La Parure Questions Reponses

la réussite de la cérémonie dépend la dignité de la mère. L’euphorie de la mère de Salimata devant le passage de l’âge de jeune fille à l’âge adulte de celle-ci ne laisse aucun doute sur l’intériorisation et l’acceptation de cette tradition sans questionner le bien-fondé de cette dernière. C’est ainsi qu’elle encourage Salimata le jour de son excision à être courageuse: « Ma fille, sois courageuse! Le courage dans le champ de l’excision sera la fierté de la maman et de la tribu » (p. 35). Mais qu’en

beaucoup plus déconcertant encore que dans le temps où tu me suivais sans mot dire! Et c'était bien cependant tout à fait sous ce jour que tu te montrais alors! Au surplus, que ce soient là, ou non, mes pensées, tu m'as bien l'air d'avoir tranché la question, et j'aurais beau le nier que je n'y gagnerais absolument rien pour ce qui est de te convaincre! Eh bien, mettons que ce soit là, on ne peut plus, ce à quoi je pense, comment y réussirai-je grâce à toi? et comment, sans toi, y échouerais-je? Es-tu

siècle des Lumières. Sa critique de l’Eglise est la plus importante. Avec Voltaire, de 1735 à 1736, elle examinera la Bible très scrupuleusement, répondant avec une grande audace aux questions qui lui viennent à l’esprit. Ainsi à la question  « y a-t-il un Dieu ? », tous deux répondent par l'affirmative. Mais, à la question « quelle est la nature de ce Dieu ? », Emilie du Châtelet est très critique car elle remarque des incohérences entre les dires de Dieu et les faits scientifiques avérés de l’époque

1678. 2 : Abbé PREVOST, Manon Lescaut, 1731. 3 : Gustave FLAUBERT, Madame Bovary, 1ère partie, Chapitre II, 1857.. 4 : Émile ZOLA, Thérèse Raquin, chap. V, 1867. 5 : Marguerite DURAS, Moderato Cantabile, chapitre II, 1958 EXERCICES TYPE BAC QUESTIONS SUR CORPUS 1. Pour chaque texte, déterminez par quel(s) regard(s) est vue la scène. 2. Par quels principaux procédés chaque texte fait-il comprendre l’importance de cette rencontre pour les personnages ? TRAVAUX D’ECRITURE  PREPARATION AUX

Travail préalable Lecture, dans le dossier de l'édition Folioplus classiques, de la section "L'écrivain à sa table de travail"(p. 333-343) et de l'extrait de L'Amant (p. 349-350). Lire également l'extrait des Impudents proposé en page suivante. Questions (à traiter en classe) 1 - À quel genre commun appartiennent les deux extraits ? À quel sous-genre rattachez-vous respectivement chacun d’eux ? Lequel de ces deux textes vous paraît le plus directement d’inspiration autobiographique ? Fondez-vous

de fées[8] éclaire les contes merveilleux à la lumière des théories freudiennes, en considérant l'impact de ces derniers dans le développement intérieur des enfants en leur permettant de s'identifier aux personnages des contes, en répondant aux questions qu'ils se posent et donc en les aidant à grandir. Il permet également d'extérioriser et de dépasser leurs angoisses, et de structurer leur personnalité. Perrault, d'ailleurs, avait déjà compris l'impact des contes sur ces derniers lorsqu'il dit dans

Le thème qui serait au centre de l'œuvre porterait alors sur son choix de faire la généalogie du langage. Et ce par des notions communes, c'est à dire les notions morales ou sociales de la vérité et du mensonge. Ces notions devant être remises en questions au profit d'une recherche plus profonde et d'une signification plus adéquate, mènent à une "vision" extra-morale. La problématique telle qu'elle se pose au sein de l'œuvre porte sur une analyse qui se veut critique des conceptions communes, qui

poids », sous entendu, un problème que nous, les professionnels, nous devons surmonter. Je n’ai pas saisi d’emblée la dimension de ce problème. - en CHRS, au cours des entretiens d’accueil d’urgence, les personnes ont à répondre à de nombreuses questions avant d’obtenir une place d’hébergement. Je me suis interrogée sur le sens et les enjeux de cette pratique. Par ailleurs, certaines personnes refusent d’entrer en CHRS car le partage de l’espace avec des inconnus est inconcevable. Elles éprouvent

place au sein de la meute ? Quelle issue pour le sentiment au sein d’un monde soit intéressé, soit impitoyable ? Tout cela dans l’optique structurelle de scènes potentiellement charnières, par rapport à la suite des œuvres. Pour répondre à cette question, nous suivrons successivement trois axes de lectures, trois moments. Premièrement, « de l’exhibitionnisme et du voyeurisme en société » ; secondement, « la société des asociaux » ; enfin, « du bon usage de la tricherie pour remporter la partie »

épigramme par exemple), débat de casuistique amoureuse : l’art d’étudier les cas (l’amour peut-il durer plus d’une vie ? Si il faut aller à un bal où on peut croiser son mari ? Est-il vraisemblable d’avouer à son mari qu’on aime un autre homme ?) - Question de la langue : les précieuses ont un style repérable : goût pour les hyperboles, l’exagération, les formules recherchées (termes archaïques et triviaux bannis : miroir = conseiller des grâces), goût pour l’abstraction (La princesse de Clèves : blonde