La Nature A Fait Les Homme Si égaux

possibilité d’établissement d’un pouvoir politique légitime, c’est-à-dire d’un pouvoir capable de garantir la liberté et l’égalité des citoyens. Il s’agit pour le philosophe de trouver le fondement logique d’une autorité capable de protéger le droit fondamental et naturel de l’homme, sa liberté, qui fonde sa qualité d’homme. Le problème qu’il se pose est donc le suivant : Comment l’entrée de l’homme dans l’état civil et sa soumission à une autorité peuvent-elles garantir sa liberté ? En posant comme

Je vous écris, suite à la lecture de votre roman Frankenstein, pour vous faire part des impressions que j’ai ressenties. Cette lecture m’a causé un long moment de réflexion. Je tenais tout d’abord à vous dire que c’est avec grand plaisir que je me suis voué à cette lecture à l’esprit philosophique. On peut comprendre grâce à votre œuvre que l’homme est, comme le disait Rousseau,  « bon par nature et corrompu par la société ». La création du Dr Frankenstein n’est en fait méchante et cruelle qu’à

rejoindre son combat en lui parlant de façon franche posant un ultimatum. En effet, elle lui dis que si elle n'agit pas pour la cause révolutionnaire, elle serait alors complice de la guerre contre-révolution, donc coupable, elle perdrait son titre de reine et serait persécutée. De plus, elle tente de la convaincre en lui proposant un challenge pouvant "redorer sa réputation auprès des Français" car, si elle y participe, elle aurait une moitié de royaume et

Socrate est un philosophe qui a vécu sa jeunesse à l’époque ou Athènes était glorieuse et il a vécu sa vieillesse à l’époque où les valeurs morales étaient en crise. D’après Socrate, subir l’injustice il est moins malheureux, agir justement il est heureux, subir l’injustice il est heureux et de commettre l’injustice il est malheureux, car son âme est corrompue. D’après Socrate, pensez-vous qu’il vaut mieux commettre l’injustice que de la subir? En nous appuyant sur les arguments de

naissent libres et égaux en dignité et en droit ». Il parait ainsi évident qu’être libre, c’est faire ce l’on veut. Autrement dit, « faire ce que l’on veut » signifie faire ce que bon me semble, ce qui me plaît, assouvir mes désirs, sans que rien ne m’en empêche. La réflexion est nécessairement morale et politique car considéré que la liberté c’est faire ce que l’on veut revient à ne se situer que du point de vue de l’individu. Or l’homme est un être social, et si l’homme est libre (si la liberté n’est

apprennent à obéir . Il en est de même pour l’école, dans la relation maître-disciple , le maître apprend à l’élève à respecter des règles. Le corps de ce dernier doit répondre aux attentes du professeur , on pourrait parler de « dressage de corps «  . Il est vrai que l’élève se doit de se tenir droit sur sa chaise, se taire , ne pas bouger, écouter , ne pas manger etc .Le disciple doit faire preuve de soumission. L’enfant ressent alors un certain malaise, une pesanteur qu’il cherche à fuir. Il rêve

Dissertation Hobbes La notion de l’être humain a évoluée progressivement depuis des centaines d’années, car chaque individu a sa notion de liberté, de raison de justice et d’injustice, et grâce à plusieurs courants philosophiques notre société a énormément grandi d’autant plus qu’elle continue son essors. C’est ce que Hobbes montre dans son œuvre Léviathan, ou il fait un portait de ce qu’est un être humain a son état de nature et comment un état politique en serais la solution. Tout d’abord, un

croyance religieuse ne structure plus le monde politique, la citée. Avec la modernité, on assiste à un passage de société qui fonctionnait à l’hétéronomie vers des sociétés qui fonctionnent à l’autonomie. Généralement les sociétés traditionnelles se pensent elles-mêmes comme obéissant à une loi qui est située à l’extérieur d’elles-mêmes (Ex : dans la nature, dans la religion). Elles obéissent à des lois qu’elles pensent situées du côté de la transcendance. Ce sont des lois décidées par des hommes

corpus : la vision de la nature au travers du regard de différents écrivains à différentes époques. De la vision bucolique de Boileau à la vision scientifique et visionnaire de Jules Verne. La nature n’a que peu changé depuis l’avènement de l’humanité, et pourtant les différentes observations de la nature se sont bien faites sous différents angles. Sans doute parce que l’homme lui-même a bien évolué entre le XVIIe siècle et le XIXe siècle. Cette observation de la nature ne doit pas être dissociée

Y a-t-il des inégalités justes ? « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. » Ce limpide article premier de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 recèle les plus redoutables difficultés. Par exemple, comment concilier l'égalité et les « distinctions sociales » ? Ne sommes-nous pas face à quelque chose d'aussi bizarre qu'un cercle carré ? S'il y a des distinctions sociales, il n'y