La Mère Coupable

RELIGION Elle est surtout incarnée par le personnage de l’aumônier, qui déclenche la révolte de Meursault, à la fin du roman. Elle est présente également dans deux autres passages : - l’enterrement de la maman : « Un dernier mot : votre mère a, paraît-il, exprimé souvent à ses compagnons le désir d’être enterrée religieusement. J’ai pris sur moi, de faire le nécessaire. Mais je voulais vous en informer. » Je l’ai remercié. Maman, sans être athée, n’avait jamais pensé de son vivant à la

en tout cas l'expression d'une conscience malheureuse. L'acte de voir semble presque être la cause du malheur. Acte conçu par le personnage donc acte coupable. Même si les autres ne le croient pas coupable, lui se sait coupable. (cf. Jansénisme de Racine). Ce qui conduit Phèdre à considérer son amour comme incestueux, c'est la conscience coupable qu'elle en a, elle se sait être l'héritière des fautes de sa famille. Pasiphae a eu le caprice de vouloir s'accoupler avec un taureau, ce faisant, elle

élevé) elle est la seule à savoir pour la fêlure héréditaire de Jacques qui crée en lui des pulsions meurtrières. Phasie ancienne garde barrière vit dans un logement de fonction avec son époux Misard et sa fille Flore( c’est elle qui a succédé à sa mère en tant que garde barrière). En épousant Misard, Phasie a conservé et caché 1000 francs, qu’elle refuse de partager. Pour tenter de lui dérober Misard l’empoisonne lentement en versant du salpêtre dans son sel, mais il la tuera finalement avec de la

ignorait la conversion prétendue ? Comment une mère tendre aurait-elle mis les mains sur son fils ? Comment tous ensemble auraient-ils pu étrangler un jeune homme aussi robuste qu'eux tous, sans un combat long et violent, sans des cris affreux qui auraient appelé tout le voisinage, sans des coups réitérés, sans des meurtrissures, sans des habits déchirés ?   Il était évident que, si le parricide avait pu être commis, tous les accusés étaient également coupables, parce qu'ils ne s'étaient pas quittés d'un

sur la famille des Théocathoclès tous actes fâcheux qui pourraient « tomber » sur la famille des Atrides. Egisthe souhaite se marier avec Clytemnestre, même s’il semble beaucoup apprécier Electre, qui quant à elle est assoiffé de vengeance envers un mère qu’elle accuse d’avoir tué son père et son frère. Ainsi Egisthe souhaite se débarrasser d’Electre en la mariant au jardinier, mais c’est sans compter sur le retour in extrémiste d’Oreste le frère d’Electre. Retour qui va raviver de douloureuses blessures

de prison conserve une indiscutable énergie. Son envie de dominer et tel, qu’elle n’arrive plus à se contrôler. Ses enfants ayant atteint l’âge de maturité ne semblent pas pouvoir exprimer leurs émotions et tout cela à cause de la méchanceté de leur mère. Elle est très désagréable et empêche les siens d’avoir un contact extérieur. Personne n’ose s’opposer à l’abominable vieille dame dont le regard exprime autant de méchanceté que ses paroles. Bref, c’est la victime parfaite dans ce meurtre complexe

l'un des rois légendaires de la ville de Thèbes. Fils de Laïos et de Jocaste, Œdipe est connu pour avoir résolu l'énigme du sphinx et pour être coupable de parricide et d'inceste. Mythe : Avant la naissance d’œdipe, Laïos et Jocaste ont consulté un oracle de Delphes. Qui leur a prédit que s'ils avaient un fils, celui-ci tuerait son père et épouserait sa mère. Certains pensent d’un tel oracle est une punition pour Laïos, qui aurait enlevé et violé Chrysippe, le fils de Pélops (roi de Pise en élide)

victime de la société. I/ La critique idéologique Elle débute avec la protestation de Marceline devant les accusations portées par Bartholo. En effet, celle-ci renverse le blâme prononcé contre elle en montrant qu’elle est une victime et pas une coupable : « Une jeunesse déplorable. / Oui, déplorable, et plus qu’on ne croit ! ». Marceline utilise une surenchère qui souligne la polysémie de « déplorable ». De plus, elle reprend l’adjectif déplorable au sens étymologique, c’est-à-dire qu’on peut déplorer

rapidement, dans la scène suivante, comme le héros qu’il est, mais aussi comme un juge capable de punir. Phèdre est donc en proie à un accablement qui l’amène instinctivement à reformuler son propre désir de mourir pour ne rien dévoiler de son désir coupable. En face d’elle, Oenone veux tout faire pour la sauver. Vous m’avez demandé….. Pour répondre à cette problématique, je vais développer les deux axes suivants : je vais montrer comment Racine met en scène l’affolement de Phèdre, puis je

train ; associé avec Jacques ; amoureux de la Lison La mère Victoire : nourrisse de Séverine Flore : cousine de Jacques ; secrètement amoureuse de celui-ci Tante Phasie : 45 ans ; tante de Jacques ; empoisonnée par son mari Misard : 40 ans ; aiguilleur ; empoisonne sa femme pour obtenir son héritage Louisette : fille de Phasie ; abusée par Grandmorin ; morte à cause de celui-ci chez Cabuche Cabuche : ami de Louisette : sauvage, le coupable parfait Chapitre 1 Une première bête Roubaud et