La Part des ténèbres

étaient avant moi dans Jérusalem. Et même ma sagesse demeura avec moi. 10 Tout ce que mes yeux avaient désiré, je ne les en ai point privés ; je n'ai refusé à mon coeur aucune joie ; car mon coeur prenait plaisir à tout mon travail, et c'est la part qui m'en est revenue. 11 Puis, j'ai considéré tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j'avais prise à les exécuter ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent, et il n'y a aucun avantage à tirer de ce qu'on fait sous

"une tête", ...) - Le narrateur souligne aussi le manque de prise de conscience collective, l'aveuglement concernant leurs conditions de travail et de vie, mais valeur symbolique. Pour voir clair, il faudrait la lumière (or, il n'y a que des ténèbres...) ; insistance du thème de la "tête" et de "l'œil" et non sur le reste du corps

"Le tombeau des regrets", une œuvre musicale interprétée par Sainte Colombe sous l’inspiration de son épouse défunte. Le motif du tombeau est très présent dans l'œuvre, d'une part «Le tombeau » au sens de l’œuvre musicale entraine de multiples conséquences et d’autre part « Le tombeau » en tant qu’obscurité au sens des ténèbres. Tout d'abord, Tous les matins du monde, est un roman qui lui-même formule le motif du tombeau. Comme le dit Guignard dans son roman lors du chapitre XXVI « tous les matins

beaucoup plus fort. Ce poème transmet avec beaucoup d'émotion un sentiment de tranquillité durant une nuit de printemps, au clair de lune, sous un ciel dégagé plein d'étoiles. Chant d'automne I Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts ! J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours. Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil

visiter pour les acquérir. La Kabbale chrétienne ayant mis à part MALKOUT (signifiant le ROYAUME) qui est la résultante des 9 autres séphirotes et DAAT le serpentaire pour y adjoindre : AIN (sans) est l’esprit non manifeste, c’est symboliquement le point immatériel : invisible et partout à la fois. AIN SOF (sans fin) représente l’infini, le vide, les ténèbres absolues. AIN SOF AOUR (LUMIERE SANS FIN) c’est la Lumière qui jaillit des ténèbres (AOUR signifiant également Amour). La Kabbale chrétienne

prudent, très prudent. » […] Agatha Christie, Dix petits nègres Extrait 4 : .................................................... […] j’étais arrivé à la porte, et je me redressai. Je ne pus rien distinguer à l’intérieur où régnaient d’opaques ténèbres. D’autre part, je n’entendais que le ronflement régulier des dormeurs, et, parfois, de petits bruits semblables à des froissements de plumes ou à des coups de bec, parfaitement inexplicables pour moi. J’entrai d’un pas ferme, les bras tendus en avant. J’avais

faute revient à un plan bataille colossal, une rixe de 5 clans au pied de la Montagne Solitaire qui a été libérée du dragon au feu dormant, le cruel Smaug dont chaque apparition érigeait le second épisode au statut de chef d’oeuvre d’heroic fantasy. A part quelques rares scènes bavardes, cet ultime volet se divise donc en feu d’artifices et moments plus intimistes d’émotion, quand les deux ne s’entremêlent pas pour susciter l’enthousiasme aveugle des plus grands fans qui seront toujours prêts à fermer

sagesse 1-Un récit fortement orienté par le point de vue du fabuliste : il se construit en parfaite opposition. D'un côté la présentation d'un mode ed vie qui resemble à une utopie. La première partie du récit présente une évocation du paradis. D'une part, la sérénité qui règne entre les êtres. Lexique à connotations mélioratives (colombier, paix profonde, ils vivent ensemble, la douce société de leur fidèles compagnes), les conditions de vie qui soulignent le bien petre : (onde pure et prés fleuris

fantastique : le lieu devient un monde infernal. Les couleurs sont terreuses et sombres : « noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon », « points rougeâtres ». L´ atmosphère est dramatisé par les métaphores et les hyperboles : « les ténèbres fussent d´un noir inconnu », « suie de 10 hivers aurait amassé une nuit profonde ». Les repères visuels sont brusque et courts : « brusquement allumés d´un reflet cristal », « luisant » qui laissent apparaitre la violence : « tète violente », «

cesse" qui indique la permanence du questionnement. *On comprend que l'invitation au voyage du poète cache en fait une invitation à la mort de la part de son âme (c'est-à-dire toujours de lui-même), notamment grâce à l'emploi d'un champ lexical lié à la mort, à l'obscure et au vide : "loin de la vie", "analogies de la mort", "néant", "nuit", "ténèbres", "enfer", "hors de ce monde"... Ce désir de mourir est à mettre en relation avec la souffrance du poète, très présente chez Baudelaire et qui s'en