La Parure Ironie

malfaisante, la souillure de son coeur lui est montée au visage. Le sourire, ce doux épanouissement qui rend la jeunesse semblable aux fleurs, s'est enfui de SCENE 6 30 Lorenzaccio ses joues couleur de soufre, pour y laisser grommeler une ironie ignoble, et le mépris de tout. CATHERINE. Il est encore beau quelquefois dans sa mélancolie étrange. MARIE. Sa naissance ne l'appelait−elle pas au trône ? N'aurait−il pas pu y faire monter un jour avec lui la science d'un docteur, la plus belle jeunesse

cause une institution religieuse ? Éléments de réponse   omme cela a été précisé en introduction, c’est Moria, la Folie, qui C parle. Cette prosopopée8 permet à l’auteur de prendre une certaine distance avec son texte et de critiquer avec ironie les moines sous le masque de la folie. Les indices de la 1re personne renvoient à Moria (« à mon sens », « grâce à moi ») qui affirme assurer le bonheur de ces Religieux dans les quatre premières lignes du texte. La phrase «  Ils seraient, à mon

m'accordiez une interview. — Moi? (Le Dr Albez parut franchement étonné.) J'ignorais que je pouvais être intéressant! — Oh! ne soyez pas si modeste! (Primo Calbez ouvrit son mystérieux calepin et se mit à écrire sans cesser de parler :) La modestie est une parure mais elle ne sert à rien! A rien du tout, señor! N'êtes-vous pas écrivain? — En effet! — Eh bien, rien ne vaut la publicité d'une bonne interview! Qu'en pensez-vous? — Je pense que, pour l'instant, il est plus important de diriger mon bateau dans

Je ne t’ai ni influencée ni mordue. C’est tout juste si je t’ai embrassée. Tes pouvoirs ont fait le reste ; ils sont peut-être incontrôlables, n’empêche qu’ils sont extrêmement convaincants ! Honnêtement, je n’en demandais pas tant, soit dit sans ironie, bien sûr. En dépit de son ton léger, Elena visualisa tout à coup l’image d’un enfant en pleurs et se demanda si Damon était vraiment aussi différent qu’il le prétendait. « Au fond, c’est sa spécialité, non ? pensa-t-elle, brusquement amère. Vendre

contrariété et il faut avouer que sa situation n'était pas enviable. - J'avoue... je ne m'attendais pas..., fis-je dans une grande confusion, à la tournure que prend... je pensais, au contraire... - Ah ! vous pensiez cela ? dit-elle, non sans une légère ironie. Vous savez, vous allez me montrer la lettre qu'il vous a écrite. - Volontiers. - Mais ne m'en veuillez pas ; ne vous froissez pas ; nous sommes déjà assez malheureux ! supplia-t-elle, sans cependant que le sourire ironique quittât sa jolie bouche

Eh ben ! moé qui vous parle... Il avait cessé d’agiter la machine et fait une couple de pas en avant, parlant presque sous le menton de Marie Calumet. Celle-ci, pour employer la vieille locution canadienne, pouvait lui manger un pain sur la tête. Ironie de la fatalité, Narcisse, à ce moment même, passait dans le voisinage de la dépendance ; il allait atteler le cheval du presbytère. Il surprit son rival tout près de Marie Calumet avec, comme il le devina, une flamme de désir et de passion 112 dans

1991. BERTRAND, Gabriel. Ph.D. 'Sale bicot'. Etude de l'humour inter-ethnique francomaghrébin dans la région d'Aix-Marseille. Montréal, 1982. Index : Immigration Emigration Oralité France. BERTRAND, Martine. Doctorat de 3° Cycle. Le voile et les parures. Essai sur le regard au Maghreb. Paris 10, Andras ZEMPLENI, 1981. Index : Regard Femme Séduction. BESSAIH, Boualem. D.Univ. Bouamama, Belkheir, Bachir Ibrahimi : trois figures de la résistance culturelle algérienne. Lyon 3, Charles BONN, 1985

presque toujours deux sentiers qui l'y ramènent ; ces sentiers sont la douleur et l'amour. Ils sont difficiles ; celles qui s'y engagent s'y ensanglantent les pieds, s'y déchirent les mains, mais elles laissent en même temps aux ronces de la route les parures du vice et arrivent au but avec cette nudité dont on ne rougit pas devant le Seigneur. Ceux qui rencontrent ces voyageuses hardies doivent les soutenir et dire à tous qu'ils les ont rencontrées, car, en le publiant ils montrent la voie. Il ne s'agit

presque toujours deux sentiers qui l'y ramènent ; ces sentiers sont la douleur et l'amour. Ils sont difficiles ; celles qui s'y engagent s'y ensanglantent les pieds, s'y déchirent les mains, mais elles laissent en même temps aux ronces de la route les parures du vice et arrivent au but avec cette nudité dont on ne rougit pas devant le Seigneur. Ceux qui rencontrent ces voyageuses hardies doivent les soutenir et dire à tous qu'ils les ont rencontrées, car, en le publiant ils montrent la voie. Il ne s'agit

même un regret, pas même le sentiment d'un manque. Un jour vient où l'être vrai reparaît, que le temps lentement déshabille de tous ses vêtements d'emprunt; et, si c'est de ces ornements que l'autre est épris, il ne presse plus contre son cœur qu'une parure déshabitée, qu'un souvenir... que du deuil et du désespoir. " Ah ! de combien de vertus, de combien de perfections Pai-je ornée! " Que cette question de la sincérité est irritante ! Sincérité! Quand j'en parle, je ne songe qu'à sa sincérité à elle