La Moustache Fiche De Lecture

descriptive procède d'une enquête-participation INRP de 1982 sur les besoins de recherche, en relation avec les besoins de la formation des maîtres auprès de plus de 600 formateurs et instituteurs, qui a désigné massivement l'enseignement de l'écrit (lecture et production d'écrits) comme lieu problématique, et au moins lieu de malaise des maîtres (ROMIAN, DUCANCEL, 1985). Parallèlement, un séminaire de chercheurs en psycho, socio et sémiolinguistique, en sciences de l'éducation, avait permis de cerner

pretexte de ce qu'elle rapide regard lent regard sera). vers le passé. vers son passé: (C'est une marche arriare Connaissance de E Resume avec sa vie antérieure. produite par le mariage). joie. 4 3 Sa vie au 4 4 Ses lectures La mort 4.2 4.2 • bourgeoises: Couvent de sa Rentrée au Lecture: * (La jeune ~~* critique des mere. Couvent Paul et Virginie romans de fille(. (passé) (passé) l'époque. (passé) (passé) (passé) La sortie ~ ^ d u couvent (passé) Mme Bovary: songes sur le mariage. _>iPaysagedu cháteau

pretexte de ce qu'elle rapide regard lent regard sera). vers le passé. vers son passé: (C'est une marche arriare Connaissance de E Resume avec sa vie antérieure. produite par le mariage). joie. 4 3 Sa vie au 4 4 Ses lectures La mort 4.2 4.2 • bourgeoises: Couvent de sa Rentrée au Lecture: * (La jeune ~~* critique des mere. Couvent Paul et Virginie romans de fille(. (passé) (passé) l'époque. (passé) (passé) (passé) La sortie ~ ^ d u couvent (passé) _>iPaysagedu cháteau. Mme Bovary: songes sur le mariage

1 La Maison Tellier Guy de Maupassant Oeuvre du domaine public. En lecture libre sur Atramenta.net 2 LA MAISON TELLIER On allait là, chaque soir, vers onze heures, comme au café, simplement. Ils s’y retrouvaient à six ou huit, toujours les mêmes, non pas des noceurs, mais des hommes honorables, des commerçants, des jeunes gens de la ville ; et l’on prenait sa chartreuse en lutinant quelque peu les filles, ou bien on causait sérieusement avec Madame, que tout le monde respectait. Puis on rentrait

bourgeois anglais, avec des fauteuils anglais. Soirée anglaise. M. Smith, Anglais, dans son fauteuil et ses pantoufles anglais, fume sa pipe anglaise et lit un journal anglais, près d'un feu anglais. Il a des lunettes anglaises, une petite moustache grise, anglaise. A côté de lui, dans un autre fauteuil anglais, Mme Smith, Anglaise, raccommode des chaussettes anglaises. Un long moment de silence anglais. La pendule anglaise frappe dixsept coups anglais. Mme. SMITH Tiens, il est neuf heures

lui qui est cause que le Breuil est toujours plein d'eau, qu'il a coûté 50.000 fr. à la ville, et que, sans sa femme... " On dit je ne sais quoi de sa femme. Elle est gentille, avec de grands yeux noirs, de petites dents blanches, un peu de moustache sur la lèvre ; elle fait toujours bouffer son jupon et sonner ses talons quand elle marche. Elle a l'accent du Midi, et nous nous amusons à l'imiter quelquefois. On dit qu'elle a des " amants ". Je ne sais pas ce que c'est, mais je sais bien

contraire, est le lansquenet fanfaron et grivois qui se pavane sur la place, qui fait du bruit dans la taverne, qui caresse les filles de bohémiens, qui ne jure que par sa rapière et par son escopette, et qui n’a d’autre inquiétude que de cirer sa moustache. — Or, l’auteur de ce livre a envisagé l’art sous cette double personnification ; mais il n’a point été trop exclusif, et voici, outre les fantaisies à la manière de Rembrandt et de Callot, des études sur Van-Eyck, Lucas de Leyde, Albert Dürer, Peter-Neef

qui est cause que le Breuil est toujours plein d’eau, qu’il a coûté cinquante mille francs à la ville, et que, sans sa femme… » On dit je ne sais quoi de sa femme. Elle est gentille, avec de grands yeux noirs, de petites dents blanches, un peu de moustache sur la lèvre ; elle fait toujours bouffer son jupon et sonner ses talons quand elle marche. Elle a l’accent du Midi, et nous nous amusons à l’imiter quelquefois. On dit qu’elle a des « amants ». Je ne sais pas ce que c’est, mais je sais bien qu’elle

terreur et de désespoir. Ma mère, de retour du puits, marchait d'un pas de somnambule, le regard fixe, et les mâchoires serrées. Sans mot dire, elle prit ces hurlements sous 18 son bras, et les porta dans sa chambre. Mon père la suivit, la moustache tombante, avec le sourire confus d'un coupable, et les bras écartés du repentir. Paul, rigolard, me dit : « Heureusement qu'elle a jeté la tondeuse, autrement tu y passais, et maman aussi ! » La petite sœur ressortit de la chambre sous une vieille

Ni Lucie ni Marion ne jouent au tennis. Jouer avec la grammaire exercice 15 p. 24 C’est la mer. Dictée préparée exercice 16 p. 24 Remarque : Ce petit exercice d’orthographe, indispensable dans ce chapitre, peut être complété par la fiche d’orthographe 46 - on / ont / on n’, p. 132 du manuel. On attend depuis une heure, on n’a vu personne, on a faim et on n’a rien à manger. On en a assez ! a. (Jacques et sa mère) ne possédaient rien / (ils) ne pouvaient plus / (ils) durent / (Jacques)