La Métaphore

poétique qui domine le poète est la métaphore. En effet, les environs du paysage sont les comparés. Premièrement, le hublot  est comparé à la lanterne magique car elle lui offre la vue du paysage. Ici, le comparant est le hublot et le comparé est la lanterne magique. Deuxièmement, « Ma rétine happe » est comparé à un oiseau tendre. La métaphore, ici, met en valeur l’idée que les deux termes soient ensemble et souligne l’égalité dans la métaphore avec le comparé et le comparant rend le

Figures de styles: vers 1, comparaison: ainsi... vers 2, métaphore: nuit éternelle vers 3, métaphore: océan des âges (temps qui coule) vers 5, métaphore: l'année a fini sa carrière vers 9, personnification: tu mugissais (le lac ne peut pas mugir) vers 10, personnification: tu te brisais vers 10, personnification: flancs déchirés vers 16, personnification: flots harmonieux vers 19, personnification: flot attentif vers 21, métaphore: suspends ton vol vers 25 et 28, antithèse: malheureux/heureux

les acteurs de l’organisation ont des conduites 1 Cette manière de concevoir la métaphore comme outil de raisonnement et de guide pour l’action s’apparente aux thèses de deux auteurs d’origine disciplinaire bien différente que la sociologie des organisations puisqu’il s’agit d’un anthropolinguiste et d’un philosophe du langage : George Lakoff et Mark Jhonson. Voir : LAKOFF G., JHONSON M., (1985) « Les métaphores dan la vie quotidienne », Minuit, Propositions, Paris. (1980, pour l’édition originale

poète. I/ L’importance et le rôle des figures analogiques : Correspondances vient du latin correspondre ce qui signifie mettre en rapport de conformité. Tout le texte est construit sur deux figures d’analogies à savoir les comparaisons et les métaphores. A) Les comparaisons Les comparaisons sont très nombreuses dans le poème : L’utilisation de l’outil de comparaison « comme » est réitérée à plusieurs reprises comparé/outil de comparaison/comparant Le second quatrain s’ouvre sur cet outil de

suggérer le murmure du démon. (de façon très flagrante dans la 1ere et la 3eme strophe) Et de R. Annonciation du ronflement du démon. Ver 1 comme lui, comparaison Ver 2 « Ô lune de ma vie » métaphore in absentia synécdochite particularisante : Métaphore in absentia sauf à la fin elle devient in praesentia (Belzébuth) mis pour la femme Synecdoque particularisante cas ça aurait pu être n’importe

comprendre à quoi ce mal est-il comparé et à toutes les métaphores et hyperboles que l’auteur a utilisé pour bien faire passer son message. Commençons dans un premier temps par nous pencher sur les thèmes abordés par les métaphores. La première métaphore rencontrée dans le texte est celle du feu. La fortune des Saccard « brulait en plein Paris » En effet, elle dit que les gens brûlent leur argent, ils en profitent donc énormément. Cette métaphore est suivie d’une comparaison : «comme un feu de joie

Cupidon est décrite sous le nom de feux, de flammes car elle embrase l’imagination et le cœur. Enfin l’opposé du feu est l’eau ou la glace, la première éteint les flammes, la seconde compense la chaleur. L’expression hyperbolique de la passion et les métaphores filées de l’amour C’est une composition intellectuelle complexe et originale alors que le thème est conventionnel. Marbeuf joue des parallélismes et des antithèses mis en place... Le parallélisme va jusqu’au vers dix. Il concerne la mer et l’amour

particulier d'écho sonore L'unité sonore |   |   | III- Le rythme du texte en vers | L'accent La coupe L'enjambement Le rejet et le contre-rejet |   | |   | |   | |   |   | IV- Les images poétiques | La comparaison en poésie La métaphore en poésie La personnification et l'allégorie |   | |   | |           Introduction La versification est l'ensemble des règles et des techniques concernant l'écriture du poème. Vers le milieu du XIXe siècle, les poètes se sont affranchis

évoquée dans une métaphore filée traditionnelle, celle de la navigation : « nouveaux rivages », « emportés », « océan », « jeter l’ancre ». L’existence humaine est assimilée à une errance perpétuelle sur la mer. A travers le poète qui utilise la 1° personne du pluriel, c’est toute l’humanité qui exprime son malaise et sa lassitude devant la course infernale du temps. Les hommes sont montrés comme passifs (« poussés », « emportés ») face au temps évoqué dans une double métaphore : « nuit éternelle »

Tout de suite on constate son attitude méprisante et sarcastique envers Robert ce qui peut être prouvé par l’emploi de l’épithète « chétif » et la métaphore « serf ». En parlant de Robert Louis le nomme « une créature » comme si ce n’était pas un homme pour lui mais juste un être vivant, une créature apparue sur terre de faute de qqn. Par la métaphore « serf » le personnage principal nous montre son évaluation du caractère de son fils naturel. Il le méprise car son fils a un caractère faible. Cette