La Parole Rapproche T Elle Les Hommes

évoquant les persécutions nazies depuis l’invasion de la Pologne par l’Allemagne jusqu’à l’effondrement du IIIème Reich. A ce récit se superpose celui de son fils qui raconte aussi l’histoire de sa relation avec son père, de qui cette œuvre l’a rapproché. Analyse de l’oeuvre C’est à la fois le témoignage du génocide des Juifs par les nazis (la Shoah) mais aussi une histoire des relations entre un père et son fils, relations parfois difficiles entre deux personnes qui ne se comprennent pas toujours

pour ne pas rester sur une mauvaise impression de cet architecte, j’ai préféré poursuivre ma lecture jusqu’au terme de ce livre quitte à sacrifier un certains nombre de pages, et c’est avec surprise que j’ai enfin pu prendre plaisir à feuilleté ses paroles lors de ses conférences à Londres, au cours desquelles il développe les fondements même de l’architecture « organique » aussi désignée comme l’architecture « moderne ». Et bien que vaniteux il est vrai, à toujours louer et prêcher l’aspect héroïque

la raison. C’est à cette même période qu’apparait alors une nouvelle forme d’organisation politique : la démocratie athénienne, prônant en quelques sortes l’égalité des citoyens. Parmi les nouveaux concepts surgissant à Athènes, l’importance de la parole en est un majeur : la maitrise de l’art oratoire permet ainsi à un individu de détourner l’opinion politique en sa faveur. C’est alors qu’émerge une nouvelle profession, basée sur cet art de parler : des instituteurs, dits « sophistes », vont enseigner

Tomanie, Hynkel, qui a une ressemblance frappante au barbier, met en place une idéologie antisémite. Or le barbier est lui-même juif. IL fut arrété et accusé de complot contre le régime nazi, il se retrouve donc en prison avec Schultz. Les deux hommes s'échappèrent au moment où la Tomanie envahit l'Österlich. Les soldats allemands confondent les deux personnages : Hynkel est arrêté à la place du barbier tandis que ce-dernier pris pour le dictateur est contraint de prendre sa place et d’improviser

de prises sur la fuite du temps. Il est emporté par le temps comme il le serait par une vague. Au vers 3 et 4, le poète utilise une métaphore qui sera filée dans tout le poème, métaphore sur le temps, sur la vie comparée à un fleuve qui emporte les hommes (« océan des âges »). Il y a un effet de rupture vers 4, dans le rythme du quatrain (on passe d’alexandrins à hexasyllabes). Ce choix est justifié par la volonté, de la part de Lamartine, de mettre fin à la fuite du temps. Il y a aussi un effet de

embrassé l’aube d’été ». Une phrase déclarative brève. Le poète se met en scène avec la première personne du singulier et d’emblée personnifie l’aube sous les traits d’une déesse, ce que suggerait déjà un peu le titre « Aube ». le titre peut être rapproché d’une « ode » a l’aube. Cela suggère aussi des rapports privilégiés entre le jeune homme et la déesse. « l’aube d’été » fait deux fois référence au temps : au moment de la journée et moment de l’année. 2eme paragraphe : Un paragraphe descriptif

roman, théâtre, cinéma, mime ou danse ? Côté texte, rien ne va de soi : au flamboiement du littéraire, on peut opposer le rejet du littéraire ; au kaléidoscope des formes, au brassage des parlers, à la prolifération des discours, un amenuisement de la parole, dont l’aboutissement extrême est la substitution du mime au langage articulé. Côté représentation, le moins étrange n’est pas la recherche systématique de lieux de représentation insolites, hangars ou usines désaffectées, à laquelle le spectateur

fabuliste a recours au registre satirique. Les animaux qui se comportent comme des hommes, l'intelligence du cerf comparée à la sottise du lion font rire le lecteur et l'amènent à adhérer à la critique. Le deuxième texte est un extrait de Germinal. Il s'agit d'une scène dans laquelle Etienne Lantier utilise tout son art oratoire pour persuader les mineurs de poursuivre la grève. Zola emploie son personnage comme porte-parole pour dénoncer les abus de pouvoir du grand capital. « Le salariat est une forme

d’une cinquantaine d’années prenant une jeune fille âgée d’une vingtaine d’années en stop. Cet homme marié, n’hésite pourtant pas à la charmer, lui avouant d’ailleurs qu’il a eu une maitresse, et qu’il apprécie prendre des femmes en stop et non des hommes « J’aime prendre les auto-stoppeurs vous savez… Femme bien entendu ». A un moment clé l’homme tente alors de mettre la main sur les cuisses de la jeune-fille, celle-ci pose alors un journal sur ses jambes (ainsi est mis en avant l’actualité),  l’homme

et accepte l'issue fatale ,tandis que la poularde s'indigne en vain face à ses bourreaux. Question2: Dans ce dialogue satyrique le chapon et la poularde,la thèse soutenue par l'auteur, Voltaire, est une mise en accusation de la violence des hommes. La race humaine y est décrite comme une cruelle engeance ,perverse et barbare . l'écrivain dépeint tout d'abord, la cruauté de l'être humain envers le animaux ,puis fait un parallèle avec celle qu'il exerce sur ses semblables. Dans ce texte les