La Part des ténèbres

Au premier mot, on apprend que quelque chose va arriver. - Nous plongerons : le poète attire l'attention du lecteur. - La première strophe avec ses mots ténèbres, Adieu, et chocs funèbres laissent penser à la mort. - vers 4 : ce vers montre une image du bois que nous utilisons pour le chauffage, une image qui représente l'hiver. - A la 2ème strophe, le saut soudain, le passage de l'automne à l'hiver est très rapide, et inattendu. - Vers 5-6 : enjambement. - Ces mots représentent l'humeur caricaturée

Torah dispose de nuances politiques sous son aspect didactique et historique. De part ses nuances politiques, nous pouvons dégager certaines interprétations mythiques, qui avaient pour but de rassurer le peuple juif, prisonnière du peuple d’Egypte. Tout d’abord, nous pouvons remarquer que, tout comme le peuple juif, la création commença par le chaos. En effet au début, la Terre est informe, vide et plongée dans les ténèbres pour ensuite se terminer dans l’ordre et l’harmonie. L’interprétation mythique

11 volumes d’illustrations consacré à toutes les formes de la connaissance et des sciences, afin de transmettre à tous le savoir acquis jusqu’alors. Pour eux, « l’homme éclairé » est en opposition avec la « masse » qui elle est restée dans les « ténèbres ». En ce qui concerne la religion, les philosophes des Lumières ont des points de vue très différents, ce qui provoque parfois des conflits. II – Des auteurs et des œuvres Parmi les philosophes des Lumières les plus connus, on trouve :

Ils sont innombrables, ceux qui ne s’inquiètent pas de son nom ni de rien de ce qui a rapport à lui ; d’autres désirent tout autre chose que de vivre sous son règne, et combien ne connaissent que leur propre volonté ou se laissent mener par les ténèbres ! Dieu n’use pas de contrainte pour les sauver, ils sont libres de se précipiter dans l’immense misère qui est leur partage, loin de lui. Il attend que les hommes désirent au moins ce qu’il veut leur donner, et Jésus nous a mis sur les lèvres la

"cette crapule de Badinguet". Elle exprime son mépris "les polissons comme vous". "Vous" s'adresse à Cornudet et aux autres personnes qui ont trahi l'empereur. Le dernier mot de la nouvelle est "ténèbres". Au premier degré, il s'agit biensur de la nuit qui est tombée , mais symboliquement, ces ténèbres traduisent la solitude et la tristesse de cette victime. - Cornudet : c'est un démocrate ennemie du régime impérial et de la bourgeoisie qui s'y est ralliée. A priori, il apparait plus sympathique

Rousseau) III/ L'éloge du philosophe : a) La valorisation de l’image du philosophe : Dumarsais tente ici d'illustrer l'art de l'adaptation et de la modération, mais il s'engage résolument aux côtés des philosophes. - champ lexical des ténèbres : « ténèbres ; nuit ; abîmes de la mer ; le fond de la forêt »- (les passions, l'absence de réflexion), « nuit » « précédé d'un flambeau » => métaphore des Lumières - valorisation explicite par un adjectif à valeur de superlatif « c'est ici une grande

Mythologie grecque : Au commencement du monde était Chaos, le désordre. Il fracassait l'Univers au hasard de sa course folle et de cette confusion naquirentGaïa (la Terre-Mère), le Tartare (les Enfers), Éros (le Désir), Érèbos (les ténèbres des Enfers) et la Nuit (les ténèbres de la Terre). La genèse : Le livre de la Genèse veut expliquer l'origine de l'homme et du peuple hébreu jusqu'à son arrivée en Égypte en l'éclairant par le projet de Dieu 2°- La religion une explication de la mort. La mort est

signifie développement de certaines qualités, et traits intérieurs qui restent à l’état embryonnaire et qui ne peuvent se développer par eux-mêmes Ce développement n’est donc possible, que par des efforts venant de l’homme lui-même et d’une aide de la part de ceux qui ont avant lui entrepris un travail semblable et qui ont déjà atteint un certain degré de transformation. Gardons donc l’idée, que sans effort, la transformation est impossible et que sans aide, c'est-à-dire sans travail, elle l’est tout

artistique auquel on associe la Piéta de Michel-Ange ou le génie multiforme de Léonard de Vinci. Mais cette période se présente aussi comme une remise en question radicale du Moyen Âge que nous avons pris l'habitude de symboliser par l'expression "âge des ténèbres". Par plus d'un côté, la Renaissance est, pour nous, l'acte de naissance de notre monde moderne et de nombreux événements (les voyages d'exploration et de conquêtes de Christophe Colomb, de Cortès et de Pizzaro; le développement des échanges commerciaux

tristesse du poète prend alors son sens grâce à l’anaphore «malgré la mort» (l.20,26) qui pose tout de suite ce poids que l’intéressé traîne derrière lui. Conventionnellement à la tradition lyrique, on repère le thème de la mort «mort» (l.10,26,27), «ténèbres» (l.20), «feu» (l.24) qui s'oppose à celui de la vie «vis» (l.1), «vie» (l.3), «jour» (l.20) etc... Cela témoigne du désordre de ses sentiments «images innombrables de la vie» (l.3), «images innombrables de la mort» (l.27). De plus, l'hyperbole «innombrables»