La Morte Amoureuse Ouverture

que Maupassant écrit pour se soulager et « échapper aux hantises ». Il en vient ensuite sur ses qualités d’auteur et d’écrivain et de journaliste. LA CHUTE Il définit la fin classique d’une nouvelle en employant des métaphores. Il réalise une ouverture sur Les Milles et Une Nuits. 1.2- A retenir L’emploi important de figures de styles (antithèse, métaphores...) La construction en partie de la préface L’importance de la vie de Maupassant sur son écriture. 2- Le Crime du Père Boniface

décrire les phénomènes du monde sous un regard particulier, en décalage avec la vision traditionnelle, farfelu), contestataire, « haïku ». Analyse: 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Intro/amorce voc problématique structure thèmes effets de styles synthèse ouverture  les thèmes:   -l'humour - le fantastique/ le rêve/ l'irréalité  -la famille  -la mort  -l'histoire  -la guerre  -l'enfance  -le « petit peuple »  le style: -joue sur les accents -opposition oui/non -symétrie -renversement de

Phèdre : mort pour se racheter elle a déjà pris le poison longue phrase, lenteur de la souffrance. « cœur » amour quelle portait à Hypolyte, organe des sentiments. « venin » : poison + amour incestueux yeux, vue : euphémisme, aveuglée par sa passion amoureuse Elle a commis un pêcher irréparable religieusement et conjugalement elle me fin au déshonneur son agonie est à la hauteur de ce qu'elle a fait. → douleur de Thésée : v.14 : oxymore, souvenir douloureux. v.15 : son désespoir veut le mener à se bannir

lecteur une histoire comptemporraine autrement dit en 1942. 2ème partie .On remarque que l’auteur utilise le temps du discours orale. .2ème chose inhabituel c’est la synthèse. Nous avons une synthèse simple « Aujourd’hui maman est morte. OU peut-être hier ». Le début est répétitif simple et même simpliste. Le coup de génie de Camus c’est que ce style un peu répétitif ennuyeux, dépassionné entre en correspondance entre la nature et le caractère du personnage parce que le narrateur

demander si Stendhal ne démystifierais pas la guerre tout en mettant en évidence sa réalité à travers son oeuvre tres romantique et épique. La Princesse de Cleves : INTRO : Mme de la Fayette est née le 18 Mars 1634 à Paris et morte le 25 Mai 1693, c'est une femme de lettre française qui s'inscrit dans le classicisme et la préciosité du 17eme siecle et elle est auteure en particulier de romans et de nouvelles. L'extrait étudié est tiré du roman «la pincesse de cleves» qui met

mythe fondateur est cette pierre tombale sur laquelle on peut lire "ci-git Marie… morte": Miette (prénom provençal) qui signifie Marie y lit son destin. Elle présage la double mort et le sacrifice du jeune couple, mais également la République assassinée par le coup d état du 2 décembre. Henri Mitterand écrit : "Voilà la véritable assise des Rougon-Macquart, en même temps que la formidable première mesure de leur ouverture. Les vingt volumes du cycle entier sont installés sur un tombeau; la société

part d’une grande partie de la population blanche. Scout vit avec son père, Atticus, un avocat élu à la Chambre des représentants de l’Etat, son frère, Jem, de quatre ans son aîné et Calpurnia, leur cuisinière. La mère des deux enfants est morte quand Scout n’avait que deux ans, mais cette dernière n’en est pas traumatisée d’autant que Calpurnia se charge d’aider leur père dans leur éducation et leur apporte de l’affection. L’été, Jem et Scout passent le plus clair de leur temps à

toutes les possibilités de l'intellectuel philosophique. Cependant , si l'intellectuel de l'épistolier reste fondamental pour les lumières et se répand dans les lettres , le cœur garde une place importante dans les lettres , de par les "lettres amoureuses [qui envahissent] la littérature romanesque du XVIIIème siècle" (page 65) , notamment avec La Nouvelle Héloise de Rousseau , ou encore les lettres de Madame de Sévigné . Ainsi , nous pouvons dire que la lettre constitue un nouvel espace intellectuel

renvoyaient leurs bonds, leurs élans, étouffaient leurs cris, leurs soupirs dans des baisers de feu. Le lit craquait aux secousses furieuses de la comtesse. Bientôt épuisée, abattue, Fanny laissa tomber ses bras. Pâle, elle restait immobile comme une belle morte. La comtesse délirait. Le plaisir la tuait et ne l’achevait pas. Furieuse, bondissante, elle s’élança au milieu de la chambre, se roula sur le tapis, s’excitant par des poses lascives, bien follement lubriques, provoquant avec ses doigts tout l’excès

débauche florentine du XVIe siècle. Les deux personnages principaux apparaissent ensemble dès les 1ères répliques mais ils sont différents de leur ton, de leur aspect .Ce qui est une rupture avec le théâtre classique; c'est le drame romantique. Ouverture: La suite des événements va t elle confirmé le caractère découvert dans cette scène d'exposition? Texte2- Victor Hugo, Ruy Blas (1838): analytique Introduction: Avec Ruy Blas (1837), Hugo signe une de ses plus grandes réussites dans le DRAME ROMANTIQUE