La Normalité

Pra­tiquement toutes les sphères de la société moderne semblent soumises à ces niveaux ou ces limites de la normalité qui définis­sent en retour, un échec à la norme. Or cet échec à la normalité semble constitutif des processus d'exclusion. Dans la sphère de l'Education nationale, il existe par exemple une définition rigoureuse du niveau scolaire à atteindre pour suivre l'itinéraire sans faute de la normalité. A chaque étape, si le niveau requis n'est pas atteint, et surtout en cas d'échecs répé­tés, l'échec

l’absence des parents leurs procuraient une intense douleur. Tous souhaitaient rejoindre la « normalité », « être comme les autres », « être considérés comme normaux ». Au centre, « les choses simples de la vie, comme un sourire, un bon dessert était une source de bonheur » P52. Le but principal d’Alexandre et de ses camarades était de ressembler de plus en plus aux autres, « être normal », « entrer dans la normalité ». Alexandre parle aussi beaucoup des éducateurs, il est assez confus dans ses dires. Certains

logique de l'individu à s'épanouir dans cette prise de conscience des sentiments variables qui le traverse. Georges Canguilhem, père de l'épistémologie moderne lui, insiste sur la notion de normalité ou non et conclut que la normalité réside dans "le pouvoir de tomber malade et de s'en remettre", la normalité est aussi décrite comme une aptitude à l'adaptation et au changement, d'une liberté. Alberto Giacometti, sculpteur et peintre tient les paroles suivantes "le sujet semble évoluer plus vite

réduit pas au quantitatif  thèse de Canguilhem La normalité physiologique définie quantitativement repose sur les mesures de constantes biologiques. Or il est illusoire de définir une normalité avec ces outils. On se retrouve avec une altération plus importante que l’état de santé au sens strict. Si on est capable de mesurer la normalité, on peut dériver et aboutir à une hypernormalité qi est alors une conception pathologique de la normalité. Tout quantifier peut devenir pathologique. Canguilhem

reposant sur la plage pendant les vacances. Non, c'est plutôt un bouquin qui est sensé faire réfléchir un minimum. Réfléchir sur qui l'on est, sur ce que l'on désire dans la vie, la manière de l'entreprendre... Réfléchir sur la notion de folie (et de normalité), sur la vie (et la mort), ... Alors certes le côté moralisateur de Coelho peut parfois être un peu lourd et, évidemment, tout n'est traité qu'en surface. En clair (façon de parler), il n'y a pas forcément grand chose de très innovateur au niveau

jalousie ne peut appartenir à la normalité. Comment donc comprendre qu’un homme puisse commettre des actes anormaux alors qu’ils sont inscrits dans sa nature ? L’homme fonde-t-il ses actions naturelles uniquement sur la morale collective, qui se doit d’entrer dans les normes ? Mais un abus de cet acte naturel ne le rendrait-il pas anormal ? L’humain serait-il capable de conduites ou pratiques extérieur à sa nature ? Le naturel et la normalité pourrait être connecté par un lien

nourrice" "Le père, l'oncle et la tante" l1-2 %une accumulation %L'enfant est donc dans un cadre familiale par la description de ses proches -"Il était pour tout le reste d'une forme ordinaire" l2-4 %synecdoque % Ici cette synecdoque met en relief sa normalité. La différence ne viendra que dans un second temps. B. -" A cause de son étrangeté " L3 %Un Euphémisme %Une atténuation

moins grave, en revanche, il peut être repris dans l’après coup.Le normal et le pathologique.Normalité : absence de maladie, adaptation (juste milieu).-Normalité statistique : fréquence- Normalité idéal (sociétal) : auquel on aspire.-Normalité fonctionnelle : état le + approprié à un individu en fonction de ses caractéristiques psychologique. -Normalité subjective : représentation des limites de la normale, strictement individuel.6. La Santé Publique :Santé Publique : C’est comme la science de « prévenir »

ses valeurs innées, et de s'introduire ainsi parmi des groupes d'appartenance. Cependant, malgré cette possibilité de s'exprimer et d'agrandir cette intelligence, nous en sommes encore à nous limiter à notre "base" et à nous enfermer dans cette normalité monotone. Ainsi, je chercherais à démontrer quels intérêts peut-on éprouver à enrichir sa culture. Et finalement, en quoi alors serait-ce un inconvénient que de se contenter d'un pseudo-rationalisme ? Si l'homme, "l'être pensant", peut

définitions qui décrivent ce qui peut être considéré comme du domaine du normal : ▪ La norme peut être définie statistiquement, auquel cas, être normal consisterait à se situer dans la moyenne. On parle alors de « normalité sociale » (cf. courbe de GAUSS). La normalité correspond aux normes en vigueurs dans une société donnée et aux comportements communément admis dans un groupe social. Si l’on s’en tenait à une telle définition on considèrerait comme pathologique tous ce qui n’est