La Parure Mathilde

avait deux filles’. Dans les nouvelles, on remarque plus de détails que les contes de fées mais une tendance à concentrer le récit sur un épisode particulièrement important ou bien les moments importants pendant une période plus longue. Dans « La Parure » de Guy de Maupassant, le récit se déroule pendant plus de dix ans, cependant l’on ne retient que les moments principaux comme la fête à laquelle Mme Loiselle assiste, et sa rencontre avec son amie, des années après. Ceci est illustré par les indications

croyante. Il a publié sa première œuvre dans une revue dans laquelle Zola était le directeur. Cet écrivain est précis et concis, cherchant toujours la vraisemblance mais influencé aussi par le pessimisme de Schopenhauer. L’œuvre que nous étudions, La Parure, est une nouvelle réaliste, et parue pour la première fois le 17 février 1884 dans le quotidien Le Gaulois, puis intégrée au recueil Contes du jour et de la nuit en 1885. Le XIX è siècle sera donc l’époque du grand succès pour le genre de la nouvelle

La parure incipit Quel est le statut du narrateur dans ce passage ? Est-ce un personnage de l’histoire ?   Le narrateur est un narrateur témoin : il ne s’agit pas d’un personnage de l’histoire. Il nous livre des informations sur l’un d’entre eux.   De quoi est-il question dans ce passage ? Y trouve-t-on beaucoup d’action ? Pourquoi ?   Ce passage fait le portrait d’un personnage féminin, qui n’est pas encore nommée. On devine d’ores et déjà que c’est le personnage principal de ce récit

insulte son mari sans cesse - imbécile, dindon, grande chiffe) (Une soirée: sale mufle, gaillard) souhaitent toujours obtenir ce qu'elles veulent (La Serre: Mme Lelebour force son mari à descendre coir s'il y a quelqu'un dans la maison) (Une soirée: Mathilde veut à tout prix venir à la fête organisée) Procédé: La Serre: "Et tu me sues dans le dos comme du lard fondu." (comparaison) Compare son mari à du lard fondu pour le rabaisser pas parce que c'est vrai, mais parce qu'elle veut lui faire de la peine

moment là Gaston prit la fuite, il parti en se demandant s’il avait bien fait ou non de dire la vérité à Mlle Perle. Mais il se dit que peut-être qu’un jour ils se prendront la main en souvenir du bon vieux temps.La ParureAu début on nous décrit Mathilde comme une belle fille qui était née comme par une erreur du destin. C’est une femme pauvre avec son mari, alors que son amie Jeanne elle est riche. Elle à des rêves de luxe elle aimerait avoir des robes et des bijoux, elle aime le faste. Elle est

restaient à l'écurie, le cocher demeurait invisible. On alla, par désœuvrement, tourner autour de la voiture. Le déjeuner fut bien triste. Guy de Maupassant, Boule de Suif, 1880. Exercice 2 Dans cet extrait de la nouvelle de Maupassant La Parure. a) étudiez le rythme du récit (chercher pause, sommaire, scène elipse). Discourt indirect libre b) trouvez une prolepse(saut dans le futur) et une analepse(saut dans le passé), montrez quel est l’intérêt de cette construction. c) quel est

la poésie et la beauté. La vie a des aspects rudes et injustes car il faut affronter la mort de nos proches. Il faut également faire face a des problèmes concrets et a des pressions moral quotidiennement. Ceci est illustré par La Parure de Guy de Maupassant lorsque Mathilde Loisel travaille très dur pour rembourser un bijou, mais cela est inutile puisque le bijou était faux. Cependant , la vie n'est pas que composé de moments difficiles et injustes. Il y a aussi des moments de bonheur et de joie.

qui caractérisent aussi bien la la paysannerie normande, sa région natale, mais mais aussi la petite bourgeoisie parisienne qu'il connait bien. La parure est l'une des nouvelles les plus connues de son recueil, ce qu'elle doit beaucoup a son extraordinaire dénouement, mais aussi a son intrigue. Cette nouvelle relate en effet la vie de Mathilde Loisel, belle, jeune et femme au foyer, mariée à un à un petit employé du ministère de l'instruction public. Très raffinée, elle souffre de la médiocrité

qu'elle a épousé faute de mieux, mais qui en fait beaucoup pour elle. Elle rêve d’une vie moins morne, peut-être frivole. Elle commence à sortir aux spectacles, avec son mari, puis, sans lui, sur ses recommandations, avec des amies. Elle emprunte la parure de diamants de son amie de pension, Madame Forestier, pour une soirée au Ministère. Mais à l'issue de cette soirée, mémorable, elle s'aperçoit qu'elle a perdu le collier. Toutes les recherches n'y changent rien, et le précieux bijou (estimé 40 000

mélancolie, etc. - et tout à fait propres à la poétique verlainienne telle qu'il la décrira ultérieurement dans l'Art poétique (écrit en 1874, publié dans Jadis et Naguère en 1884). Après sa période d'errance amoureuse, il rencontra une jeune fille, Mathilde Mauté, qu'il célébra dans les poèmes de la Bonne Chanson (1870) comme «!la blanche apparition qui chante et qui scintille!», et en laquelle il pensa avoir trouvé «!l'âme!/!que son âme depuis toujours pleure et réclame!», la fiancée rédemptrice. Mais