La Part des ténèbres

indigènes. ( Relevé : « nous lancions des mots «Parthénon! Fraternité!» et, quelque part en Afrique, en Asie, des lèvres s’ouvraient: «…thénon! …nité!» Analyse : -utilisation du « nous » pour désigner les européens - synecdoque : « les lèvres » au lieu de l’a bouche ou de l’homme Interprétation : répétions incomplète( donner à réciter sans valeur il n’y a aucune compréhension de la part des indigènes. Dénonce une infantilisation et une corruption du peuple indigène

faite de contraste elle est "éclatante et noir" "si mince et si large". Le champs lexical de la couleur est également très présent: le noir tout d'abord,celui " éclatant " des " ténèbres de sa peau ", " tranchant vivement " d’une part sur " le ton clair et rose " de sa robe de soie et du " rouge " de son ombrelle et d’autre part sur tous les bleus suggérés de la mer qui " miroite " et de " l’immense azur ". Sa chevelure en est " presque bleue ".Le lecteur imagine ainsi aisément ces couleurs vives pénètrent

farandole de la grue «, la grue étant un oiseau qui traverse les mondes et les fait traverser ; c’est un passeur. Ariane figure l’initiatrice qui permet au héros de s’orienter dans les ténèbres grâce à l’amour créateur qu’elle sécrète et diffuse. Thésée peut revenir car le fil d ‘Ariane éclaire les ténèbres. Par Ariane il voit. Ce fil d ‘Ariane symbolise également la Fraternité. Ainsi les 7 jeunes hommes et 7 jeunes femmes qui entraient dans le labyrinthe afin d’y être sacrifiés au Minotaure

Quel est le sens nouveau du ruban de Moebius ? III La fin du binaire exclusif Revenons au ruban. Une caractéristique de cette curiosité topologique est la double affirmation du contradictoire. D’une part, nous constatons qu’il a deux faces : à n’importe quel endroit , nous pouvons trouver une face et une autre face. Plus précisément, dans l’anneau, à n’importe quel point , nous pouvons percevoir une apparence d’intérieur

conception abstraite => les dieux sont représentés comme des grands hommes) Les divinités primitives de la création : Gaïa (terre) Éros (terre profonde) Hérèbes (ténèbres des enfers) Nuit (ténèbres sur terre) Dieux géographiques (terre) + concept abstrait : dans la plupart des cosmogonies, les ténèbres créent de la lumière (ici Hérèbes et Nuit) La présence de l'amour (Éros) est nécessaire à la procréation des divinités Descendance de Gaïa : Ouranos (ciel), Pontos (mer)

tes plans hein... Tu sais de belles choses peuvent sortir de l’inconnu même celle qui font peur. D’ailleurs si ça ne fait pas peur c’est que ça n’existe pas. Regardes fort dans ses yeux et tu verras si tu peux lui faire confiance, mais ne vas nulle part où tu n’as pas envie d’aller. Tu arrives. Je crève d'envie d'aller à toi, de me jeter dans tes bras. Je contrôle mon impulsion mais le désir de te dévisager est trop fort. Ton regard intense et tes cheveux mal coiffés. J'imagine déjà ta voix qui

A travers ce poème, Baudelaire nous fait part de son malaise d'âme, de sa souffrance, devant la dégradation physique, l' usure corporelle. Il y arrive à l'aide du champ lexical de l' automne et de l'hiver qui s'accorde à son état d'âme .La sensation première est immédiatement interprétée. Il utilise le champ lexical de l'hiver ( froides,frissons,glacé ),pour indiquer le champ sémantique de la mort. Il voit le temps passer sans rien pouvoir faire. Chaque manifestation de l'hiver évoque l'hiver

émettre des hypothèses en se basant sur ses connaissances et ses observations. La métaphore du flambeau et de l’obscurité ligne 12 à 14 représente cette démarche. Tandis que « les autres hommes » (l.11) se contentent d’avancer à tâtons « dans les ténèbres » qui symbolisent le doute et l’ignorance, le philosophe grâce à son recul et à sa réflexion, même si la vérité est éloignée et difficile d’accès, il « marche dans la nuit, mais il est précédé d’un flambeau ». En effet, ce flambeau fait écho à la

Sic transit gloria mundiVénérable maître,Lors de ma de réception au grade d’apprenti, aussitôt après que la lumière me fut donnée, le second surveillant s’exclama « Sic transit gloria mundi » ! Tant, la cérémonie fut riche en évènements, je dois vous avouer avoir omis cet instant, et c’est en lisant le Rituel de l’apprenti au 1er grade du R.E.R que je me le remémorai et voulu en connaitre le sens. D’où l’envie d’en faire le thème de ce travail que je vous présente ce midi. Citée qu’une seule fois

«mystérieux». La sensation visuelle nous montre une image du bois que nous utilisons pour le chauffage, une image qui représente l'hiver. Le froid représente la sensation tactile qui est liée à l'hiver et à la mort. Les « ténèbres» sont « froides » (v. 1), « l'enfer » est qualifié de «polaire» (v. 7) et le cœur du poète est «glacé» (v. 8). Ce réseau lexical du froid s'oppose à celui de la chaleur, représenté par les «étés trop courts» (v. 2). Ce chant nous montre donc le