La Parure Opposition

Egyptienne • Les parures Les perruques, communes aux deux sexes, sont les parures de tête des classes aisées. Faites de véritables cheveux et de crins, elles comportent d'autres éléments ornementaux incorporés. À la cour, les élégantes portent parfois des sortes de petits gobelets au sommet empli de parfum. Les têtes sont rasées ; les égyptiens sont les seuls parmi les peuples de l'antiquité à pratiquer systématiquement l'épilation. Pour eux, cela représente l'humanité par opposition à l'animalité

Commentaire Composé Introduction Auteur réaliste du XIXème siècle, Guy de Maupassant écrit dans la préface de Pierre et Jean « L'argent réalise la division en catégories et la classification des individus ». En effet, l'auteur développe cette opposition entre les riches et les pauvres dans ce roman et plus particulièrement dans ce passage. De plus, il utilise des connotations sinistres que l'on retrouve également dans toute l'œuvre. Pour fuir la bourgeoisie dans laquelle il est enfermé, Pierre

Récit d’une « Illusion » : 1- Un Récit entre rêve et réalité : + Emploi du passé composé qui brouille les frontières entre passé et présent : « j’ai vu […] je me suis vu » : dédoublement de la personnalité de Sigismond. + Opposition entre « j’ai rêvé » et « j’ai vu » : Sigismond mélange rêve et réalité. + Modalisateurs de doute marquant une hésitation entre réel et rêve : « A supposer que », « je ne crois pas être » + Oxymore « flatteuse cruauté » qui montre l’aspect

 Comment analyser une nouvelle ? La parure de Guy Maupassant Introduction  J’ai choisi d’analyser La Parure de Guy Maupassant publié dans le Gaulois, le 17 février 1884. M. Loisel est un modeste employé du ministère de l'Instruction publique, à Paris. Sa femme Mathilde, très raffinée souffre de la médiocrité de leur vie et rêve constamment d'une existence plus brillante. Un jour, une occasion s'offre à eux, ils sont invités à un bal au ministère. Mais Mme Loisel se désole,

mort l’a laissé inconsolable. Personnage taciturne qui a du mal à communiquer avec les autres. La musique est son seul moyen d’expression. Il éprouve du dégout pour le monde, Paris et particulièrement pour la Cour qui mène une vie d’abondance et de parures ce qui est au antipode du mode de vie du musicien. Mais c’est aussi un personnage sentimental, le lecteur le découvre par sa fidélité envers sa femme morte. Marin Marais est un personnage qui subit une évolution : timide au début de son apprentissage

qu’une opposition de CCL ; « chez elle » et « au Louvre ». Cela montre le temps accordé à se préparer seulement pour une seule soirée. Ensuite on retrouve le vocabulaire de l’éloge avec « bal, festin royale » et une polyptote avec « se parer et parure a la ligne 2 » qui souligne un évènement exceptionnel ainsi que l’importance de la tenue2. Ensuite a la ligne 2 le « on » est un pronom indéfini qui montre que La princesse est soumise au regard de la cour. Le rythme binaire « sa beauté et sa parure » montre

[pic] - culotte : arrive au niveau ou au dessus de l os illiaque. [pic] - slip : se situe sous l os illiaque, produit a prix d appel. Il correspond à la culotte. Vetement dans lequel les deux jambes sont séparées, par opposition à la jupe. Echancré sur les hanches, recouvrant le bassin. [pic] [pic] - tanga : on le reconnait car l avant est egal au dos en terme de forme, bande de tissu fine des deux côtés mais plus large que le string. [pic] [pic]

La nouvelle présentée ici s'intitule «La Parure» et son auteur est Guy de Maupassant. Ce récit parut pour la 1ère fois dans Le Gaulois du 17 février 1884, et fut ensuite repris dans Contes du jour et de la nuit. Voici, pour commencer, un bref résumé de l'histoire: Nous sommes à Paris, au XIXe siècle. Mathilde, une très belle femme, était née d'une famille d'employés et s'était laissé marier avec un petit commis de l'Instruction publique. Aussi était-elle malheureuse, car elle se sentait

de la curiosité, et même de l'impatience de le voir. .....Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisaient au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença, et comme elle dansait avec monsieur de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu'un qui entrait, et à qui on faisait place. Madame de Clèves acheva de danser et pendant qu'elle cherchait des

femme. Celle-ci n’est désignée que par le titre « mignonne » (v. 1, v. 13), les pronoms personnels des 12 premiers vers renvoyant eux à la rose.  La mention de la « robe » (v. 3), reprise par le détail des « plis de sa robe » (v. 5), renvoie aux parures de la femme.  De même, le choix du terme « teint » (v. 6) désigne explicitement une femme puisqu’il s’agit d’une particularité humaine. Cette mise en parallèle se marque également par le déterminant possessif « votre » et la structure comparative