La Méchanceté Des Hommes

en croyons les historiens, ressemblaient plus à des bêtes qu’à des       hommes. Ceux-ci n’étaient point si contrefaits : ils n’étaient point velus comme des ours ; ils ne       sifflaient point ; ils avaient des yeux ; mais ils étaient si méchants et si féroces qu’il n’y avait        parmi eux aucun principe d’équité ni de justice.            Ils avaient un roi d’une origine étrangère, qui, voulant corriger la méchanceté de leur 10    naturel, les traitait sévèrement. Mais ils conjurèrent contre

L'émotion qu'il suscite naît de la conviction intime qu'il n'y a plus d'issue, plus de solution. Il exprime le destin fatal.. et la mort. Il crée entre l'auteur et le lecteur la même émotion parce qu'il évoque des sentiments intimes communs à tous les hommes. Il favorise la divulgation d'un enseignement. Il donne aux êtres et aux événements une dimension qui les dépasse, un caractère extraordinaire, surhumain et symbolique PROCÉDÉS UTILISÉS champs lexicaux des larmes, de la douleur; exclamations,

personnage athée "Un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique qui ne croit ni au ciel, ni Enfer, ni Loup-garou" Courageux "Quand un homme se bat seul, tout de suite l'aider" et libertin à la fin tragique. L'auteur peut aussi insister sur la méchanceté du personnage ( En accentuant la peine d'Elvire, en rendant Dom Juan sans pitié et détestable ) Quant à Phèdre, cette dernière, est pleine de Jalousie, mais aussi trés touchante, car elle est emprisonner pas son dest 3. Un texte de parole Le tout

tout le pays, autant de sujets qui inspireront les romanciers. Les intellectuels se passionnent pour les sciences et les techniques. Enjeux :  Montrer une société contemporaine à l’auteur.  Montrer la réalité d’une époque.  Représenter les hommes et le monde tels qu'ils sont, non à travers l'imagination de l’auteur.  dépeindre la réalité telle qu'elle est, sans artifice et sans idéalisation. Auteurs représentatifs : Jules Champfleury, Alphonse Daudet, Louis Edmond Duranty, Gustave Flaubert

de la dramaturgie (personnages, action, etc.) * Alfred Jarry, Ubu roi, 1896 : ce personnage sanguinaire est étrangement annonciateur des dictateurs du XXe siècle. Ubu : évoquer son fameux « merdre », ses insultes, sa grossièreté, sa méchanceté amusants mais très grinçants... * Samuel Beckett, En attendant Godot, 1953 : pièce finalement très sombre (constat désespéré sur la condition humaine dans l'attente d'un sens extérieur qui jamais ne vient) mais la veine comique ressort

ancien directeur, un survivant, un revenant, un malade. Il semblait pressé de me voir partir, insista encore pour que je ne perde ni la clef ni le code, prononça quelque chose comme : « Vous verrez, monsieur, vous verrez jusqu’où peut aller la méchanceté des hommes.»

interprétations souvent fausses de sa pensée), affirma parmi ses nombreux écrits que l'on peut diviser les sentiments mauvais en trois grandes catégories. La plus grave est bien sûr la méchanceté (c'est-à-dire la perversion) qui consiste à prendre plaisir à détruire la Vie et donc les êtres de Vie que sont les hommes. Puis vient une forme moins connue que l'on peut traduire de nos jours par l'aigreur et qui consiste à prendre plaisir à rejeter, à gâcher la Vie et ses bonnes choses. Enfin, vient la

la cour. Cette scène d’exposition permet aux spectateurs de dresser le portrait de deux hommes très différents et d’esquisser deux philosophies de vie contraires. 5°/ Analyse I. Alceste Il est le personnage principal de l’œuvre et le titre de la pièce met en évidence son trait de caractère le plus frappant et le plus exagéré. A/ Quels reproches adresse-t-il à la race humaine ? Méchanceté, malfaisance et « vice » des « uns », « Complaisance » des « autres ». Il donne des exemples

enthousiasme: retrouver la joie de ce moment de fête, la joie de retrouver Julie, la joie de decrire ce moment à un ami → permet de revivre le moment. La présentation d'un idéal social A. Atténuation des hiérarchies sociales -l3.4 → énumération « les hommes », « les femmes », « paysannes » pas de signe distinctifs → englobe tte la société + « on » x répétitions → pronom impersonnel indéfini => globalisant (l2) « tout » → anaphore + « personne »: pronom indefini => il n'y a pas d'exclusion « tout

d'innocence et de bonheur, on ne voudra pas croire à cette année exécrable, qui s'ouvre par un crime et se clôt par un supplice ; elle aura l'air dépareillée.  Et pourtant, misérables lois et misérables hommes je n'étais pas un méchant ! Le Dernier jour d'un condamné – 1829 Du moins, ces hommes-là me plaignent, ils sont les seuls. Les geôliers, les guichetiers, les porte-clefs – je ne leur en veux pas – causent et rient, et parlent de moi, devant moi, comme d'une chose. Le Dernier jour d'un condamné