âme nous dévoile un tableau ancré dans le tableau romanesque. « J’ai un pressentiment que nous trouverons dans la vallée de

livres, divisés en 2 parties : avant et après. C'est un recueil de souvenirs, mais également un hommage à sa fille Léopoldine morte noyée en 1843, qu'Hugo a écrit lorsqu'il était exilé à Guernesey. De quoi parle le texte : Elle était déchaussée est le XXI poème du livre premier intitulé Aurore. Le poème écrit en alexandrins, composés de 4 strophes évoque la rencontre amoureuse entre le poète et une jeune femme dans une nature accueillante et paisible. Question : Il serait intéressant d'analyser la

[…] ne m’a pas consolé »), une analyse, par le narrateur, des effets produits par les réponses de l'Ingénu (« Mlle de Saint-Yves […]manger un Algonquin »). Chaque réponse révèle la pureté du personnage. La première révèle que le Huron reconnaît la beauté où elle est, qu'il est flatteur et a de l'esprit ("plaire aux personnes qui vous ressemblent"): ce n'est pas un imbécile. Cependant elle révèle aussi qu'il est idéaliste ; il est trop "fleur bleue" ce qui risque d'amener des conséquences néfastes

Travail de recherche en Français Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette, née le 18 mars 1634 à Paris où elle est morte le 25 mai 1693, est une femme de lettres française. Elle fut notamment l'auteur de La Princesse de Montpensier en 1662 et de son roman le plus célèbre : La Princesse de Clèves imprimé à Paris, chez Claude Barbin en16 mai 1678. La Princesse de Montpensier : La Princesse de Montpensier est une nouvelle dont l’action se situe à l’époque des guerres de religion

« fou », ou prétendu tel, qui a raconté dans un journal intime avoir eu des relations avec une revenante, et le médecin, qui lui tient un discours médical. Le fou est entré en possession d’une chevelure féminine, d’une grande beauté. Il en est devenu obsédé, jusqu’à croire que la morte lui était apparue, et est devenue sa maîtresse. Le journal est lu par le narrateur, sans que ce dernier fasse partie de l’action, sauf à la fin, en tant que témoin. I / Le fou Il mène une vie tranquille pendant un certain