La Parure Commentaire

Chauve La chartreuse de Parme La cousine Bette La Curée La Farce de Maitre Pathelin La ferme des animaux La guerre de Troie n’aura pas lieu La leçon La Machine Infernale La métamorphose La mort du roi Tsongor La nuit des temps La nuit du renard La Parure La peau de chagrin La Petite Fille de Monsieur Linh La Photo qui tue La Plage d’Ostende La princesse de Clèves La promesse de l’aube La Vénus d’Ille La vie devant soi L’alchimiste L’Amant L’Ami retrouvé L’appel de la forêt L’assassin habite au 21

L'éclatement de l'empire carolingien vu par Réginon de Prüm Commentaire de la Chronique (887-888) L'éclatement de l'empire carolingien a été bouleversant pour les contemporains qui voient la prestigieuse famille s'éteindre alors que l'Europe connait des troubles dans toutes ses régions. Réginon de Prüm (842-915), un contemporain ecclésiastique, suit la succession de l'empire dans sa Chronique, où il avait retracé l'histoire de l'Europe de puis les débuts de la chrétienté. Cette chronologie

exigeait qu'on lui montrât les livres de vente, et parlait de plus en plus haut à mesure que s'élevait la somme. Les gros brillants d'oreilles valent vingt mille francs, les bracelets trente-cinq mille, les broches, bagues et médaillons seize mille, une parure d'émeraudes et de saphirs quatorze mille; un solitaire suspendu à une chaîne d'or formant collier quarante mille; le tout atteignant le chiffre de cent quatre-vingt-seize mille francs. Le marchand déclara avec une bonhomie railleuse: - Cela vient

avec le Duc de Nemours : c’est le début d’un amour fatal. Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisaient au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença, et comme elle dansait avec monsieur de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu'un qui entrait, et à qui on faisait place. Madame de Clèves acheva de danser et pendant qu'elle cherchait des

elle danse avec le Duc de Nemours cest le dbut dun amour fatal. Elle passa tout le jour des fianailles chez elle se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisaient au Louvre. Lorsquelle arriva, lon admira sa beaut et sa parure le bal commena, et comme elle dansait avec monsieur de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelquun qui entrait, et qui on faisait place. Madame de Clves acheva de danser et pendant quelle cherchait des yeux

d’enfants, plus elle est convoitée (c’est un culte de la maternité en tant que phénomène naturel). Les enfants sont donc une richesse. La conversation s’oriente vers les rituels qui concernent les jeunes de l’île. A intervient pour commenter un commentaire de l’aumônier (sous forme de note ajoutée au texte) sur la sagesse de cette vision du mariage, qui respecte la liberté de l’individu. Diderot utilise à nouveau l’excuse de la censure pour justifier l’absence du passage chez Bougainville. Comme le

Misanthrope, I, 1, v. 65-81 (manuel Français Méthodes 2 / 1 , p. 24) TRAVAUX COMPLÉMENTAIRES - Comment répondre aux questions de l’écrit du baccalauréat (travail sur un corpus présentant les personnages dans différents romans) - Comment rédiger un commentaire de texte LECTURES D’IMAGES 1) Marina Vlady dans le rôle de la princesse de Clèves : portrait p. 31 (édition Bibliolycée) 2) Extraits du film La Princesse de Clèves (Jean Delannoy, 1960) : début (correspondant au texte nº 2) et passage de Coulommiers

VELYNE A MON professeur de Lettres SOMMAIRE DOCUMENTATION COMPLÉMENTAIRE La comédie-ballet .......................................................................................... 3 POUR COMPRENDRE : quelques réponses, quelques commentaires Étape 1 Étape 2 Étape 3 Étape 4 Étape 5 Étape 6 Étape 7 Étape 8 Étape 9 Étape 10 Argan, le malade imaginaire ......................................... Un mari pour Angélique .................................................... Comment

ignorer, et dont le lecteur se doute au vues de l’explication du narrateur sur le passé d’Esther, est qu’elle salira son âme avant de se donner la mort. Dans sa préface de Splendeurs et misères des courtisanes, Philippe Berthier10 fait le commentaire suivant à propos du personnage d’Esther : « On ne s’improvise pas Immaculée après avoir été Messaline. C’est pourquoi jouer l’asticot qui servira à pêcher dans l’étang à pièces d’or appelé Nucingen […], même si elle en meurt, répond en elle à une

ponctue les rêves nostalgiques. Ces plans disent aussi l’ennui de la femme mal mariée qui se réfugie dans un univers intérieur. C’est un personnage classique du roman du XIXe siècle, une des sœurs d’Emma Bovary ou de Madame Loisel, l’héroïne de La Parure. Cet être sans avenir ne peut que cultiver le souvenir ou rêver par procuration, comme on le voit quand elle imagine l’affaire prospère de son fils Jean. Rivage et lointain Explicite dans le film, le goût avoué du fils aîné et du père pour la